Ahh Paris !

[HJ : pas grave, de toutes façons, je pense qu’encore une ou deux réponses suffiront à le finir non ? Il faudrait en tous cas je pense le finri rapidement, car il est en route depuis un moment et il y a le bal maintenant ^^, je sais pas ce que tu en penses ? Envois moi un mp pour qu’on puisse voir tout ça ^^]

Plus la situation avançait, plus je me rendais compte à quel point j’avais pu changer. C’était quelque chose de totalement ahurissant en réalité. En effet, auparavant, je n’étais jamais entichée d’une fille a ce point. Je n’avais jamais pensé à une fille de façon aussi fréquente ni avec une telle force. Je ne pouvais pas dire pour autant qu’Alice m’obsédait totalement, non, je pensais énormément à elle, mais j’arrivais tout de même à me concentrer normalement pour mon travail ou pour mes tâches quotidiennes ; C’était juste qu’elle était la première personne à laquelle je pensais le matin. Elle était également celle à laquelle je pensais le soir avant de m’endormir, et il était régulier qu’elle vienne éclairer mes rêves de sa présence. Elle était partout, elle se rappelait à moi dans les moments difficiles.

Avant, je ne cherchais que la plaisante compagnie d’une femme. Pouvoir battre les records, les séduire puis m’amuser avec elles. Ce n’était pas pour autant que l’on pouvait me qualifier de salaud fini, juste qu’elles étaient d’accord pour prendre du bon temps avec moi. C’était quelque chose de tacite entre mes anciennes conquêtes et moi au moment où nous avions pris du bon temps ensembles. J’avais vu passé bien des femmes entre mes bras et dans mon lit, ou le leur d’ailleurs. Avant, j’étais très fier de cette collection de conquêtes. Aujourd’hui, je voyais les choses bien différemment. Je savais, depuis la mort de mes parents, que la fête et les filles n’étaient pas les choses les plus importantes dans la vie. Enfin, tout dépendait de ce qu’on en faisait…

Mais en fait, ma relation avec Alice m’avait permis d’évoluer un peu plus vers la maturité, du moins je le pensais et je devais même avouer que j’en étais convaincu. D’autant plus que ses dernières paroles m’apportaient un peu de maturité bienvenue. En effet, me dire tout net qu’elle n’était pas amoureuse de moi était courageux, et surtout, cela me remettait les pieds sur terre, et me pousser à plus d’efforts encore. Je ne pouvais donc pas prétendre que toutes les filles précédentes m’avaient aimé plus que ça non plus dès lors que je me rendais compte que même Alice n’était pas tombée amoureuse de moi. En fait, je n’avais été qu’un passe temps agréable pour toutes ces filles… J’avais également appris qu’il pouvait être bien plus gratifiant de tenter de plaire à une seule fille qu’à tout un groupe…

Revenant un peu sur terre, Alice me disait qu’elle ne voulait pas m’embêter avec ses histoires de famille. Lui jetant un regard désaprobateur pour lui montrer que j’accordais beaucoup d’improtance à elle tout aussi bien qu’à sa vie, j’écoutais néanmoins le reste de ses paroles. Elle jugeait comme moi pour Mc Gonagall. C’était dur, mais c’était ainsi. Il était inutile de se berner d’illusions quant à la professeur de métamorphose de Poudlard. Je l’avais toujours beaucoup aimée et admirée, je devais cependant avouer qu’elle n’était pas du genre à laisser ses élèves vagabonder dans la nature, même quand ces élèves en quesiton étaient aussi intelligents que ma petite amie…

- Comme tu veux pour ta famille, cependant, je ne veux pas que tu croies que ta vie ne m’importe pas. Tu sais que tu peux m’en parler si jamais cette histoire te turlupine encore, d’accord ? Pour Mc Gonagall, je préfère encore ça… Je préfère pas que tu sois seule dans la nature sans personne avec toi, que ce soit pour me voir ou pour rentrer au château. C’est pas que je veux te couver, mais crois moi, on entend de drôles d’histoires dans le bar… Pas toutes agréables à entendre ! D’ailleurs, à ce propos, je ne sais pas quelles infos vous pouvez avoir au château, mais ici, en dehors des rumeurs, nada, j’ai bien l’impression que la presse est censurée par le gouvernement, sinon elle se serait régalée depuis longtemps de tout ce désordre ambiant !

