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Mangemort↯ Moi, future maman ? Mon corps va être déformé !
Krystel Raybrandt



Nombre de messages : 1379
Age : En quoi est-ce ça vous regarde? J'ai bientôt 20ans et je suis enceinte de 5 mois
Groupe : Les ténèbres...
Caractère : Lunatique - Maléfique - Impatiente - Manipulatrice - Narcissique - Ambitieuse
Crédits : : Avatar (c) Barda
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Krystel Raybrandt

Mangemort
Moi, future maman ? Mon corps va être déformé !


Carte du maraudeur
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MessageSujet: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMer 17 Sep - 19:18

    Cela faisait maintenant près de 10 jours que j’avais quitté l’Angleterre pour rentrer en France. J’avais des affaires importantes à y faire, qui ne pouvaient plus attendre. J’avais passé de très longues et interminables journées à me battre contre ma mère, qui me refusait mon héritage, car vu que j’avais quitté Poudlard, je n’avais pas respecté la close que mon père avait mis en place avant sa mort. Foutaise bien entendu.

    J’avais du embaucher des avocats pour enfin obtenir mon dû. J’étais restée dans l’enseignement magique jusqu’à ma majorité française, et du coup, j’étais en toute légalité quand je réclamais mes parts de la fortune familiale. Elle m’avait volé une semaine et demi, pendant lesquelles, je n’avais pas pu retourner chez les britishs. Cela m’avait qu’attisé ma haine envers elle, mais le jeu en avait valu la chandelle. J’avais pu enfin être créditer de tout ce qu’elle m’avait prit, plus que quelques dédommagements.

    J’en avais enfin fini avec elle, et plus jamais je n’entendrais parler d’elle. Récupérant tous mes affaires qui se trouvait dans les deux maisons de mon père, je les avais fais transférer dans ma nouvelle acquisition, mon nouvel habitat. Je l’avais eu pour un prix dérisoire, et ce dernier était parfait pour mon rang. J’avais hâte de retourner au Royaume Unie, tellement que je ne pris même pas la peine de saluer la ‘noblesse’ française, chose normalement inconcevable. Mais je m’en fichais, j’avais une promesse à tenir.

    Il était très tard quand je pu enfin rentrer dans ce pays. J’étais déjà passée chez moi, vérifier l’état de mes affaires. Regardant l’heure - plus de 2H30 – je me mis à hésiter. Il serait plus convenable que je me rendre chez lui le lendemain, mais je n’avais plus envie d’attendre. J’avais besoin de le retrouver, de l’avoir de nouveau à mes côtés. Il m’avait tellement manqué.

    Tant pis si je le réveillerais. Je serais une bonne surprise après tout. Je lui avais promis de revenir, et même si j’avais mis du temps, j’étais de nouveau en chemin vers lui. J’avais un peu peur de trouver ‘quelque chose’ de désagréable chez lui, vu que je ne lui avais pas prévenu que je venais seulement de rentrer, mais tant pis. Maintenant que j’étais de retour, je ne pouvais pas attendre.

    Sans même prendre le temps de me regarder dans le moindre miroir, chose complètement impassable chez moi et pourtant… Je sortais de mon château, après avoir ordonné à mes domestiques de tout nettoyer et ranger pour mon retour. Ajustant sur mon visage une cape rouge sang – ayant perdu ma noire fétiche – je transplanais de nouveau, mais cette fois pour me rendre dans un endroit que je connaissais très bien.

    En effet, je venais d’arriver sur le lieu de mes tous premiers meurtres. Je ne pu m’empêcher de sourire à cette idée. Savant très bien comme déensorceler le manoir, je le fis, pour apporter un peu un effet de surprise au jeune homme. Mon cœur battait de plus en plus au fur à mesure que j’approchais de la porte. J’allais enfin le retrouver.

    Soufflant un instant pour me calmer, je poussais les barrières en bois, et elle s’ouvrit dans un léger grincement. Tout de suite, un elfe de maison arriva, et me dévisagea, sans rien dire. Lui lançant mon manteau à la figure, je lui demandais alors où se trouvait son maître dans un murmure. M’indiquant un lieu au rez-de-chaussé dans lequel je n’étais jamais allé, je pris quand même cette direction.

    Le couloir était très long, mais finissait par aboutir dans une pièce. On pouvait entendre le crépitement d’un feu de cheminée. M’approchant à silence, aucun son ne se produisait quand mes pieds touchèrent le sol. L’endroit était décoré très modestement, comme si on avait enlevé toute trace des anciens habitants. Contournant le canapé, c’est là que je le vis.

    Endormi sur la banquette, se trouvait Amycus Carrow. Un nouvelle fois mon cœur se mit à battre très fort, et c’était avec joie que je vis qu’il était seul. Tout doucement, je marchais vers lui. Une fois arrivé à quelques centimètres de lui, je lui caressais la joue, tout en le regardant tendrement. Ne pouvant résister, je déposais un léger baiser sur ses lèvres. C’est alors qu’il ouvrit ses yeux, ses magnifiques yeux. Murmurant doucement, je lui dis avant de, de nouveau, de mettre à le ré embrasser :


    - Réveilles toi mon prince au bois dormant…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMer 17 Sep - 20:57

    L’horloge sonna dix coups quand Amycus pénétra de nouveau dans le manoir qui avait été celui de ses parents et était à présent devenue le sien. Il avait longuement hésité à le céder pour aller vivre ailleurs car les souvenirs qu’il avait en ces lieux n’étaient pas agréables. Il se souvenait des hurlements, des humiliations et des coups. Cependant, il avait décidé de le garder car il savait que cela aurait fait enrager son ignoble père ! Et cette simple idée réjouissait le jeune homme…

    Lorsqu’il entra dans l’immense hall, un des elfes de maison vint lui prendre la cape d’hiver dans laquelle il s’était enroulé en sortant du Chaudron Baveur… Car aussi étonnant que cela puisse paraître, le riche héritier travaillait toujours dans le Pub et il avait une bonne raison ! Cela lui permettait d’obtenir des informations plus qu’intéressantes au sujet de tout.
    Avant que le serviteur ne file de nouveau, Amycus lui demanda s’il avait eu de la visite et si quelqu’un l’attendait… Cependant, la créature couina que non, personne n’était venue !

    Cela faisait maintenant dix jours qu’il posait encore et encore cette question, espérant qu’elle serait enfin de retour ! Il était certes sortit plusieurs soirs mais n’avait fait que s’amuser avec deux trois nanas qu’il considérait comme de simple passe-temps, des jouets qui le lassaient très vite…
    Ben sûr il y avait ce soir où il avait revu Anna… Il avait de nouveau ressentit ce sentiment douloureux de l’amour mais n’avait rien laissé paraître ou quasiment rien puisqu’il avait méchamment ‘‘abimé’’ le jeune homme qui draguait la brune dans un excès de jalousie dira-t-on.

    Un sourire apparu sur les lèvres du mangemort quand il repensa au sale quart d’heure qu’il avait fait passer à ce crétin qui avait eu l’audace de le défier… Ce fut l’elfe de maison que le sortit de sa rêverie ! Stupide animal. Il informa son maître que le manoir avait été nettoyé de fond en comble y compris sa chambre. Le jeune homme lança un regard noir à l’elfe.


    - Je t’ai dit que je n’y mettrais pas les pieds… Maintenant hors de ma vue ! Mais avant, vas en cuisine et dis à Sweeney de me préparer un en-cas… Il me l’apportera lui-même… Ta face immonde m’insupporte royalement et risquerait de me couper l'appétit !

    L’elfe qui partit en cuisine n’avait jamais été apprécié par Amycus car il appartenait à son père… Avec Sweeney c’était différent, il avait appartenu à sa mère et c’est cette petite créature qui lui avait apporté des repas en douce lorsqu’il était enfant et qu’il se retrouvait enfermé dans sa chambre des jours durant sans le moindre motif !
    Après ça, le mangemort était partit se doucher et s’était rendu dans la pièce qui avait été souvent son refuge… Une petite bibliothèque agrémentée d’une cheminée, d’un canapé assorti à un fauteuil et de nombreuses étagères remplis de livres divers mais le plus souvent en rapport avec la Magie Noire.

