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MessageSujet: Les doutes dorment sous leur manteau d'hiver    Les doutes dorment sous leur manteau d'hiver  Icon_minitimeVen 1 Mar - 13:16

J'avais pris ma décision tôt ce matin - il me fallait aller au Chemin de Traverse. Oh, oui, pour la plupart des sorciers cela ne nécessite pas une réflexion particulière, mais il faut savoir que je ne suis pas, et que je ne serai jamais un sorcier ordinaire. Je suis plongé jusqu'au cou dans l'illégalité et je sais que cette pourriture de Maugrey me cherche avec avidité, il veut me coincer et je suis bien placé pour savoir que ce vieil auror est parfaitement capable de m'attraper et de m'envoyer à Azkaban pour le reste de ma vie. Et même si je doute en ce moment, les Détraqueurs ne m'inspirent aucune sympathie, bien que maléfiques au possible et plaisant beaucoup au mégalomane qui me sert de Maître.

Après un long moment de préparation (j'ai dû pratiquer toute une série de sortilèges pour que les personnes que je croiserai ne me reconnaissent pas et pour que leur attention soit dirigée sur quelqu'un d'autre que moi), je mis ma longue cape noire (à capuche, les flocons tombaient et recouvraient tout).

Je sortis de ma maison minable et me dirigeai vers ma ruelle pour transplaner. Ma maison était équipée d'un dispositif anti transplanage, pour que mes chers amis mangemorts ne me dérangent pas durant mon travail souvent minutieux. Je devais me rendre à Londres pour vendre tout un tas de potions louches dans l'Allée des Embrumes. Mes activités de Mangemort me rapportaient peu d'argent, et je n'avais pas la chance comme Lucius Malefoy d'être né avec une cuillère en argent dans la bouche.

Mes lèvres se redressèrent un court instant face à cette expression moldue, qui aurait valu ma tête sur une pique si jamais j'avais osé la prononcer en présence du Seigneur des Ténèbres, et transplanai dans un "pop" imperceptible.

Le Chaudron Baveur avait pour particularité d'être situé à proximité d'une ruelle comme celle près de chez moi, et j'entrai dans le pub d'un pas pressé.

Je ne pris pas la peine de saluer le barman qui avait froncé les sourcils en ne me reconnaissant pas. Je m'apprêtais à sortir dans l'arrière cour du bar, mais une chevelure blonde très claire retint mon attention.

La fille était de dos, assise à une table, et semblait seule. Je m'approchai d'un ou deux pas pour vérifier et fouillai dans ma mémoire. Les cheveux d'une telle pâleur étaient rares à Poudlard, pourtant je savais que je l'avais vue là bas. Les deux seules filles que je connaissais qui étaient aussi graciles et blondes, s’appelaient respectivement Narcissa Black, dorénavant Malefoy, qui était l'une de mes amies, et Cleya Ilùvatar, une jeune fille de Poudlard qui avait quelques années de moins que moi, à qui j'avais rédigé un devoir de potions que lui avait donné Slughorn et qui était incompréhensible pour la plupart de ses élèves.

Je me souvenais bien de cette fille - si ma mémoire était bonne, elle devait désormais être en cinquième année. Elle semblait différente des autres, et était amicale, bienveillante. Et ces cheveux ne s'oublient pas.

Cela dit, j'hésitais vraiment à aller lui parler. Je devais passer inaperçu et elle, ne se fondait pas le moins du monde dans le décor. Elle était jolie et les regards étaient nombreux à se tourner vers elle. Cela dit, comme toute Serpentard, elle était forcément confrontée aux idées de grandeur des Mangemorts ou de leurs proches. Et je voulais préserver ces élèves, je voulais leur faire comprendre que m'enrôler était beaucoup plus dangereux que ce qu'on leur fait croire parfois. Cela dit, pendant les réunions du cercle des Mangemorts, je ne pouvais pas les mettre en garde, cela compromettrait ma fidélité à la cause, et j'assistais impuissant aux enfants de plus en plus jeunes qui prenaient la marque.

J'étais tiraillé entre l'idée de m'enfuir le plus vite possible de cet endroit trop connu des services d'Auror, et celle de peut-être sauver la vie d'une jeune fille, ou du moins, son innocence, au risque de me faire embarquer pour Azkaban ou pire, d'être surpris par l'un de mes collègues.

Qu'était le plus important ; ma vie, ou la leur, celle de tous ces êtres innocents qui étaient confrontés à toute cette guerre entre les murs de Poudlard? En bon paranoïaque, je ne pouvais me confronter à un tel danger, je ne voulais pour rien au monde être le goûter des détraqueurs.