Cet état de fait était plus que troublant et je ne comprenais pas le gouvernement à ce niveau là. Qu’avait il à gagner dans cette action de muselage ? Pas grand-chose par rapport à ce qu’il perdait, j’en étais quasiment certain ! Certes, il évitait d’un côté de répandre la panique en cachant certains faits, mais si comme je l’avais vu il tenait bien dans sa main la gazette du sorcier, j’avais pu néanmoins en condamner les effets. En effet, l’immense majorité des gens qui venaient boire dans les bars racontaient des rumeurs, qui étaient à leur tour déformées et amplifiées pour être racontées par d’autres, et tous suspectaient que le Ministère ne laisse visible que certains faits et cache tout le reste, le pire, ce qui provoquait jusqu’à l’effroi chez bien des gens… tous étaient perdus, et tous le seraient encore plus le jour où tout se dévoilerait enfin aux yeux de tous…

Alice semblait réalisait également l’importance de mes inquiétudes à propos du passage secret. En effet, déjà que le château était très peu protégé… Il n’y avait après tout que quelques sorciers pour le défendre, et en majorité des professeurs, certes doués dans leurs domaines respectifs mais incapables de faire face à une menace sérieuse ! Certes, il y avait bien les murailles et Dumbledore, mais est ce que cela suffirait ? Je n’en étais pas sûr, d’autant plus si des tensions éclataient de plus en plus entre les élèves des différentes maisons et pire encore, si les fauteurs de troubles connaissaient eux aussi le passage secret, cela ménerait à de terribles dangers pour le monde magique et la sécurité de tous ces adolescents ! Cependant, Alice se voulait rassurante dans ses propos. Après tout, elle savait de quoi elle parlait, puisqu’elle était là depuis bien plus longtemps que moi !

- Oui, tu as sans doute raison, excuses moi. Je suis peut être devenu un peu aprano depuis… Enfin bref, ça n’a pas beaucoup d’importance ; Le fait est que James m’a assuré qu’en dehors de ses amis maraudeurs, personne ne le connaissait, donc s’il n’y a que toi en dehors de cela, alors ça devrait aller… Cependant, j’aimerais que tu fasses vraiment attention au château… Dumbledore connaît peut être ce passage, ou peut être pas, alors j’aimerais que tu puisses, si c’est possible, faire comprendre aux maraudeurs qu’ils doivent à tous prix préserver leur secret… Sinon j’irais moi-même avoir une petite discussion avec James !

Je savais que mes paroles risquaient d’avoir leur implication. James et moi nous détestions cordialement depuis la dernière fois que nous nous étions vus, mais je me doutais que si j’utilisais les bons arguments, je pouvais lui faire entendre raison et m’écouter. Notre dernier point commun était que nous nous soucions tous les deux de la sécurité respective de notre petite amie, et que si je lui disais que Lily pouvait être mise en danger, il m’écouterait. Du moins, j’espérais que les avertissements d’Alice lui suffiraient, car sinon, on serait plutôt mal barrés si on devrait se revoir face à face, ça risquait même de donner dans le pugilat en vérité !

J’essayais de ne pas non plus trop rentrer dans la caricature du petit ami protecteur, car je savais que la jeune femme avec qui je sortais n’était pas du tout comme toutes ces « pète-cul » qui attendait tout de leur petit ami. Je savais qu’Alice aimait son indépendance et j’espérais qu’elle n’interprète pas mes propos comme une atteinte à sa vie privée. En fait, je m’inquiétais réellement pour elle, et mon estomac se nouait tandis que je m’imaginais déjà ce que je ressentirais s’il arrivait malheur également à Alice. Mais j’essayais également de me convaincre que je ne pouvais pas être si malchanceux que cela, et je n’avais offensé aucune divinité pour mériter un nouveau coup du destin, si ? Je voulais juste que rien de mauvais n’atteigne mon entourage, et j’espérais franchement que cela n’était pas trop demandé…

Alice semblait un peu troublée par ma proposition, touchée mais troublée. Peut être qu’elle s’imaginait que cela cachait des propositions peu orthodoxes ? Non, en fait, je n’en savais rien, et ne tenait pas réellement à le savoir tout compte fait… mais finalement, la belle me fit un sourire en disant qu’elle serait heureuse qu’on se voit, ce qui me fit sourire à mon tour. Elle continua en disant que le chaudron baveur égait un bon endroit, et je ne savait pas trop si je devais percevoir ces affirmations comme une préférence à ce qu’on se voit là bas plutôt qu’au château, ou si c’était une simple constatation. Je ne pus m’empêcher d’éclater de rire lorsque la jeune femme me dit qu’elle n’aimait pas faire les boutiques. Encore un point commun ! Elle conclut finalement en me disant qu’elle serait heureuse de passer du temps avec moi, et je l’embrassais doucement mais intensément, avant de me reculer et de regarder le serveur, tout proche.