    A peine installer dans le canapé, Amycus vit arriver l’elfe avec un plateau chargé de mets divers… Il se rendit compte à quel point il mourrait de faim. D’un ton neutre il dit au serviteur qu’il pouvait disposer et il commença à manger. Au bout d’une quinzaine de minutes, le jeune homme quitta une nouvelle fois la pièce où il se trouvait mais y revint peu de temps plus tard après avoir fait un tour dans la salle de bains… A son retour le plateau repas avait disparu !
    Amycus allait s’allonger dans le canapé quand il se souvint qu’il n’avait pas enclenché les sortilèges de protection du Manoir. Il retourna dans le hall et sentit le parfum de Krystel près de l’entrée… Son cœur fit un bond dans sa poitrine avant de se rendre compte qu’il ne s’agissait que du parfum que dégageait la cape qu’elle avait oublié dans la maison moldue…

    Poussant un léger soupire, le jeune homme fit ce qu’il avait à faire et prit la cape de son amante avec lui lorsqu’il retourna dans la bibliothèque… Il plia cette dernière et la déposa sur l’accoudoir du canapé lui permettant ainsi d’avoir l’impression qu’elle était avec lui…
    Après quelques minutes, il s’endormit et eu un sommeil légèrement agité comme à chaque fois qu’il remettait les pieds dans cette demeure…

    Cependant, alors qu’il était plongé dans un profond sommeil quelque chose d’agréable lui fit ouvrit les yeux… Son cœur se mit à battre à la chamade lorsqu’il reconnut le visage de Krystel… Un sourire apparu sur le visage du jeune homme lorsqu’elle lui murmura de se réveiller en l’appelant ‘‘Prince au bois dormant’’. Après ces quelques mots, Krystel l’embrassa de nouveau et Amycus prit part à ce baiser…

    Après quelques instants, lorsque leurs lèvres se séparèrent de nouveau, le jeune homme se redressa sans se rendre compte que la cape de son amante était maintenant visible. Il regarda la jeune femme dans les yeux et lui dit avec un sourire…


    - T’attendre a été une véritable torture… Tes obligations devaient être hautement importantes pour que tu ne reviennes qu’après dix jours d’absence…

    Et oui, il avait été torturé par cette attente interminable et une nouvelle fois oui, il avait bel et bien compté les jours…
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Krystel Raybrandt



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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMer 17 Sep - 21:42

    J’avais eu beaucoup de mal à ne pas me jeter sur lui. Il m’avait tellement manqué. Mais je n’avais pas pu m’empêcher d’être attendrie en le voyant en train de dormir si paisiblement. C’était fous comment j’étais vraiment dingue de lui, mais vraiment. J’avais changé depuis notre première rencontre, pour ne pas dire complètement méconnaissable après en. Il s’était passé quelque chose entre nous dans la maison moldu, quelque chose que je ne pouvais pas expliquer.

    Nous nous étions rendus compte combien nous tenions en fait l’un à l’autre. Et pas seulement physique, il y avait à présent quelque chose d’autre, de plus fort, de plus grand aussi. Je ne savais pas ce que c’était, mais ce qui était sure c’est que passer tout ce temps loin de lui avait été une véritable torture. Mais maintenant, j’étais rentrée et de nouveau à ses côtés.

    Au début, j’avais hésité à me rendre tout de suite chez lui. Après tout, il avait ‘libre quartier’ et je ne lui imposais aucune condition pour être avec lui. Ainsi, j’eu un instant ‘peur’ entre guillemet, de trouver une autre en sa compagnie. Mais au pire, m’étais-je dis, il ne me suffirait que de la congédier pour récupérer le serveur pour moi toute seule.

    D’ailleurs, je me mis à me demander si, maintenant qu’il était devenu riche, il continuait de travailler au chaudron baveur. Sûrement oui, vu qu’il devait espionner les sorciers. C’était une des brillantes idées de notre seigneur des ténèbres. Où pouvait-on mieux récupérer des informations que dans un bar où des gens parlent trop sous l’effet de l’alcool ? Il n’y avait pas meilleur endroit.

    Tant mieux qu’il y travaille toujours. Ainsi je pourrais aller m’y rendre et pouvoir le mater dans sa super tenue de serveur. Car il n’y avait pas à dire mais il était encore plus sexy dans cette dernière What a Face Enfin bref, ce n’était pas là le sujet du rp, mais belle et bien mes retrouvailles avec ‘mon prince au bois dormant’ comme je venais de l’appeler. Je n’étais pas loin de la vérité après tout en employant ce terme.

    Passant délicatement ma main sur sa joue, j’avais déposé un léger baiser sur ses lèvres, avant de lui murmurer ses quelques mots. J’aimais le regarder dormir, mais mon envie de pouvoir ne serait-ce le serrer dans mes bras était trop forte. Je n’avais donc pas pu m’empêcher de le réveiller tout en douceur, et lui montrer que j’étais enfin revenue.

    Quand il ouvrit les yeux, c’est moi qui fermais les miens pour joindre quelques minutes nos lèvres. Ce contact me fit beaucoup de bien, et je m’apercevais que j’étais toujours aussi accro à lui. Se redressant un peu, il répondit tendrement à mon baiser, pour mon plus grand plaisir. S’y détachant tout de même, il se mit à me questionner quelque peu.

    Au début il me dit que m’attendre avait été une véritable torture pour lui. Cela fut de même pour moi. Il ajouta ensuite que mes obligations devaient être vraiment importante vu que j’étais partie une semaine et demie. Mais maintenant j’étais là, et je ne comptais plus m’éloigner autant de lui. Lui prenant la main, je le fis se lever avant de me remettre à l’embrasser, un peu plus passionnément.

    C’était plus fort que moi, je n’avais pas pu m’en empêcher. S’il savait combien il m’avait manqué. L’arrêtant au bout d’à peine une minute, je l’enlaçais, posant ma tête sur son épaule. Qu’il était bon de ce retrouver de nouveau dans ses bras. Regardant un instant le canapé, je vis vaguement un objet que je connaissais, ou plus exactement un vêtement.

    Me dégageant doucement de notre étreinte, je pris place sur la banquette, prenant ce dernier entre de mes mains. Le dépliant, je ne pu m’empêcher de sourire. Mon intuition était la bonne. Il s’agissait bien de ma cape, celle que j’avais perdu, celle qui était sous la tête d’Amycus quelques instants plus tôt. Une nouvelle fois je fus très attendrie par la situation. Il l’avait gardé prêt de lui pendant mon absence. Cela me prouvait qu’il tenait réellement à moi.

    L’attirant vers moi, je me relevais face à lui pour de nouveau me blottir dans ses bras, laissant ma cape sur le canapé. Ma tête au creux de son cou, je ne lui répondais pas tout de suite, voulant encore savourer cette sensation de bien être en moi. J’étais vraiment bien en cet instant, me disant que j’avais énormément de chance de l’avoir, et qu’entre nous, cela ne soit plus que physique.


    - Tu m’as tellement manqué… J’ai cru devenir folle à chaque jour qui me retenait en France… Ma matriarche encore une fois… Mais je suis rentrée, et je ne compte plus repartir… Tu ne peux pas savoir à quel point tu m’as manqué…


    Je lui avais chuchoté ses quelques mots à l’oreille, le cœur battant très fort. Je ne pouvais pas contrôler ce dernier, mais je ne le voulais pas non plus. Nous étions sincère l’un envers l’autre. Nous étions nous même l’un avec l’autre. Et cela sans aucune honte, sans aucune pudeur, sans aucune gêne. Le serrant un peu plus contre moi, je revins vers son visage le regardant droit dans les yeux.

    J’avais eu peur pendant mon séjour en France qu’il ne regrette ses paroles, et qu’il revienne dessus. Mais à l’instant même ou je l’avais vu, ces dernières s’étaient volatilisées, sans s’attarder. Il m’avait attendu. Il était là comme convenu. J’aurai eu l’opportunité de ne pas revenir, et de reprendre ma vie comme avant dans mon pays natal, mais cela ne m’était même pas venu à l’esprit. Je n’avais même pas regardé un seul homme pendant mon voyage, ne pensant qu’à un seule, et unique… Je n’en voulais aucun autre en fait, et c’était celui qui se tenait devant moi.


