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Professeur↯  Les runes, inutiles ? Mais non !
Adrian Ivanov



Nombre de messages : 1518
Age : 29
Groupe : Neutre ; Professeur ; Sorcier
Caractère : Passionné, Indépendant, Influençable, Perfectionniste, Renfermé, Apeuré
Crédits : : Marelle
Date d'inscription : 20/06/2011




Adrian Ivanov

Professeur
Les runes, inutiles ? Mais non !


Carte du maraudeur
Niveau magique: 10/15
Libre pour :: aucun rp
Bonus: + 15
MessageSujet: Adrian Ivanov ••• Professeur ès Runes   Adrian Ivanov ••• Professeur ès Runes Icon_minitimeSam 5 Mai - 9:32



Adrian Michaeles IVANOV





Je suis né(e) à Oslo . Encore un sorcier comme tous les autres ? Détrompez-vous car je suis spécial(e) dans mon genre ! Et oui, car je suis un être magique que l'on dit Patient, Méticuleux, et Responsable. Bon d'accord, je vous l'accorde, il m'arrive d'être Prétentieux , Violent et Intransigeant . Mais bon que voulez-vous je suis humain après tout ! D'ailleurs mon patronus prend la forme d'un Cerval, lorsque je pense à moi en train de prendre Célise dans mes bras pour l'embrasser . Cela me permet de repousser d’éventuel épouvantard prenant la forme du noir total et de ma mort. J'ai deux compagnons : ma baguette faites en bois d'if, avec un crin de licorne et mesurant 27.5 cm et mon fidèle chat noir que j'ai appelé Pimprenelle




« Salut moi c'est Marelle et j'ai décidé sur le forum d'être incarné(e) par Tom Cruise. J'ai bien lu le règlement et j'ai compris que le mot magique était Je suis arrivé(e) ici par le biais de Cucube il y a près d'un an. J'aimerai rester la filleule de Lyra pour toute ma viiiie ! Adrian Ivanov ••• Professeur ès Runes 180533 »
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MessageSujet: Re: Adrian Ivanov ••• Professeur ès Runes   Adrian Ivanov ••• Professeur ès Runes Icon_minitimeSam 5 Mai - 9:33


Histoire du personnage



Je suis né à Oslo, dans une ville où le souffle du vent qui fait tournoyer la neige couvre le cri du nouveau né qui arrive à la vie. En hiver toutefois: nous étions en été, le 28 juillet 1949 très précisément, et mon premier cri résonna dans tout l’Hôpital Sorcier. J'étais le premier né des Ivanov et mon père, Alexei, ne pouvait qu’être fier de moi. J’ai grandi dans une de ces grandes familles de Sang Pur Norvégienne qui prônaient le respect des traditions tout en promouvant l’intégration au monde moldu; j’ai donc été scolarisé très tôt dans une école privée, moldue certes, mais peuplée d'autres héritiers comme moi. Déjà à l’époque, j’étais un petit garçon turbulent, rieur et joueur tout en restant obéissant à mes parents que j’adorais. J'avais envie de tout savoir, de tout apprendre, que ce soit du monde sorcier auquel j'appartenais ou du monde moldu dans lequel je vivais. Mon père était un Médicomage, ma Mère restait à la maison pour s’occuper de gérer les elfes, les soirées, et mon éducation. La vie était belle, calme, et pimentée de toutes ces découvertes que font les enfants… Jusqu’en 1957…