- Je pense qu’on va peut être sortir non ? Il est tard, et je pense que le restaurant va bientôt fermer… Sinon, tu as raison. Le Chaudron Baveur est un lieu idéal. Certes, ma chambre n’est pas du tout aussi confortable que Poudlard, mais on s’y fait ! C’est le seul inconvénient ! Dans ce cas, nous pourrions peut être aller au théâtre, il y a une pièce dramatique pleine d’horreur dedans, il paraît que c’est un chef d’œuvre ! Par contre, tout va dépendre de l’autorisation de tes parents ! Tu sais, il n’y aura aucun soucis si tu préfères rentrer le soir au château, je pourrais t'y emmener si besoin est ! Sinon, je peux également demander une autre chambre à Tom, ou réaménager la mienne, selon ce que tu préfères! bref, je te laisse te préparer, je vais régler l’addition pendant ce temps là !

Invité Invité

Alice comprenait peu à peu ce que voulait dire l'expression "Etre en couple". Oh bien sur, elle savait déjà avant ce que cela voulait dire. Elle n'était pas stupide quand même mais plus la discussion et le repas avec son nouveau petit ami avançait, plus Alice comprenait la véritable signification de vivre à deux. La jeune fille était tellement attachée à son indépendance et avait une telle fierté -très mal placée- qu'elle refusait souvent de partager ses problèmes avec les autres. En général, elle faisait plus la psy que la patiente. Cela la mettait mal à l'aise de révéler ce qui lui pesait sur le coeur. C'était surement pour cela qu'elle avait eu énormément de mal à confier au jeune homme les soucis familiaux qu'elle avait en ce moment. Ces problèmes qui la faisaient se sentir mal à toute heure de la journée, la faisaient culpabiliser. C'était toujours dur de se retrouver confronter à l'écartèlement d'une famille et savoir qu'on en est en partie la cause et aussi rendue responsable par l'un de ses parents.

Elle avait cru qu'elle n'intéresserait pas son petit ami et n'avait pas voulu l'embêter avec ses problèmes alors qu'il était déjà submergée par les siens. Elle les lui avait finalement confié avec sereinité tout d'abord. Puis avec l'impression de se plaindre sans cesse de ses malheures. Mais après qu'elle se soit excusée de l'enquiquiner avec ca, Alice eut comme réponse un regard de reproches qui la glaça. Elle baissa les yeux honteusement alors qu'il lui disait que cela importait pour lui. La jeune fille se sentit stupide. Elle pensait pouvoir tout affronter seule. Capable de faire face et de lutter encore et toujours seule. Mais elle n'en était pas capable. Il fallait qu'elle se rende à l'évidence. Et elle avait la chance d'avoir Torben à ses cotés. Ainsi, elle pouvait se confier sans soucis au jeune homme et il pouvait faire de même. Ainsi, ils pourraient peut-être faire face à certaines choses ensemble.
La confiance qui s'était établie entre les deux jeunes gens faisait du bien à la jeune fille et elle se sentit revigorer. Elle se pencha et embrassa son petit ami. Son coeur s'embrasa. Cette sensation qu'elle avait quand ils s'embrassaient lui tournait toujours la tête.

-"Je sais,'

répondit-elle simplement avec un sourire.

'Je suis vraiment contente de t'avoir à mes cotés Torben."

Elle sourit à la suite. Ce qui était bien avec le jeune homme c'est qu'il savait qu'elle attachait beaucoup d'importance à son indépendance. Et elle n'avait pas de son coté l'intention d'empiéter sur ses habitudes et tout le reste. Mais Torben avait compris qu'elle détesterait qu'il la couve sans cesse ce que les autres garçons avec qui elle était sortit n'avait jamais compris. Ils avaient l'air tous intimement persuadé qu'elle était incapable ne serait que de manger tout seule. Avaient-ils si peu confiance en la gente féminine ? En tout cas, ces matchos de pacotille n'avaient pas fait long feu chacun.

'Eh bien, à Poudlard, on est pas plus au courant finalement que les gens de l'extérieur. On sait tous que Dumbledore n'aime pas nous cacher des choses mais s'il venait à en parler trop ouvertement, il perdrait surement sa place et je pense qu'il a parfaitement conscience que ce n'est pas le moment pour ca. Par contre, il y a toujours quelques histoires qui filtrent parce qu'il y a entre les murs de Poudlard, des élèves fils ou filles de personnes elles-même au courant de ce qui peut arriver.'

La censure du Ministère était véritablement agaçante. Alice ne parlait pas trop ouvertement de ce qu'elle savait. Dumbledore les avait assez informé sur ce qui se passait véritablement dehors et si elle laissait encore échapper un truc qu'elle n'était pas censée savoir, elle était cuite. Et radicalement. Cependant, Alice comme Torben savait que la monde sorcier ne resterait pas longtemps dans l'ignorance de ce qui se passait. Cela finirait par filtrer et le Ministère n'aurait rien gagner. La Ministre de la Magie était pourtant une femme qui remplissaient ses fonctions. La Gazette du Sorcier parlait de quelques meurtres parce qu'il était trop difficile de cacher éternellement certains crimes mais il y en avait certainement bien plus que ce que prétendait le journal. Et c'était ce qui désolait le plus la jeune femme. Mais ce qui lui faisait tout aussi mal au coeur c'était de savoir que des familles attendaient désespérement le retour de l'un des leurs, en vain.
Comment prenait la situation les personnes qui apprenaient le meurtre d'un être cher ? Comment ne pas douter ? Comment ne pas craindre de voir une personne proche ne jamais revenir ? Comment Alice réagirait-elle si elle apprenait le meurtre d'un de ses proches ? La Gryffondor savait qu'elle réagirait tout aussi irrationellement que Lily qui venait de perdre sa soeur.