    - Je suis contente que tu m’ais attendu mon prince au bois dormant… je n’ai pas arrêter de penser à toi…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMer 17 Sep - 23:11

    Alors qu’il s’était endormi assez tôt, hanté par les mêmes cauchemars qu’il faisait à chaque fois qu’il revenait dormir dans le manoir familial, Amycus venait d’avoir droit à un réveil des plus doux et tendre qui soit. En effet, en ouvrant les paupières il avait eu la joie de voir celle qu’il avait attendue ces derniers jours… Celle qui l’avait fait venir ici chaque jour et chaque nuit sans savoir l’effort que cela représentait pour lui …

    Car remettre les pieds ici c’était une chose mais y passer la nuit en était une autre… Enfant, il avait vécu tant de souffrances entre ces murs qu’il aurait préféré ne jamais s’en souvenir et c’est d’ailleurs pourquoi il avait pensé à vendre la demeure… Chose qu’il n’avait pas faite bien évidemment. Et puis Krystel avait décidé, avant de partir, qu’elle serait leur lieu de rendez-vous lors de son retour…

    Mais en attendant, son amante était à ses cotés et aucun mauvais souvenir ne venait le hanter… Au contraire il était bien, apaisé et c’est la première que cela lui arrivait réellement dans ces lieux. Il n’y avait pas à dire, Krystel lui faisait oublier le reste…
    Alors que le jeune homme avait posé des questions à son amante, celle-ci ne répondit pas et se contenta de lui prendre la main pour le faire se lever… A peine fut-il en face d’elle, que la jeune femme l’embrassa un peu plus passionnément…

    Amycus apprécia pleinement cet échange qui lui avait tant manqué mais la brune y mit un terme pour l’enlacer… Elle posa ensuite la tête sur son épaule au moment où lui-même passait ses bras autour de sa taille. Sans s’en rendre compte il ferma les yeux savourant la chaleur du corps de son amante, le parfum de sa peau… Elle était bel et bien de retour et le cœur du jeune homme ne semblait pas encore près à se calmer de l’effet de l’heureuse surprise…

    Alors qu’il était si bien, la demoiselle mit de nouveau fin à ce moment exquis pour doucement se libérer de la tendre étreinte… Elle s’installa sur le canapé où se trouvait le jeune homme il y avait à peine quelques instants et elle saisit un vêtement qu’Amycus reconnu immédiatement comme étant la cape de la demoiselle qu’il avait plié et gardé près de lui un peu plus tôt dans la soirée…


    - Elle était dans la maison d’Hoddesdon, murmura-t-il simplement.

    Il sut que Krystel avait également reconnu le vêtement quand un sourire apparu sur son si beau visage… Amycus sourit également car il savait que sans le vouloir il venait de prouver à la jeune femme qu’elle lui avait vraiment beaucoup manqué. A une certaine époque il aurait trouvé l’idée de vouloir s’endormir avec le parfum d’une jeune femme complètement ridicule… Mais maintenant, cela ne le faisait pas rire car il avait pu remarquer à quel point cela l’avait apaisé… et ses cauchemars avaient été moins virulents…

    Déposant de nouveau sa cape sur le canapé, Krystel était revenue se blottir dans ses bras pour son plus grand plaisir… Mais en plus de cet agréable contact, son amante lui murmura à l’oreille qu’il lui avait manqué et qu’elle avait cru devenir folle de ne pas pouvoir rentrer de France. Bercé par ses paroles, Amycus ferma les yeux. Madame Raybrandt avait encore fait des siennes mais Krystel ajouta que maintenant qu’elle était revenue, elle ne comptait plus partir…


    - Tu m’as manqué aussi, chuchota-t-il à son tour à l’oreille de son amante. Je tournais en rond ici, c’était l’horreur.

    Et encore le mot était faible mais il n’insista pas… Il n’avait pas encore parlé de ce qu’il avait vécu dans cette maison à Krystel. Elle devait se douter qu’il n’avait pas eu une enfance terrible mais elle ne savait sûrement pas à quel point ses parents, et surtout son père, avaient pu lui faire du mal… et ce, uniquement parce ce que ses rêves n’étaient pas les leurs !

    Après l’avoir serrer un peu plus fort dans ses bras, Krystel finit par le regarder de nouveau dans les yeux… Durant quelques minutes elle ne dit rien et se contenta d’observer son amant qui lui offrit un léger sourire. Lui aussi observait la jeune femme et se mit à penser qu’il avait de la chance de l’avoir près de lui, de la chance qu’elle soit revenue… Car le jeune homme ne pouvait pas se voiler la face, il avait bel et bien craint que son amante ne revienne pas !

    Krystel reprit la parole pour le surnommé une nouvelle fois son prince au bois dormant et lui dire qu’elle était contente qu’il l’ait attendu, qu’elle n’avait pas arrêté de penser à lui. Le jeune homme aussi avait pensé à son amante et ce, même lorsqu’il avait revue Anna… D’ailleurs en y repensant, son amante ne serait sûrement pas ravie d’apprendre qu’il avait recroisé son Ange et qu’il l’avait invité à boire un verre… Mais ces révélations attendraient plus tard !


    - Je n’attendais que ton retour… et j’ai beaucoup pensé à toi…

    De nouveau, il se pencha vers Krystel après avoir passé tendrement ses mains autour de sa taille et l’embrassa… Ce baiser était tendre mais plus passionné que les précédents. Il ferma les yeux appréciant le goût sucré de ses lèvres et les courbes parfaites de son corps…
    Cependant, après quelques minutes, il mit fin à ce baiser. Il venait de se souvenir que Krystel revenait de France et qu’elle devait sûrement être fatiguée… Avec un sourire, il reprit la parole…


    - Ton voyage a pas dû être des plus reposant, si tu veux t’allonger dis-le moi… D’accord ?

    Cependant un nouveau problème se posait… Où allaient-ils dormir ? Dans la chambre qui avait été celle de ses parents ? Pas du tout… Dans celle d’Alecto ? Elle apprécierait moyennement ce genre d’intrus dans son lieu de vie… Dans sa propre chambre ? Hors de question… Mais où alors ?
    Il y avait bien une chambre d’amis mais il fallait passé devant la pièce dans laquelle il avait été enfermé si souvent et Amycus avait l’habitude d’éviter le couloir dans lequel elle se trouvait comme la peste…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeJeu 18 Sep - 8:57

    J’étais tellement bien blottie dans ses bras. J’en oubliais tout le reste, et ces derniers jours qui furent très long, voir interminables. Je n’avais pas pus revenir plus tôt, ne pouvant pas laisser ma mère gagnait et me volait tout ce dont j’avais le droit. C’est pour cela que j’étais restée en France, n’ayant pas une seule minute de répits, pour ne serait-ce lui envoyer un hiboux en le tenant au courant. Mais cela ne m’avait pas empêché de penser à lui, bien au contraire.

    A chaque fois que je voyais quelque chose, c’était à lui que je pensais tout le temps. A chaque fois que j’avais vu un homme qui lui ressemblait, je sentais mon cœur battre très fort, et cela me rendait triste quand je apercevais que ce n’est pas lui en fait, mais un autre sans importance. Il était le seul qui comptait, le seul que j’avais envie de côtoyer.

    Et me voilà enfin rentrée, et dans ses bras. Cela valait tout l’or du monde, et rien ne pourrait à présent m’empêcher de le voir, et de rester avec lui. Tout en lui m’avait manqué, et je m’étais languie de ne pas pouvoir le serrer contre moi, où l’embrasser comme je le faisais en ce moment même. Posant ma tête sur son épaule, mon cœur s’accélérait un peu plus.

    Là, sur le canapé, à l’endroit même où se trouvait sa tête quelques instant plus tôt, était posé ma cape. Me détachant de lui pour vérifier cela, je fis très attendrie par le fait qu’il ‘dorme avec elle’. Elle m’appartenait, et c’était donc pour moi une preuve de plus de son attachement pour moi. J’avais cru la perdre, mais en fait, elle était restée auprès de amant. Il me dit que je l’avais oublié dans la maison moldu.

    Touchée par cela, je m’étais relevée pour de nouveau venir goûter à ses lèvres et à ses bras. Je lui chuchotais alors les raisons de mon absence si longue plutôt vaguement, vu que je ne m’aimais pas parler de ma matriarche. Deux fois, je n’avais pas pus m’empêcher de lui dire qu’il m’avait énormément manqué, plus que je n’aurais pu l’imaginer. Je finis par lui dire que je ne comptais plus repartir à présent.