C'était peu après mes huit ans, le 8 septembre 1957 pour être précis. Mes parents m’avaient appris à ne pas craindre ou mépriser les moldus parmi lesquels nous vivions et jusque là je n’avais jamais eu peur de leurs engins qui étaient devenus les miens. Aussi ne me faisais-je pas de soucis quand cette nuit là, nous rentrâmes sous la neige d’une soirée chez des amis sorciers, dans la voiture de sport qu’affectionnait tant mon père. Je fus réveillé par le hurlement surpris de ma mère, les jurons de mon père et le crissement désagréable qui résonne toujours à mes oreilles, des pneus de la voiture qui n'adhèrent plus à l'asphalte. C'était quelques centièmes de secondes avant l’impact et la chute dans les falaises. Mes parents moururent sur le coup, j’étais pour ma part blessé gravement mais en vie. Et orphelin. D’après les rapports de la police moldue, la plaque de verglas était si habilement masquée par le blizzard que même un conducteur expérimenté comme mon père n’avait rien pu prévoir. J’étais donc orphelin à huit ans. Des quelques mois qui achevèrent l'année 1957, il ne me reste que peu de souvenirs, ma vie se résumant à une errance sans repères autres que les condoléances de nos voisins, les visites du notaire et des médecins. Mi-janvier, enfin, tous les papiers furent en ordre et le frère cadet de mon père, un expert en structure de chaudrons, devint mon tuteur officiel jusqu'à ma majorité. Je quittai la Norvège pour aller vivre en Angleterre, laissant derrière moi un Manoir qui devait me revenir à mes 17 ans, des amis qui m'avaient déjà oublié et les souvenirs de mes parents.

Dès mon arrivée en Angleterre, je me suis demandé comment j’allais pouvoir y vivre. La grandeur de la campagne norvégienne me manquait. Le froid de la Norvège me manquait. La pitié de mon oncle et de ma tante, August et Marietta Ivanov, m’était insupportable. L'anglais, que je ne maîtrisais absolument pas sonnait comme le crissement des craies sur les tableaux noirs. Je haïssais l'Angleterre pour tout ce que qu'elle représentait. Les premiers mois, toute la première année à dire vrai, j’étais tout simplement odieux. Fini le Sang Pur bien éduqué ! Je coulais petit à petit vers la délinquance… et personne ne parvenait à m'en empêcher, même mes tuteurs qui faisaient tout leur possible. Je rejetais leur aide, la langue de mon pays d’accueil, les cours, les cadeaux, les punitions… Jusqu’à ce qu’ils aient l’idée de m’offrir Pimprenelle. Ma chatte, ma meilleure amie. Je l’ai eue juste avant de partir à Durmstrang pour y suivre mes études comme le voulaient mes parents. Pendant le mois d’août, je tâchai de me rapprocher un peu de mon oncle et de ma tante, et contrairement à ce qu’on aurait pu penser quelques mois plus tôt, je devins très proche d’eux. Mais Durmstrang m’attendait, et avec lui mes connaissances Sang Purs des pays scandinaves… je n’allais pas en terrain inconnu et il me tardait de retrouver la rigueur des pays nordiques !

Ah ! Durmstrang ! J’y ai tout de suite été à mon aise, avec des amis, un réputation et un caractère bien à moi. Tous les rejetons Sang Pur du Nord connaissaient les Ivanov, et je les connaissais tous. Pour eux, j’étais « celui qui a perdu ses parents à la moldue » et ne serait-ce que par ce fait j’étais déjà populaire. Mais ce n’était pas suffisant pour réussir en cours et je vis tout de suite que je n’avais pas les facilités de certains. Je devais travailler dur pour réussir un sortilège, les potions me demandaient beaucoup de travail, l’astronomie était un calvaire. Heureusement, j’avais pour moi une excellente mémoire qui me permit de rester dans la moyenne, voire au-dessus. Je ne rigolais pas avec mes études et je pense que j’aurai été à Serdaigle si j’avais été scolarisé à Poudlard. J’avais aussi dans mon camp le règlement de Durmstrang qui poussait les élèves à se mesurer les uns aux autres dans des séries de duels plus ou moins violents, loyaux ou réglementaires. Mon plus grand exploit fut de casser les deux jambes d’un sorcier de deux ans mon aîné en le poussant dans les escaliers. Mon professeur de Sortilège vint d’ailleurs me féliciter pour ce coup d’éclat qui avait nécessité un Jambencoton parfaitement réalisé. Je suivis donc mon chemin, ne voyant que peu mes tuteurs et me liant d’amitié avec des sorciers de tous les âges. Je me faisais remarquer par mes professeurs par mon talent en Runes qui me classait dans les premiers de ma division pour cette matière.