Finalement, quelques regards se tournèrent vers moi, ce que je souhaitais à tout prix éviter, et je rabattis mon capuchon sur ma tête, peu désireux d'attirer l'attention. Après une dernière hésitation, je m'assis sans cérémonie devant Cleya. Elle semblait plongée dans un bouquin, une biéraubeurre posée devant elle. Pour attirer son attention, je lançai d'un ton brusque :

- La place est libre ?

Je fis alors signe au barman et lui commandai un Whisky pur feu, en prenant soin de lui dissimuler mes yeux reconnaissables à leur couleur d'obsidienne.
Serpentard↯  Je suis rusé et j'ai la classe !
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MessageSujet: Re: Les doutes dorment sous leur manteau d'hiver    Les doutes dorment sous leur manteau d'hiver  Icon_minitimeVen 1 Mar - 14:15

You say you want a revolution
Well, you know
We all want to change the world
You tell me that it's evolution
Well, you know
We all want to change the world
But when you talk about destruction
Don't you know that you can count me out
Don't you know it's gonna be all right


J'avais entendu cet air moldu très en vogue ces temps-ci partout où j'étais allée, dans les centres commerciaux ou venant de petit bar qui aurait réglé leur volume un peu trop fort. Depuis ce matin je me promenai dans le Londres non magique sans but, emmitouflée dans un manteau plutôt neutre vert foncé, et à en juger par les regards qui glissaient sur moi sans me voir, j'étais assez doué pour m'immiscer incognito dans une foule de moldus. Les paroles de la chanson résonnaient en boucle dans ma tête, et je me surpris même à les fredonner doucement sur mon chemin vers le Chaudron Baveur.
Je n'étais en vacances que depuis deux jours, et mon père était pris par son travail jusqu'à demain soir encore, si bien que je ne pouvais pas rentrer chez moi pour le moment. En attendant, je me prélassai dans une petite chambre de l'auberge sorcière, d'ailleurs ils affichaient complet en ce début de congé. C'est Tom qui devait être content que Dumbledore est avancé les vacances de noël, c'était bon pour son business. En d'autre temps, et si j'avais été une autre fille, j'aurais profité de ce petit séjour aux abords du chemin de traverse pour faire des emplettes, mais je n'étais pas de celles qui achètent leur bonheur ainsi.

Je préférai rester au pub, une bonne bièraubeurre en guise de compagnie et un bouquin pour passer le temps plus vite. L'ambiance me convenait parfaitement, toutes ces têtes blafardes et peu amicales, aussi bien que les plus enjoués et les plus pétillants, bien qu'ils se fassent rares ces derniers temps il faut l'avouer. Tom était on ne peut plus aimable avec les élèves désoeuvrés tels que moi, je me sentais à mon aise sous son toit, bien que sa cuisine laisse à désirer. J'avais hâte de retourner auprès de mon elfe de maison, quel gourmet celui-là! Néanmoins rentrer maison signifiait aussi confronter mon père, et malgré tous mes espoirs de passer à côté du sujet, je crois bien que je ne pourrais point y couper. Il aurait tellement de question à me poser, sur le château, sur ce qu'il se disait, sur Pré-au-Lard où je n'étais même pas ce soir fatidique...
Ce dont j'avais le plus peur c'est qu'il me propose de me mettre en contact avec ses "amis". Je savais bien que mon père n'était pas l'un d'eux, mais il était aveuglé par leurs démonstrations de pouvoir et leurs idéaux sans scrupules. Evidemment que nous étions plus sorciers que ces erreurs de la nature qui ne sorte de nulle part, là dessus je n'avais aucune revendication, mais fallait-il vraiment se battre pour prouver notre supériorité? Après tout nous étions des sorciers plus puissants de nature, puisque plus purs, à quoi bon leur jeter à la gueule qu'ils ne seraient jamais capable de surpasser nos pouvoirs?

J'en étais au troisième chapitre de mon livre quand une voix me tira de ma lecture passionnée. Ma bièraubeurre était encore intacte. Je levai les yeux et esquissai un sourire à l'adresse du nouvel occupant de la chaise en face de moi. Voilà un bail que je n'avais pas entendu parler de celui-là tiens. J'acquiesçai d'un signe de la tête et je cornai la page de mon livre avant de le reposer devant moi. Je bu une gorgée revigorante de ma bière et gardai les deux mains autour de la chope en regardant d'un air interrogateur mon interlocuteur surprise.