    C’était quand même fou comment ‘les rêves’ pouvaient changer. Avant de le rencontrer, j’aurais tout fais pour repartir en France, mais maintenant, j’avais du me battre comme une lionne pour pouvoir revenir à Angleterre, et savourait des instants comme celui-ci. Mon cœur fit un léger bond quand il me dit que je lui avais manqué aussi. Il ajouta ensuite qu’il avait tourné en rond et que cela avait été l’horreur.

    A ses mots, j’avais resserré un peu plus notre étreinte, comme pour le rassurer, lui dire que maintenant, j’étais réellement bien là, et que je ne le laisserais plus. Je venais de réaliser que cette maison devait renfermer de lourd souvenir, tout comme celle de ma mère l’était pour moi. Mais j’avais appris à chasser mes vieux démons, même si je ne pourrais jamais les oublier. Et je ferais tout pour aider Amycus à se sentir bien ici.


    - Je suis là maintenant…


    Le regardant droit dans les yeux, je ne pus m’empêcher de lui sourire tendrement. J’aimais être ainsi, proche de lui, à pouvoir de nouveau contempler son magnifique visage, et sentir de nouveau sa chaleur, son odeur si agréable, bref tout lui. J’aurais pus passer tout mon temps ainsi, sans bouger, en étant juste près de lui. C’était d’ailleurs la seule chose que je souhaitais ses derniers temps.

    Je lui dis ensuite, ou plutôt, je lui avouais ensuite que j’étais heureuse qu’il m’ait attendu, et que je n’avais pas arrêté de penser à lui. Cela était totalement vrai. Pas une seule fois, il n’avait quitté mes pensées. Pas une seule fois mon esprit s’était égaré dans une autre direction que la sienne. J’avais croisé des hommes oui, qui en temps normal m’aurait plus. Mais ils faisaient bien pale figure à côté de mon amant.

    Nous étions libre d’avoir voir d’autres personnes, mais je n’en ressentais aucunement l’envie. Il savait me combler sur tous les domaines, et il ne me manquait rien du tout quand j’étais avec lui. Alors pourquoi allait voir ailleurs ? Ce n’était pas pour autant que je l’empêcherais du coup de s’amuser. Non, il était libre comme l’air. Du moment que je pouvais l’avoir, le reste n’avait aucune importance.

    Me disant qu’il n’avait qu’attendu mon retour, et qu’il n’avait pas arrêté de penser à moi, il posa ensuite ses mains sur ma taille. Ne quittant pas son regard, je le vis se pencher vers moi pour m’embrasser une nouvelle fois de façon on ne peut plus agréable. Fermant mes prunelles, je savourais le goût de ses lèvres, et se fut à contre cœur qu’il arrêta ce dernier au bout de quelques minutes.

    Me souriant, il me demanda alors si je n’étais pas fatiguée, et que si je voulais m’allonger, je n’avais qu’à lui dire. Il était vrai que mon voyage n’avait pas été de tout repos, et que j’étais complètement épuisée. Mais mon envie d’être avec lui était plus grande et plus importante, et du coup, j’en oubliais le reste. Passant ma main sur sa joue, je lui dis alors :


    - Ne t’inquiète pas pour moi… Ce que j’ai envie c’est d’être avec toi… Ce que j’ai envie c’est de toi et de rien d’autre… Tout ce que je souhaite, c’est rester avec toi mon prince au bois dormant…


    Fougueusement, je vins coller mes lèvres aux siennes, m’écartant légèrement de lui. Tout cela dans le but de pouvoir plus facilement passer mes mains sous ses vêtements et caresser sa peau si douce. Descendant tout doucement, j’ouvris le bouton de son pantalon, avant de remonter mes doigts le long de son tee-shirt. D’ailleurs, ce dernier me gênait pour pouvoir le toucher comme je le voulais.

    M’arrêtant de l’embrasser quelques instants, je le regardais de nouveau dans les yeux, avant de lui enlever son haut. J’avais ainsi tout le loisir de pouvoir savourer sa peau si exquise, qui m’avait également beaucoup manqué. Déposant des baisers dans son cou, laissant mes mains se baladaient sur son torse, je le poussais doucement en arrière, jusqu’à ce qu’il s’assoit sur le canapé. Prenant place sur ses jambes, je lui dis alors sur un ton de malice:


    - A ton vais, tu crois que j’ai envie de dormir ?


    Je ne m’étais pas arrêter de le caresser tout en lui disant cela. J’avais envie de lui, c’était certain. En même temps cela faisait plus de deux semaines que nous ne l’avions pas fais, et c’était trop long pour moi. Enlever mon pull, puis mon tee-shirt, lui montrant vraiment ce que je voulais vraiment, je me retrouvais ainsi en soutien gorge, assise à calie fourchon sur lui. Passant mes mains autour de son cou, je vins de nouveau l’embrasser passionnément, et langoureusement. Mais contrairement à toutes les autres fois où nous l’avions fais, j’étais naturellement douce avec lui.
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeJeu 18 Sep - 12:33

    Amycus ne pouvait définir le sentiment qui l’envahissait depuis que son amante l’avait réveillé mais il l’appréciait et voulait que cela continue encore et encore… Ces dix derniers jours, il avait surtout connu de l’angoisse lorsqu’il se trouvait de ce manoir qui était à présent le sien mais maintenant ça allait mieux et cela venait du simple fait que Krystel était assez cotés… Alors qu’ils s’enlaçaient tendrement et qu’il venait de lui avouer qu’il avait tourné en rond dans la demeure en l’attendant, que cela avait été horrible ; son amante l’étreignit un peu plus fort en lui disant qu’elle était là maintenant…

    Le jeune homme sentit son cœur battre encore plus vite lorsqu’elle prononça ses quelques mots… Il savait qu’elle le comprenait, qu’elle devait se douter de ce qu’il avait vécu ici et que son étreinte ainsi que ses paroles n’avaient lieu d’être que pour le rassurer… Et ça marchait ! Le simple fait était qu’il était beaucoup moins angoissé que lorsqu’il était rentré du Chaudron Baveur…

    Il était fou de voir à quel point leur relation avait évoluée… Alors qu’elle n’avait été que purement physique au départ, elle s’était peu à peu transformée au cours des deux semaines qu’ils avaient passées ensemble. Alors que le mangemort avait entrainé son amante à l’utilisation des pires sortilèges de Magie Noire qui soient, les deux jeunes gens étaient devenus de plus en plus tendres l’un envers l’autre.

    Plus ils s’étaient investis dans la mission que leur avait donné le Lord, plus ils s’étaient rapprochés. C’est cela qui les rendaient plus forts mais qui pouvait les rendre plus faibles car maintenant, qu’ils ne veuillent ou non ils avaient réellement besoin l’un de l’autre. Amycus s’en rendait compte, le manque qu’il avait ressenti lorsqu’elle n’était pas là avait été des plus tortueux !

    Il avait donc erré dans divers Pub, s’amusant à faire croire à de superbes jeunes femmes qu’il les avait remarquées, qu’il les désirait mais c’était faux ! Elles n’étaient que de simples passe-temps avec qui il se divertissait et auxquels il n’accordait en réalité pas la moindre importance. D’ailleurs, il n’avait retenu aucun des prénoms de ses jouets et les avaient jetés avant même de les avoirs réellement ‘‘utilisés’’. Il n’y avait qu’un seul soir qui avait été différent…

    La différence venait du fait qu’il avait revu Anna, qu’il l’avait ‘‘sauvé’’ d’un crevard et qu’il lui avait même proposé de boire un verre en sa compagnie… Mais il se doutait que cela ne plairait pas à Krystel ! Certes elle l’avait laissé libre de voir d’autres femmes mais Anna ne faisait pas partie de la liste… Bien sûr, il pourrait cacher à son amante cette soirée mais tout ce sait un jour et il ne voulait pas lui mentir. Cependant il ne lui dirait pas de suite !

    Il était trop bien dans ses bras pour avoir la moindre envie d’attiser sa colère… C’est pourquoi, en cet instant précis il se contentait d’apprécier la chaleur, le parfum, les caresses et les baisers de celle qu’il avait attendue… Mais après quelques minutes, se rendant compte qu’elle pouvait éventuellement être fatiguée, il lui avait dit que le voyage avait dur être fatiguant et que si elle voulait s’allongée, qu’elle devait lui faire savoir…

    Tendrement, Krystel passa sa main sur le visage de son amant en lui répondant qu’il n’avait pas à s’inquiéter de ça, qu’elle avait seulement envie d’être avec lui… Caque mot prononcé allait droit au cœur du jeune homme, il ressentait la même chose. Lui aussi avait envie d’être avec elle et lui aussi la désirait… Il s’apprêtait à le lui dire mais son amante ne lui laissa pas le temps ! Elle l’embrassa fougueusement.