Dès ma première année, je me rapprochais d’un garçon de mon âge à l’accent étrange: Henrik Zawistowsky, un Polonais à la famille étrange (ses parents étaient des sorciers, et des bouchers !). Nous étions toujours fourrés ensemble, moi le cerveau et lui les muscles (physiques et magiques). Tous les étés dès notre première année, j’allais un mois chez lui et lui venait un mois chez moi… Lorsqu’en troisième année il eut un petit frère, nous tombâmes amoureux du petit bébé et deux ans plus tard, forts de nos connaissances acquises à Durmstrang et de la Magie Noire que nous observions avec envie, nous décidâmes de le protéger coûte que coûte en scellant le serment par le sang, utilisant nos connaissances en Runes et en serment inviolable pour que ce soit officiel. Il ne s’était rien passé d’extraordinaire à l’époque (j'espère aujourd'hui qu'il ne s'est rien passé du tout) mais nous étions fiers de notre coup. Nous l’étions un peu moins quand ses parents nous retrouvèrent, une blessure au creux de nos mains, le sang s’écoulant sur le petit Klaus… Je crois qu’à partir de cet été, de nos 15 ans, mes tuteurs et les parents Zawistowsky virent d’un mauvais œil notre amitié et choisirent de nous séparer.

Il y eut aussi Marcus qui avait cinq ans de plus que moi et qui occupait la place de ce qu’ils appellent préfet à Poudlard. Il était en quelque sorte mon parrain à Durmstrang et me considérait comme son petit frère. Dès mon arrivée, en première année, il me prit sous son aile sans que je sache réellement pourquoi et nous ne nous quittâmes pas. Mes tuteurs, s'ils n'appréciaient que peu Henrik, louaient la gentillesse de Marcus et encourageaient notre amitié. Nous étions donc très proches, même si ce n’était pas aussi fusionnel qu’avec Henrik et ce doit être l’un des derniers de mes amis de Durmstrang avec lequel j’ai perdu contact et l'un des premiers avec qui j'ai renoué lorsque je suis revenu en Europe.

Au sortir de Durmstrang, je n'avais qu'une seule idée en tête: poursuivre les études des Runes Anciennes et en faire mon métier. Je m'étais renseigné toute ma septième année et mon choix s'était porté sans aucune hésitation sur l'Université de Darwin qui formaient les meilleurs Graphistes qu'il soit. Je dis donc au revoir à mes amis, mon oncle et ma tante, et m'envolai par portoloin vers la nouvelle vie qui m'attendait. Le trajet vers Darwin ne fut pas sans heurt, puisqu'un seul portoloin ne pouvait nous y emmener d'un coup. Nous étions deux étudiants d'Europe à faire le trajet pour rallier la même Université et nous découvrîmes avec joie les quelques pays dans lesquels nous devions faire escale pour ne pas subir de désagréments magiques à un si long voyage.

Ma formation à Darwin dura cinq ans, cinq longues années aussi éprouvantes qu’exigeantes, ponctuées d'échecs, de réussites et de découvertes. Je sortis avec de nombreuses Australiennes qui trouvaient mon accent craquant, et excellai dans mes études, les Runes devenant rapidement mes amies les plus proches. Pimprenelle était là, elle aussi, et m'accompagnait partout où mes pas me portaient. A 24 ans, j'obtins mon diplôme avec des résultats plus qu'honorables (j'étais le major de notre promotion) et je dus malheureusement rentrer en Angleterre où l’École m'envoya. C'était l'une de ses rares particularités qui me déplaisaient, puisqu'elle s'arrogeait le droit de décider sans possible réclamation des premiers postes de ses élèves diplômés, afin sûrement de répartir dans les lieux magiques les rares Graphistes que nous étions.