« Je me demande ce qui peut bien t'amener ici » Pour mieux se faire comprendre, je balayai le pub du regard, personne ne semblait s'intéresser à nous. J'ajoutai beaucoup plus bas :
« On m'avait pourtant dit que c'était plus l'allée d'à côté qui t'interessais désormais »
Je lui lançai un clin d'oeil à peine perceptible et buvait quelques petites gorgées supplémentaires, mes lèvres effleurant à peine le bord de la chope en grès.
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MessageSujet: Re: Les doutes dorment sous leur manteau d'hiver    Les doutes dorment sous leur manteau d'hiver  Icon_minitimeVen 1 Mar - 16:08

La gamine en face de moi semblait absorbée par son livre et elle mit un certain temps avant de répondre à ma question. Agacé, je serrai les mâchoires. Je me demandais si j'avais eu une bonne idée en venant ici, et en m'asseyant devant elle. Comme d'habitude, mû par des instincts qui m'insupportent souvent, j'avais écouté mon coeur - le mot me tira un sourire d'amusement. Un coeur ? Cela faisait fort longtemps que mon coeur me semblait sombre et froid.

Mes idées me semblait désormais plus que passées et je connaissais mon erreur - celle d'être dépendant de quelqu'un pour exister. Et je ne voulais pas marquer ma famille du sceau si craint de la magie noire. Elle avait déjà bien assez souffert comme cela - inutile d'en rajouter. Ma pauvre mère me maudissait, je le savais bien, d'avoir été si faible d'esprit. Mais comment faire pour se soustraire à ses idéaux, ceux que l'on entend depuis sept longues années ? Comment faire pour ne pas suivre les personnes qui nous ont guidé durant notre apprentissage ? Suivre des amis, qui, eux seuls, ont vu la puissance qui se cachait dans mon corps si frêle à l'époque... me semblait la seule option possible.

Finalement, Cleya décida de me répondre, ses grands yeux se dirigeant droit dans les miens, et - je fus surpris d'y déceler cela - une pointe d'amusement les teintait. J'étais habitué à provoquer le dégoût dans les yeux et les pensées des gens, et un regard neutre, voire amical, me saisissait toujours. Je réprimai l'envie de me plonger dans son esprit pour déceler ce qu'elle pensait vraiment, et, en fait, pour essayer de savoir si elle avait ou non l'envie de me tuer. Décidément la paranoïa prenait de plus en plus de place dans mon esprit. "Mon pauvre Severus," pensai-je, "tu vas finir par devenir comme ce vieux Fol Oeil qui se croit attaqué dès qu'on lui adresse la moindre formule de politesse."

- Je me demande ce qui peut bien t'amener ici.

Cleya balaya le pub du regard et ajouta a mi-voix :

- On m'avait pourtant dit que c'était l'allée d'à-côté qui t'intéressait désormais.

Je la fusillai du regard et détournai la tête, voulant savoir si quelqu'un l'avait entendue. Apparemment pas, mais je la maudis de me faire prendre tant de risques. Je me radoucis pourtant en la voyant me faire un clin d'oeil presque imperceptible. Bien que follement inconsciente, cette fille avait un charme indéniable. Même si je n'avais nullement le temps de me consacrer a une relation, quelle qu'elle soit, je n'avais pas le moins du monde perdu l'habitude de remarquer les personnes charmantes.

- Ne parle pas de mes... activités ici. Justement, je devais me rendre à cet endroit mais j'ai décidé de passer du temps ici.

Je jetai à nouveau un regard autour de moi et ajoutai :

- Comment se passent les choses à Poudlard ? Est-ce que... Les idées se diffusent ?

Quel idiot. Elle devait penser que je voulais obtenir des informations sur la résistance au sein de l'école. Et si elle n'était pas, comme je l'espérais, sur le point de rejoindre les Mangemorts, elle pouvait tout aussi bien aller me dénoncer à Dumbledore. Aussi me dépêchai-je de me rattraper :

- Je ne veux pas obtenir d'informations bien sûr, mais je m'inquiète pour mes anciens camarades... Vois-tu, le monde ici n'est pas tel que je me l'imaginais en quittant Poudlard.

Je la savais assez intelligente pour comprendre que, lorsque je disais "monde", je parlais du cercle des Mangemorts.

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MessageSujet: Re: Les doutes dorment sous leur manteau d'hiver    Les doutes dorment sous leur manteau d'hiver  Icon_minitimeMer 6 Mar - 12:18

J’avais rendu Rogue nerveux, et de cela je tirai une certaine fierté. Ceux de mon année disait volontiers que c’était un personnage à vous faire froid dans le dos, qu’il ne souriait jamais et que son seul regard par dessous ses cheveux noir de jais avait déjà tué un homme. Bien sûr à Poudlard il faut toujours savoir différencier le vrai du faux, le possible de l’absurde, sinon les commérages finissent par avoir raison de vous. Je n’étais pas intéressée par ce que manigançai mon ancien camarade, chacun suit son bonhomme de chemin comme on dit, et quel que soit celui qu’il ait choisi, je n’en avais cure. Il est probable que comme beaucoup d’autres avant lui et beaucoup d’autres après lui il soit tombé au plus profond du gouffre de la magie noire, cette sorcellerie à la fois obscure et fascinante qui ne vous lâche que difficilement lorsqu’elle a décidé de faire de vous son pantin. Mais je ne pensais pas que Severus Rogue soit un simple pantin, au contraire, il me donnait l’impression d’agir de son propre chef, tout du moins dans le cas présent, car je voyais mal le Seigneur des Ténèbres ou qui que ce soit d’autre lui souffler l’ordre de venir bavasser avec la petite Cleya que je suis.