    Tout en lui offrant ce baiser, Krystel s’écarta un peu d’Amycus pour glisser ses mains sous ses vêtements, le faisant ainsi frissonner de nouveau et accentuant le désir qu’il ressentait pour la sublime française. Après avoir commencé par caresser son torse, elle descendit et commença à défaire le premier bouton de son pantalon avant de remonter ses doigts le long de son tee-shirt…

    Mais apparemment ce dernier semblait la gêner car après avoir cessé de l’embrasser, Krystel débarrassa Amycus de son tee-shirt, rendant bien visible les deux cicatrices qui manquait son torse… Alors qu’elle se mit à l’embrasser dans le cou tout en le caressant, le jeune homme ferma les yeux et laissa glisser sur les hanches de son amante… C’est alors que la demoiselle le fit doucement reculer jusqu’à ce qu’il se retrouve assit sur le canapé…

    Sans perdre une seconde, la brune vint prendre place sur les jambes du jeune homme en lui demandant avec malice tout en le caressant si, à son avis, elle avait envie de dormir… Le mangemort sourit en entendant cette question. Il était évident qu’elle ne n’avait nullement envie, tout comme lui d’ailleurs ! Après ces quelques mots, la brune enleva son pull puis son tee-shirt se retrouvant en bustier.
    Le jeune homme pu alors de nouveau contempler les formes si parfaites de son amante, celle-là même qu’il avait tant désiré… Avec un léger sourire, il lui dit…


    - A mon avis non… Et je t’avoue que ça m’enchante !

    Alors qu’elle l’embrassait de nouveau passionnément, il ne put qu’apprécier la douceur dont elle faisait également preuve… Les yeux fermés, savourant le goût fruité des lèvres de son amante, Amycus glissa doucement ses mains dans le dos de la belle et défit le bustier de cette dernière… Il fit ensuite lentement descendre les fines bretelles sur les épaules de Krystel jusqu’à lui ôter entièrement le vêtement…

    Il délaissa ensuite les lèvres de la jeune femme pour porter les siennes à son cou, lui déposant des baisers tout aussi passionnés que tendres. L’une de ses mains se glissa autour de la taille de la demoiselle alors que l’autre se posait sur sa nuque… Il obligea ainsi son amante à venir encore plus près de lui et sentir sa peau contre la sienne lui donna envie d’en avoir encore plus… De nouveau, il voulait qu’elle lui appartienne entièrement…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeJeu 18 Sep - 13:52


    Je me sentais bien dans sa présence. Je ressentais quelque chose de fort pour lui, même si je n’arrivais à savoir quoi exactement. Tout contre lui, j’essayais de lui montrer combien il m’avait manqué, combien je tenais à lui. Il était clair que je ne pourrais plus le laisser et me passer de lui autant de temps à présent. Cela avait été si dur de le savoir en Angleterre, et moi en France, sans pouvoir rentrer. Mais j’avais fini par pouvoir revenir, par tenir la promesse que je lui avais faite.

    Avec lui, c’était bizarre, mais je sentais si forte, mais à la fois si faible. Avec lui, je ne craignais rien. Mais en même temps, il était ma faiblesse dans le sens qu’il passait avant tout, et que je ferais tout pour le protéger. S’il n’allait pas bien, je me voyais mal sauter de joie. Au contraire, s’il était heureux, je ne pourrais que l’être également. C’était la première fois que cela m’arrivait, mais je ne m’en plaignais pas.

    Quand il me dit que cela avait été l’horreur de m’attendre, je me suis rassurante, en lui disant qu’à présent j’étais là, avec lui. Je ne comptais plus le laisser seul, et il pourrait toujours se tourner vers moi. Je voulais qu’il sache que j’étais là quoi qu’il puisse arriver, et qu’il était important pour moi. Je me souciais réellement de lui, plus que de moi-même. Et pourtant, j’étais ce que l’on pouvait de qualifier de monstre d’égoïsme.

    Mais étrangement, pas avec lui. Quand il me demanda si je n’étais pas fatiguée, si je ne voulais pas m’allonger, pour me reposer, je ne pu m’empêcher de sourire. Il était tellement mignon. En plus, il avait gardé ma cape auprès de lui, comme pour m’avoir avec lui pendant mon absence. Collée contre lui, j’avais besoin de sentir le contact avec sa peau, de le dévorer tout cru. A cette idée, mon désir de lui augmenta. Cela faisait en plus plus de deux semaines que je n’avais pas pu profiter de cette dernière, et j’étais non pas en manque de sexe, mais en manque de lui.

    Bien entendu, et sans grand étonnement, Amycus avait également envie de moi. Je ne savais pas s’il était allé en voir une autre pendant mon séjour en France, mais je m’en fichais totalement. Après tout il était libre de coucher avec qui il voulait. Alors même si moi je n’avais pas couché avec un autre, cela ne me dérangeait pas. S’il ressentait le besoin d’avoir une autre femme pour une nuit, je n’allais pas lui interdire. C’était sa vie après tout.

    Quand mes mains glissèrent sur son vêtement, je le sentis frissonner, et cela ne fit que me donner encore plus envie de lui. Son ‘corps’ m’appelait et j’avais de nouveau envie et besoin d’être totalement sienne, sans penser à autre chose. Je ne pu m’empêcher d’un peu lui déboutonner son pantalon. Lui enlevant se foutu tee-shirt qui me gênait, je l’envoyais valser dans la pièce, avant de lui dévorer le cou. Mes mains le caressaient délicatement.

    Ce fut à mon tour d’avoir un léger frison quand il posa ses doigts sur mes hanches. Je débordais d’envie pour lui, mais je voulais quand même que nous prenions le temps. J’aurais pu le déshabiller totalement. Seulement, je n’aurais pas pu profiter et savourer nos retrouvailles. Hors c’est ce que je voulais. Me contrôlant donc un peu, je le poussais délicatement contre le canapé, pour qu’il s’y asseye.

    M’installant sur ses jambes, j’ôtais mon pull, et par la même occasion mon haut noir. J’avais très chaud, et je n’en avais pas, ou plutôt plus besoin. En même temps, je ne pouvais pas être de glace devant lui. D’ailleurs je venais de lui demander avec un regard et un sourire de malice s’il pensait que j’avais l’air d’avoir envie de dormir. J’étais certes fatiguée, mais cela n’était pas ma priorité, loin de là.

    Me répondant qu’à son avis, non, je n’avais pas l’intention de me reposer, mais qu’il devait m’avouer que cela l’enchanter. Tant mieux car je le désirais, mais je voulais que lui me désire autant que moi. Et fort heureusement cela était le cas. L’embrassant passionnément, mais avec une pointe de douceur, je sentis ses mains glissaient dans mon dos. Sans quitter mes lèvres, il dégrafa mon soutien gorge, puis fis glisser les bretelles le long de mes bras. Arrêtant de le tenir un instant autour du cou, je le laissais ainsi le loisir de pouvoir finir de me l’enlever.

    Il ne se fit pas prier pour le faire d’ailleurs, à mon plus grand plaisir. Se dégageant de mes lèvres, il posa les siennes sur mon cou et se mit à y déposer des baisers. Fermant les yeux, j’appréciais ces derniers si doux, si passionnés. Posant une de ses mains sur ma nuque, et l’autre sur ma taille, il me ramena vers lui, collant un peu plus nos deux corps. Se contact me fit de nouveau frémir de désir pour lui.

    J’avais une envie folle de lui, je le voulais pour moi, et laisser mon envie me consumer entièrement. Posant mes doigts sur son ventre, je les fis remonter sur son torse, sur ses bras musclés, sur son cou, jusqu’à son visage. Ramenant ce denier vers le mien, je repris possession de ses lèvres, tout en le relevant en même temps que je me levais. Sans quitter sa bouche si sucrée, mes yeux toujours fermés, mes mains redescendirent le long de son dos, pour venir se ‘heurter’ à son pantalon.

    M’arrêtant de l’embrasser juste le temps de reprendre ma respiration, ce ne fut que pour mieux y revenir. Continuant à ouvrir son vêtement, je le fis glisser le long de ses jambes, pouvant ainsi le caresser aisément, sans être gênée. Enlevant à mon tour ma jupe, nous étions ainsi tout deux vêtus que d’un seul habit. Quittant sa bouche, je le regardais un instant, avant de me mettre à déposer des baissers sur son cou, et sur son torse.