En 1973 donc, je rentrai en Angleterre pour prendre ma place au Ministère avec les autres Graphistes qui y étaient déjà. Je ne perdis pas le rythme de vie que j'avais en Australie, conciliant mon travail, mes conquêtes, mes amis, mes soirées... Ma vie n'était pas une vie de débauche mais belle et bien la vie d'un jeune adulte au sortir de ses études et qui venait de rentrer dans la vie active. C'est à cette époque que je rencontrai Célise, dans un cinéma moldu. Je l'avais déjà croisée dans un magasin sur le chemin de Traverse aussi je n'eus aucun doute sur son appartenance au monde sorcier. On parle beaucoup de coup de foudre mais on ne sait pas ce que c'est tant que l'on n'en a pas vécu. Quand mes amis me disaient que je planais, je répondais qu'elle était belle. Quand ils s'inquiétaient de me voir devenir bête, je disais que je voulais sortir avec elle. Enfin, le 21 avril 1974, nous fûmes officiellement ensemble. Le 14 août, je pris la décision de la demander en mariage. Le 17 août, mon Oncle décéda à la suite d'une rupture d'anévrisme. Le 07 septembre, c'était ma tante qui le rejoignait. En quelques mois je passai du bonheur le plus total à la dépression sévère, et même Célise n'arrivait pas à m'en sortir. Dans mon esprit, au moment ou je fêtais les 16 ans du décès de mes parents venait s'ajouter celui de mes tuteurs qui avaient tant fait pour moi sans réciprocités. Pour supporter cela, je ne vis qu'un moyen: m'investir toujours davantage dans les recherches runiques, et je délaissais petit à petit tous mes amis.

En février 1975, Dumbledore m'offrit une place de professeur de runes à Poudlard mais, assez égoïstement et parce que je ne m'en sentais pas capable, je refusai tout en me réfugiant dans mon appartement modeste (malgré ma fortune), avec Célise. Ce fut sûrement la goutte d'eau qui fit déborder le vase de la tolérance de Célise qui n'en pouvait plus de me voir m'autodétruire: deux mois après, elle m'annonça sa volonté de rompre avec moi et de partir aux Etats Unis où en tant que Médicomage elle n'allait avoir aucun souci pour trouver du boulot. Je n'eus pas le cran de la retenir et je la laissai prendre un portoloin, en juin de la même année. Dès son départ, je renvoyai un hibou au Directeur de Poudlard pour lui dire que j'acceptais finalement le poste. J'avais à cette époque rompu les ponts avec la plupart de mes amis anglais, et il ne restait dans mes proches que Selena Potter qui avait accepté de publier mon premier livre, son mari qui arrivait à me sortir de mes idées noires, et Marcus Leightwood qui m'avait recontacté il y a peu.

Septembre 1976, à 27 ans, j'entamai ma première année d'enseignement. Je fis le choix d'une pédagogie à la Durmstrang, prenant ainsi le contre-pied de la plupart des règles de Poudlard. Si je ne poussais pas le bouchon au point de punir un élève par sortilège (ce qui me démangeait souvent), j'appliquais ce qui était pour moi la règle de base de l'éducation: oeil pour oeil, dent pour dent. Les élèves qui provoquaient un duel devaient le mener jusqu'au bout, ceux qui étaient provoqués n'avaient pas à fuir. Je me mis à dos la plupart des professeurs de Poudlard, mais je m'en fichais. Si je n'étais plus le jovial adulte fraichement diplômé de Darwin, si je m'étais assombris, et si je me refusais de considérer les apparitions de marque de ténèbres (comme les journalistes l'appelaient) comme une menace, j'étais aussi retourné à l'éducation de mon enfance, m'attachant avec une certaine rigueur à respecter à la règle les traditions sang pures, du maintien à l'éloquence, acceptant les invitations chez les grandes familles anglaises et étrangères, me creusant un trou dans la société Sang Pur d'Angleterre.