Comment savais-je que je l’avais mis mal à l’aise ? Tout simplement parce que ses yeux parlaient pour lui, et ces derniers m’auraient tué sur le champ si les dires des jeunes élèves insouciants de l’école étaient fondés. Il jeta un regard anxieux autour de notre table, et je pariai qu’il s’assurait que personne n’avait intercepté une bride de notre début de conversation. Mes lèvres se cornèrent en un mince sourire lorsqu’il se détendit quelque peu, et je bus un peu de bièraubeurre.

- Ne parle pas de mes... activités ici. Justement, je devais me rendre à cet endroit mais j'ai décidé de passer du temps ici.

A ces mots je n’ajoutai rien, et mimai simplement l’action de sceller mes lèvres l’une à l’autre, puis je jetai par dessus mon épaule une clé imaginaire. Il me connaissait mal s’il pensait que j’avais ne serait-ce qu’une seule personne au monde a qui aller raconter mes petites entrevues de ce genre dans des bars miteux, de plus mes conversations avec Tom se limitaient à parler de la météo, de l’état de ses affaires et du menu que proposait son auberge.
Je m’interrogeai sur ce qui avait détourné ce personnage notoire de son programme, je n’avais pas l’habitude d’attirer particulièrement l’attention sur moi et j’étais on ne peut plus certaine de n’avoir rien fait, même pas un battement de cil, pour le faire venir jusqu’à moi, alors que se passait-il ? Je voyais mal comment il était passé de « je suis en chemin pour l’allée des embrumes » à « tiens donc je vais prendre un verre avec une camarade de trois ans ma cadette qui se trouve être là ».

Des idées qui se diffusaient, il y en avait beaucoup au château, de nature et de forme très variés d’ailleurs. On ne savait plus où donner de la tête. Enfin je parlais d’un « on » dans lequel je ne m’incluais pas. Je n’avais aucun intérêt pour les idées d’autres, je n’en avais besoin ni pour m’inspirer, ni pour me guider, ni pour me donner une sensation de sécurité, d’unité. J’avais mes idées, et ces dernières concernaient le moins possible la guerre et le plus possible la sauvage nature qui m’attendait au détour du chemin de ma vie j’en étais sûre. J’étais plus intéressée néanmoins par le but de la question ? Que souhaitait-il m’entendre dire, je n’en savais fichtre rien, il avait la mauvaise manie de parler par énigme celui-là, mais peut-être étais-je de la même trempe en y réfléchissant bien…
S’il ne voulait pas me soutirer des infos sur Poudlard, que me voulait-il ? Il disait que le monde était tout autre que ce qu’il s’était imaginé en tant que simple élève de Serpentard, et par monde je comprenais enfin où il voulait en venir. Où tout ça voulait en venir. Le tableau s’éclaircissait peu à peu dans ma tête, conservant quelques zones d’ombres par ci par là, mais dans l’ensemble, le puzzle prenait du sens.

« Alors je me demande à quoi tu t’attendais » Répliquai-je plus amèrement que je ne l’aurais voulu, ah si mon père nous entendait qu’aurait-il à redire de ma philosophie ? Sûrement beaucoup de choses.

« Poudlard part a vau-l’eau si tu veux mon avis. Les élèves sont comme des rats qui s’excitent dans leur cage en se demandant ce qu’ils feront une fois sortis. Plus personne ne sait où donner de la tête. Chez nous autres Serpentard, le mot d’ordre semble être de se faire discret jusqu'à ce qu’on quitte l’école, cependant ailleurs certains élèves sont loin de faire profil bas. Il y a cette fille, Lundy de son nom de famille…, Je fixai Rogue intensément en cet instant précis, j’étais curieuse de ce qu’évoqueraient ces paroles en lui, Elle monte une espèce d’association douteuse pour soutenir sa mère, mais je n’en sais guère plus. »

Lui parler de Dana et de ses stupidités était plus facile que de lui décrire l’ambiance chez les verts et argents, c’était trop tendu, et j’avais peur de dire des bêtises. Je ne savais pas exactement quelles étaient les intentions de Rogue, et je ne ferai pas de faux-pas. J’aurais pu lui parler de mon altercation avec le préfet-en-chef à propos des choix auxquels tout un chacun est un jour confronté, mais je pressentais que ce n’était pas une bonne idée.







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