    C’est là que je vis ses cicatrices. C’est la première fois que j’y faisais attention et que je les remarquais. Très délicatement, je vins passer ma langue dessus. Mes mains suivaient le mouvement, caressant le jeune homme sur les côtés. Au bout de quelques minutes, je continuais de descendre jusqu’à son ventre. Passant mes doigts sous son vêtement, je vins lui retirer également, avant de lui caresser les jambes.

    Me relevant tout en me frottant contre lui, je l’attirais de nouveau vers moi, mes bras autour de son cou. L’embrassant fougueusement, mon corps ondulait de désirs pour lui. Le faisant de nouveau reculer, je repris ma position assise sur ses jambes, mes genoux poussés sur le canapé, et mon bassin contre le sien. Rapprochant sa tête de la mienne, j’accentuais et intensifiait ainsi notre baiser. Je mourrais d’envie de lui, et de continuais…

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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeJeu 18 Sep - 15:17

    Au fur et à mesure que les jours avaient passé sans elle, Amycus n’avait espéré qu’une chose : son retour ! Lors de leur réconciliation dans la maison d’Hoddesdon, son amante lui avait fixé comme lieu de leur retrouvaille le Manoir Carrow mais sans préciser de jour… C’est pourquoi il avait passé ses dix dernières nuits dans la bibliothèque de l’immense demeure. Après une semaine il avait commencé à avoir peur qu’elle ne revienne pas…

    Car si elle avait décidé de rester en France, il savait qu’il ne pourrait pas la retrouver ou que cela prendrait un temps fou. C’est pour ne pas pensé à ce genre de chose qu’il était sorti se divertir en ‘‘torturant’’ de pauvres donzelles qui se pensaient parfaites… Mais aucune ne l’était ! La seule qui aurait pu l’être lui était interdite pour deux raisons… Premièrement, Amycus ne voulait plus blesser Krystel et c’est pourquoi il avait juste offert un verre à l’Ange et deuxièmement, c’était trop risqué…

    Cependant, en cet instant précis, il ne pensait plus aux autres femmes qui avaient eu l’honneur de pouvoir goûter à ses lèvres ou à Anna… C’est Krystel qu’il avait à l’esprit, c’est elle qui était de nouveau à ses cotés et plus que tout, c’est elle qu’il désirait.
    Il s’était écoulé plus de deux longues semaines sans qu’il n’ait eu aucun rapport physique, excepté quelques baisers volés par ses jouets d’un soir… et encore il y avait participé sans réelle motivation. Il s’était rendu compte que les baisers et les caresses de ses passe-temps ne lui apportaient rien mais avaient l’avantage de lui occupé l’esprit…

    Enfin, lui occuper l’esprit était un bien grand mot puisqu’il ne cessait de les comparer à son amante qui avait du le délaisser… Et à chaque fois la soirée se déroulait de la même façon… alors que la nana avec qui il se trouvait était persuadée de l’avoir séduit, le jeune homme se tirait sans le moindre mot ! Cela était tellement amusant que s’en était presque devenu un vrai jeu au bout de cinq ou six jours ! Enfin bref...

    Tout ça pour dire que malgré les nombreuses possibilités qui s’étaient offertes à lui pour s’envoyer en l’air, Amycus n’avait rien fait. Il avait repoussé toutes les invitations qui lui avaient été faites, il avait tout simplement patienté, préférant attendre le retour de son amante plutôt que d’être déçu. Et puis les toutes les autres (ou presque ^^) ne l’attiraient plus comme cela avait été le cas autrefois…

    Mais le passé était le passé, et le moment présent était des plus intéressants et agréables qui soit… De nouveau cette sensation de désir, d’envie s’emparait de son corps et de son âme… Il n’y avait pas de doute, Krystel était bel et bien de retour et se trouvait contre lui à moitié dévêtue…
    Le feu de cheminée était presque devenu de trop à présent car leur désir réciproque avait largement réchauffé toute l’atmosphère de cette pièce qui avait été autrefois un refuge pour le jeune homme…

    Alors qu’il embrassait Krystel dans le cou et que ses mains la ramenaient encore un peu plus vers lui, Amycus la sentit frissonner ce qui ne fit qu’accentuer cette envie de l’avoir à lui… entièrement à lui ! C’est à cet instant que la jeune femme commença à laisser ses doigts courir le long du corps du jeune homme qui poussa un léger soupir d’envie… Cette exquise attente était absolument divine. Il ne regretta pas une seconde d’avoir patienté tout ce temps et d’avoir attendu son retour…

    De nouveau, son amante prit possession de ses lèvres alors que ses mains glissaient le long de son dos, provocant chez lui une multitude de frissons et commencèrent ensuite à défaire les boutons de son pantalon… Sans plus attendre, la brune lui ôta le vêtement qu’elle venait de défaire et se débarrassa de sa jupe…
    Après un regard, son amante commença à l’embrasser dans le cou puis sur le torse… Elle cessa quelques secondes pour observer ses cicatrices.

    Celle de droite était l’œuvre de son amante elle-même et datait d’il y avait plus de deux semaines… La deuxième, celle qui se trouvait tout près de son cœur était un souvenir douleur qui datait de ses treize ans. Il n’avait jamais expliqué à personne d’où lui venait cette cicatrice et les seuls au courant étaient ses parents décédés et sa sœur…

    Doucement, la jeune femme passa sa langue sur les marques de ses anciennes blessures alors que ses mains parcourraient le corps du jeune homme pour finalement le débarrasser de son ultime vêtement…
    Après s’être relevée, Krystel se frotta contre lui tout en l’attirant vers elle… Passant ses bras autour de son cou, elle recommença à l’embrasser fougueusement tout en faisant onduler son corps d’une manière sensuelle ! Le faisant ensuite de nouveau reculer, elle revint prendre place sur les jambes d’Amycus pour intensifier le baiser qu’ils échangeaient…

    Cependant, le jeune homme en voulait encore plus… Tendrement, il coupa court au baiser et fit en sorte que son amante se retrouve allongée sur le dos sur le canapé ! Les parents Carrow, ayant la folie des grandeur, avaient eu la merveilleuse idée d’agrémenter cette bibliothèque d’un canapé si immense que le jeune homme pu se placer aux cotés de son amante…
    Alors qu’il déposait de nouveaux baisers dans le cou de Krystel, l’une de ses mains caressa chaque parcelle de son corps, s’attardant de temps en temps sur les coutures du dernier vêtement…

    Après quelques minutes, le jeune homme ne tint plus… Alors qu’il déposait à présent des baisers passionnés dans le cou puis sur la poitrine ainsi que le ventre de sa déesse, il fit lentement descendre le dernier bout de tissu qui se retrouva sur le sol. Il recommença ensuite à caresser le corps entièrement nu de son amante alors que sa langue effleurait légèrement la peau du cou de la jeune femme… Cependant, il ne comptait pas s’arrêter là…

    Reportant son regard emplit de désir et de passion sur le visage de son amante, il fit glisser sa main entre les jambes de celle-ci et ses doigts pénétrèrent son intimité… Il se pencha ensuite vers elle pour lui offrir un baiser des plus sensuels alors que ses doigts effectuaient un mouvement de va et vient lent et profond qui fit s’accroître encore un peu plus l’envie du jeune homme… Il la désirait à un tel point qu’il en oubliait tout le reste. La seule et unique chose dont il avait encore conscience c’est qu’elle le rendait complètement dingue…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeSam 20 Sep - 0:12

    Pourquoi est-ce qu’en sa présence, tout se bousculait en moi ? Comment se faisait-il que je me sente aussi forte mais aussi faible en même temps ? Pour une fois, je ne pensais plus à moi, mais à lui ! Cela était tout nouveau pour moi, et je n’arrivais pas à trouver les raisons de cela. Je tenais à lui, il était important pour moi aussi, mais il l’était au point de me faire changer totalement. La preuve était que je ne voyais plus en lui un morceau de viande, mais l’homme qu’il était.

    Et pourtant, quand je l’avais rencontré, je ne l’avais considéré que comme un vulgaire jouet, avec qui j’aurais passé du bon temps. Ensuite, je l’avais vu comme un très bon amant, mais rien de plus que quelque chose de purement sexuelle et physique. Mais les choses avaient évolué pendant les deux semaines ou nous avions vécu ensemble. Pas seulement en même temps.