Je n'étais pas pour autant tout à fait indifférent à ce qu'il se passait en Angleterre, puisque l'incendie qui se déclara automne 1976, les meurtres qui se multipliaient posaient sur la société sorcière une ombre de tension et de peur qui m'affectait aussi. L'apogée de ce début d'année fut le meurtre d'élèves à Noël, au sein même de l'école, et l'attaque sur le Ministère. Ce Lord Voldemort me troublait mais je ne me rendais pas compte de sa dangerosité. J'avais pris pour parti, depuis des années, de me soucier que de moi et de ceux dont j'étais responsable et que l'on touche à mes élèves étaient quelque chose d'inadmissible. L'année 1977 fut à l'image de 1976: on assistait à la montée des extrêmistes, les morts se rapprochant de plus en plus de ma petite sphère protectrice que j'avais formée autour de moi. Un professeur de Poudlard. La famille d'une de mes élèves... Ca ne m'atteignait pas réellement, mais il fallait l'avouer, je n'étais pas tranquille. J'écoutai sans réellement m'y intéresser les discussions anxieuses de la salle des professeurs, menant mon petit train de vie tranquille, terrifiant les élèves, m'agaçant devant leur niveau pitoyable, ignorant les critiques sur ma méthode d'enseignement. Je choisis rapidement d'éviter de penser à la politique du pays, vu que je n'arrivai pas à être concerné, et pris le parti d'esquiver tout ce qui pouvait me forcer à m'y intéresser. Aussi, la visite de la Ministre à Poudlard en mai 1978 se passa sans moi puisque j'étais en pleine conférence au Ministère; Puis la mort de Célise, en juin de la même année fit s'effondrer le peu de solidité que comptait ma vie. Certes, nous étions séparés. Certes, cela faisait un petit bout de temps que je ne l'avais pas vue, mais... je souffris. Plus que pendant ces cinq dernières années. Si avant j'étais déjà incapable de me concentrer sur ce qu'il se passait dans le pays, il ne fallait même plus y penser maintenant... ça pouvait paraître égoïste, mais je ne me concentrai plus que sur moi, les Runes, Pimprenelle et mes cours.

Ce détachement vis à vis de ce qu'il se passait aurait pu durer encore longtemps s'il n'y avait pas eu ce hibou, d'un certain Angel Hell. Pour la première fois, on entrait en contact avec moi pour mes capacités. Même s'il y avait une dérive du serment inviolable, même si cette personne était douceureusement odieuse, je ne pouvais m'empêcher de me sentir flatté par cet intérêt. Je le rencontrai, découvris le pouvoir et l'immensité des Runes de sang, pendant l'été 1978 et je tombai clairement dans les mailles de la magie noire, sans aucune envie d'en sortir. Les Runes de sang étaient si insidieuses, leur appel si pressant... je ne pouvais refuser d'autant plus que j'avais les capacités de les maîtriser.

Mais la guerre ne me rattrapa réellement que quelques mois après, ce 31 septembre... l'attaque à Sainte Mangouste où j'étais logé comme patient pour désartibulation aggravée. J'avais toujours cru que ces idéalistes de Mangemorts prônaient la pureté du sang, l'usage de la magie noire, la supériorité des Sang Purs... je ne m'étais donc jamais inquiété d'être touché par leurs attaques, puisque je remplissais les yeux fermés tous les critères, quand bien même mon sang était norvégien. Grosse illusion... j'en fis les frais violemment lorsque je me retrouvai à devoir défendre pour l'honneur trois de mes élèves, luttant pour ma vie, ma survie et la leur. J'avais eu une période de rixes et de bagarres à Durmstrang et je me savais violent lorsqu'on me titillait. Je n'eus aucun scrupule à lancer à un de ces Mangemorts un Doloris pour lui apprendre à bien se tenir, et pour me venger je l'avoue aussi.

C'était il y a quelques jours... et maintenant, me voilà convoqué au tribunal, pour usage d'un sortilège impardonnable ! Je ne comprends pas la logique du Ministère anglais... je ne comprends pas comment on peut m'en vouloir pour avoir utilisé un sortilège sur quelqu'un qui m'avait soumis à sa volonté. Je ne comprends pas... Et ça me révolte. Je n'ai jamais aimé ne pas comprendre, et les fois où ça est arrivé, j'ai préféré esquiver comme j'ai esquivé toutes ses années la question politique du pays... Mais je ne peux pas esquiver la convocation, comme je ne peux pas fuir le fait qu'il me faille sous peu choisir un camp.



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