La conversation dévia sur le passage secret. l'Ecossaise comprenait sans problème l'inquiétude du jeune moldave mais se demanda s'il était véritablement important de faire autant d'histoires. Fronçant les sourcils, Alice accepta néanmois :

-"J'irais voir James dès que possible. Je verais avec lui. Certainement connaît-il tous les passages menant à Pré-Au-Lard. Moi je n'en connais qu'un seul. Mais peut-être n'est-il pas au courant que d'autres personnes ont découverts ce passage. Si les Maraudeurs ont trouvé ce passage lors de l'une de leurs légendaires escapades nocturnes, beaucoup d'autres personnes en furetant ont pu le trouver. Quoique je ne suis pas certaine que beaucoup d'élèves aient l'esprit aussi tordus que le leur,'

grimaça la jeune fille.

" Mais ne t'inquiète pas je me chargerai de lui faire la commission.'

Alice aurait volontier laisser la tâche à son petit ami étant donné qu'elle ne comprenait pas pourquoi il attachait tant d'importance à tout ca. Enfin si, elle avait compris. Mais elle était certaine que Dumbledore avait connaissance de ce passage secret donc si le directeur veillait au grain, il n'y avait aucun soucis. Cependant la jeune fille s'était bien gardée de demander à l'ancien Gryffondor de le faire. Visiblement, la perspective de se retrouver face à James Potter ne le séduisait un guère. Les sourcils froncés, Alice se demanda pourquoi. D'autant qu'elle s'en souvienne, les deux jeunes hommes s'étaient toujours bien entendus. Qu'est-ce qui avait bien pu changé pour que Torben soit ainsi dégouté de prononcer le nom du garçon ?
La fin de l'amitié qui avait pu lier James et Torben par le passé prouvait bien que tout avait une fin et cela attrista quelque peu la Gryffondor. C'était quand même bien malheureux. Qu'avait donc fait Torben ou James pour se retrouver dans une telle situation ? Alice décréta qu'elle creuserait la question plus tard, si elle avait le temps. Cela ne la regardait pas du tout et elle ne voulait pas froisser son compagnon en lui posant une question indiscrète qui pourrait l'énerver. Enfin l'énerver ... qui pourrait le mettre mal à l'aise plutôt !

Le sujet fut clos. La conversation sur Dumbledore dériva sur l'invitation du jeune homme au Chaudron Baveur. Invitation qu'accepta bien volontiers la Gryffondor bien qu'un peu troublée. Elle était cependant véritablement touchée par les efforts que Torben déployait pour lui faire plaisir. D'ordinaire, avec un autre garçon, ce genre de choses lui aurait hérissé le poil. Mais là ... elle se sentait flattée de recevoir de telles attentions. C'était plaisant et Alice ne pouvait s'empêcher de sourire, d'un sourire sincère et heureux. Aussi, elle répondit passionément au baiser que lui donna le jeune homme. Elle profita de l'instant présent, le cerveau totalement grisé par les sensations que lui procuraient le baiser.

-"Je voudrais y aller volontiers. C'est rare de voir un garçon désirant aller au théatre. Je ne vais pas me plaindre. Je ne suis pas une fan inconditionnelle de la scène mais quand c'est bien joué, je ne me prive pas de tel plaisir. Et sinon, on pourra faire ce que tu veux,"

sourit-elle.

" Ne t'en fais pas pour ma mère. Je m'en occupe. Il n'y aura aucun soucis de ce coté là. Sinon, pour le soir, on vera en temps voulu. Cela dépend aussi de l'heure. S'il est tard, cela ne me dérange pas du tout de dormir au Chaudron."

Alice grimaça intérieurement en se sentant rougir comme une gamine. De pire en pire. Il allait croire qu'elle était ... enfin bref, elle sourit au jeune homme quand il décida d'aller chercher l'addition, la laissant se vêtir. Elle passa son écharpe, ses gants ainsi que son manteau. Elle finissait de s'habiller quand le jeune homme revint. Elle lui offrit un nouveau sourire, et, main dans la main, ils sortirent du restaurant. Ils transplanèrent à Londres au Chaudron puis près de Pré-Au-Lard et Alice rentra à Poudlard non sans avoir embrassé passionément son petit ami.

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