    Pendant ma fuite, je m’étais rendue que quoi que j’essaye de faire, je n’arrivais pas à me le sortir de la tête. Une phrase, une seule phrase sortie de sa bouche, m’avait complètement détruite et anéantie. Je me sentais tellement mal, au point de vouloir même en mourir. Cela était peut-être pour cela que ce me mettait à tuer sans borne, espérant me faire prendre un jour ou l’autre.

    Amycus m’avait retrouvé avant. En même temps, il lisait en moi comme dans un livre ouvert, et avait pu deviner mon œuvre derrière chaque crime. Il était arrivé à me calmer, et à apaiser mon cœur. Il m’avait de nouveau montré que je n’étais plus seule au monde. Un moment, j’étais partie, mais je n’avais pu faire que quelque mètre. Cela avait été plus fort que moi. J’étais de nouveau revenue vers lui.

    Mais j’avais du partir. Reprenant mes esprits, je m’étais aperçue que je n’avais pas fais le nécessaire pour ma vie, et qu’il ne me restait guère beaucoup de temps pour le faire. Je l’avais donc laissé, mais en lui promettant de revenir, et lui demandant de m’attendre dans le seul endroit que je connaissais plutôt bien, et qui évoquait en moi de bons souvenirs : le lieux de mes premiers meurtres.

    10 jours. 10 longs jours. C’était le temps qu’il m’avait fallut pour enfin en finir avec ma matriarche. Elle m’avait tenu plus d’une semaine et depuis long de celui qui représentait tant pour moi. Cependant, j’avais fini par enfin le retrouver, pour mon plus grand bonheur. Oui, vous lisez bien. Avec lui, je me sentais heureuse. Comme jamais je ne l’avais été. C’était tout nouveau d’ailleurs pour moi.

    J’étais arrivée très tard chez lui, 3h du matin passé à présent. Mais je n’avais pas pu attendre le lendemain, il fallait que je le retrouve. J’étais en manque de sa présence, de ses bras, de ses lèvres. Sans étonnement, je l’avais réveillé, après l’avoir regardé quelques instant. Je n’avais pas pu m’empêcher de lui montrer ma présence. Il m’avait attendu…

    Je fus encore plus touchée, quand je m’aperçue qu’il avait ma cape, tout contre lui. C’était comme s’il avait voulu par cette dernière, m’avoir à coté de lui. Elle me représentait, et qu’il l’ai avec lui, pendant son sommeil cela montrait combien je lui avais manqué. Mais pas seulement. Cela ma montrait également qu’il tenait à moi, et c’était le plus important.

    Au bout d’une dizaine de minute pendant lesquels, nous avions savourés nos retrouvailles, il m’en fallait plus. J’avais envie que ce moment qui était le notre continue. Sans avoir besoin de lui parler, j’étais devenue plus désireuse de lui, voulant, allait beaucoup plus loin. J’avais une envie folle de profiter de son corps, de tout son être. Mais surtout, je voulais être de nouveau sienne entièrement.

    Il ne me fallut guère beaucoup de temps pour nous déshabiller tous deux. Il ne me restait qu’un seul vêtement. Je ne pouvais pas m’empêcher de frissonner d’envie pour lui, ni je n’arrivais à quitter ses lèvres très longtemps. C’était comme une drogue pour moi, pour laquelle j’étais complètement accro. Mais cela pour mon plus grand plaisir.

    Me réinstallant sur ses jambes, je me remettais à savourer le goût de sa bouche si délicate, si parfaite, si enivrante. Cependant quelque chose avait changé. Je n’étais plus la jeune femme sauvage que lors de notre première rencontre. Non, j’étais beaucoup plus douce, beaucoup plus attentive. Pourquoi ? Je n’en savais rien. Cependant, comme toutes les autres fois où nous l’avions fais, je me laissais guider par mon instinct.

    C’était comme si je laissais chacun de mes membres agirent comme bon leur semblait. Je me contentais d’observer, et de savourer surtout. Cela faisait maintenant plus de deux semaines que je n’avais pas savourer cette union, et je comptais bien du tout en profiter un maximum. Je le désirais à point fou, comme jamais cela m’était arrivé. Je voulais être sienne, et de plus en plus selon les minutes qui défilaient.

    Je ne pu m’empêcher de pousser un petit soupir d’indignation quand il se détacha très vite de mes lèvres. Je ne fus pas mécontente très longtemps en tout cas. Me laissant allonger sur le canapé sur le dos, il vint prendre place à mes côtés. Ne bougeant pas d’un poil, j’attendais de voir ce qu’il allait faire, avec un sourire sur le visage. Je ne savais que cela ne présageait que beaucoup de plaisir.

    Je n’eu pas beaucoup de temps à attendre. En effet, bien vite, Amycus vint dévorer mon cou. Frissonnant une autre fois, je laissais un soupir de bien être s’échapper de ma bouche quand il me caressait. Ne faisant aucun geste vers lui, je fermais mes yeux, en profitant telle une princesse, voir même une reine. Il m’offrait beaucoup de plaisir, alors pourquoi refuser ? Aucune raison…

    Je le sentais un peu plus pressant au fur et à mesure de mes souffles. Ses baisers se faisaient beaucoup plus passionnés, beaucoup plus parsemer sur mon corps. Quand il vint sur ma poitrine, j’eu un léger frison. J’adorais vraiment cela. Faisant ensuite descendre mon sous vêtement sur mes jambes, ce dernier rejoignait très vite les autres à terre. A présent nous étions à égalités, et plus du tout gênaient par rien.

    Laissant courir sa langue sur mon cou, mon corps s’arqua un instant. Il ‘jouait’ avec moi, et j’adorais cela. Mais il ne s’arrêtait pas en si bon chemin. Inclinant la tête légèrement en arrière, tant dit que mon corps ondulait doucement sur le canapé, je sentis ses doigts venir sur l’antérieur de mes jambes, pour finir par m’offrir de fabuleuses caresses. Je me mis à gémir doucement de plaisir quand il me pénétra avec ses derniers.

    Frissonnant de nouveau, mes mains se posèrent sur son torse, me ramenant vers moi. De nouveau je laissais des gémissement sortir de ma bouche, rythmés par les vas et viens qu’il faisait dans ses caresses. Il me rendait complètement folle, à un point vraiment inimaginable. Ouvrant mes prunelles azur, je vins capturer ses lèvres au bout de plusieurs minutes.

    L’arrêtant, je me décalais quelque peu contre le dossier, pour pouvoir mieux le pousser bien à plat sur le dos. Prenant place sur son bassin, je nous unissais délicatement dans un soupir sonore. Je pris mes cheveux dans mes mains, les relevant sur ma tête. Il m’avait rendu complètement folle de son corps. Dans de long mouvements, je fis des vas et viens, de plus en plus rapide. Je bouillonnais de plaisir, et le faisait bien entendre.

    Le ramenant vers moi, Amycus se retrouva assis, avec moi toujours lié à lui sur ses jambes. Je n’avais toujours pas arrêté mes mouvements de bassin de plus en plus rapide. Mes bras vinrent autour de son cou, mes lèvres sur les siennes ardemment. Mais je ne pouvais bien longtemps, ne pouvant pas m’empêcher de le faire saccader par mes soupirs. Il ne me faudrait guère de temps pour attendre l’extase totale. Cependant voulant en profiter, je ralentissais un peu la cadence.
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeSam 20 Sep - 14:26

    Plus le temps passait, plus Amycus sentait que la relation qu’il vivait avec Krystel s’intensifiait… Petit à petit, il se rendait compte qu’au-delà de la relation purement physique qui s’était créée entre eux lors de leur première rencontre, s’installait autre chose… Et les sentiments qu’il ressentait à présent pour la jeune femme ne lui étaient pas totalement inconnus ! Mais était-ce possible ? Lui qui avait pensé ne plus jamais ressentir un tel sentiment avait l’impression que cela recommençait même si il n’était pas exactement le même…

    L’amour… Anna lui avait appris ce que signifiait ce mot ! Penser à l’autre avant soi, ne vouloir plus que cette personne à ses cotés, être capable de sacrifier sa propre vie pour elle. Il avait connu tout ça avec son Ange et avait l’impression que cela recommençait avec Krystel ! Il n’avait cessé de penser à elle lorsqu’il avait cru l’avoir perdu, il avait tué pour la retrouver… Cependant les retrouvailles avaient été difficiles car il avait pensé qu’elle ne lui pardonnerait jamais. Mais elle lui avait laissé une autre chance qu’il s’était juré de ne pas gâcher !

    Après ces retrouvailles, sa déesse avait dû partir… Elle lui avait promis de revenir sans lui dire quand ! Le manque était tel, que le jeune homme était sorti de nombreux soirs dans le but de se changer les idées ! A chaque fois, il était avait une jeune femme différente mais il ne s’était jamais rien passé ou rien de vraiment important. Ses jouets d’un soir ne lui apportaient rien…
    Et plus les jours défilaient, plus il avait craint que Krystel ne revienne pas… Résultat, il en était devenu encore plus odieux avec ses conquêtes d’un soir ! Les faisant espérer pour ensuite mieux les jeter…

    Mais maintenant tout était différent… Sa déesse était revenue et il se rendait compte qu’il avait de moins en moins envie de s’amuser avec ces jouets inintéressants et ce, malgré le fait que son amante lui ait donné son accord. Il la voulait elle… mais il voulait aussi qu’elle ne soit qu’à lui ! Cependant, pouvait-il lui demander de renoncer à cette vie qu’elle aimait tant ? Non, sûrement pas ! Il ne voulait pas lui donner l’impression de lui imposer des règles car il savait que comme lui, Krystel n’aimait pas ça.

    Un cruel dilemme se présentait à lui maintenant car il se rendait compte qu’il ne supporterait pas qu’un autre homme l’approche… mais il devrait pourtant accepter cette éventualité ! Il ne voulait pas la perdre et pour ça il ne devait pas la priver de la liberté à laquelle elle tenait tant. Cependant, il réfléchirait à tout ça plus tard car le moment présent était trop plaisant pour se torturer l’esprit…

    L’instant qu’il vivait maintenant avec son amante était différent de tout ce qu’ils avaient connu avant cela… La passion qu’ils ressentaient l’un pour l’autre était toujours aussi présente mais la sauvagerie avait été remplacée cette fois-ci par la tendresse et la douceur… Il était aussi doux avec elle qu’elle l’était avec lui et le jeune homme aimait ça !
    Il ne leur fallu que très peu de temps après ces nouvelles retrouvailles pour se désirer une nouvelle fois et ils s’étaient laissé guidé par leur envie mutuelle de l’autre…

    Krystel avait commencé par prendre les devants et il s’était laissé faire avec plaisir… Cependant, après plusieurs minutes c’est lui qui avait repris les rênes. Il avait allongée son amante sur le canapé pour ensuite la couvrir de caresses et de baisers mais il lui en fallait plus et il avait doucement ôté le dernier vêtement qu’elle portait pour lui offrit des caresses beaucoup plus sensuelles que celles qu’il lui prodiguait jusque là…

    Les gémissements de son amante firent augmenter son propre désir à un point qu’il n’avait jamais connu mais il continua ses caresses et participa avec plaisir au baiser langoureux que lui offrit la jeune femme…
    Cependant, Krystel le fit cesser et le poussa doucement pour qu’il se retrouve à son tour sur le dos… Sans attendre son amante vient sur lui pour que leurs corps s’unissent. Le plaisir provoqué par cette union fut tel que le jeune homme ferma les yeux en laissant échapper un soupir de plaisir.

    Son amante commença alors à effectuer un exquis mouvement du bassin… Les vas et vient qui étaient au départ longs et profonds devinrent de plus en plus rapides. L’attirant à elle, Amycus se retrouva assis sans que son amante ne cesse pour autant les mouvements exquis de son bassin. Elle passa ensuite les bras autour de son cou pour l’embrasser fougueusement alors que les mains du jeune homme parcouraient le corps parfait de sa déesse en de douces et sensuelles caresses…

    Il sentait que l’extase ultime était proche et pourtant il voulait prolonger cet instant… Il constata que ce désir était réciproque lorsque Krystel ralentit la cadence de ses vas et vient… Détachant ses lèvres de celle de la brune, Amycus recommença à l’embrasser dans le cou sans cesser ses caresses mais plus le temps défilait plus il en voulait… et pourtant il ne voulait pas que cela s’arrête…

    C’est pourquoi, tendrement, il fit de nouveau s’allonger Krystel sur le dos mettant un terme à l’union de leur deux corps… Et contre toute attendre, il ne relia pas leur corps et commença dans un premier temps à embrasser son amante tout en caressant chaque partie de sa personne…
    Mais après quelques minutes, le désir était tel qu’il unit de nouveau son corps à celui de son amante dans un soupir d’extase… Passant légèrement sa main dans les cheveux de la brune, il commença par effectuer de légers mouvements du bassin…

    Ses vas et vient s’accentuèrent au fur et à mesure que son désir augmentait ! Sa respiration tout comme son rythme cardiaque s’accélérèrent encore, lui donnant l’impression que son cœur allait exploser… mais tout ça n’était qu’un détail sans importance…
    Tentant de faire durer le plaisir à un point que cela frôle la folie, il ralentit de nouveau les vas et vient qu’il effectuait… et ses mouvements du bassin redevinrent longs et profonds…

    Cela dura encore quelques minutes mais à présent le désir était tel qu’Amycus accéléra le mouvement de ses vas et vient sans même s'en rendre compte… Ces derniers étaient maintenant beaucoup plus rapides et saccadés, chacun de ses muscles étaient mis à l’épreuve à cause de l’effort qu’il fournissait mais il ne s’en apercevait même pas… L’approche de l’extase ultime annulait tout le reste… il le sentait ! Il savait que c’était la même chose pour Krystel, ses gémissements de plus en plus désireux le lui prouvaient à chaque secondes qui passaient…
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Krystel Raybrandt



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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeLun 22 Sep - 13:50

    Qu’est ce donc ce que je ressentais depuis ma dernière rencontre avec Amycus ? Qu’est-ce donc cette chose qui faisait battre autant mon cœur, et encore plus en cet instant ? J’avais l’impression d’être sur petit nuage, et complètement épanouis et heureuse. C’était la première fois que j’avais une telle impression. C’était tout nouveau pour moi, mais je ne m’en plaignais pas, loin de là. Mais j’aurais bien voulu d’où cela venait.

    Cependant, je n’avais guère envie de me prendre la tête avec cela. Tant mieux si je me sentais aussi bien, et peu importe le pourquoi du côté. J’avais autre chose à me préoccuper. Car oui, malgré tout, j’avais une peur bleue, une peur bleue de le perdre. Je lui avais manqué, mais pour combien de temps ? J’étais accro à lui, et rien qu’à l’idée de plus l’avoir avec moi…

    Il était pourtant revenu vers moi la dernière fois, et avait choisi une dernière fois que c’était avec moi qu’il voulait être. C’était la seconde fois qu’il le faisait, et j’espérais vraiment que cette fois ci, il s’y tiendrait car je ne supporterais pas qu’il me refasse encore du mal. J’aurais pu l’oublier pour ne plus souffrir, mais c’était impossible.

    Je l’avais bien vu pendant mon séjour en France. Toutes mes pensées étaient tournées vers lui, tout le monde. Chaque chose me le rappelait. J’avais perdu le goût des choses pendant mon absence. Je n’avais même pas regardé un autre homme. J’aurais pu avoir l’occasion de jouer avec l’un d’autre, mais non, je n’en avais pas eu envie. Je n’en voulais qu’un seul tout simplement, un seul qui se trouvait en face de moi.

    Après quelques paroles échangées, sans que l’on prenne le temps de se demander ce que nous avions fais dans la semaine, nous étions retournés dans les bras l’un de l’autre. N’en pouvant plus d’attendre, j’avais laissé mon désir pour lui prendre la place, et je mettais mise à le déshabiller. Le contact de sa peau était des plus agréable. Mais bizarrement, j’étais tendre et douce, et en aucun cas sauvage. Cela aussi avait changé.

    En deux temps trois mouvements, nous étions tous deux sans le moindre vêtement. Nous caressant mutuellement, on laissait notre plaisir nous envahir et se faire savoir dans nos souffles. Je l’avais arrêté dans les délices qu’il me donnait, pour le faire s’allonger sur le dos. Me relevant, je m’étais placée au dessus de lui, liant nos deux corps. Je n’en pouvais plus d’attendre, j’avais envie de lui à un point fou !

    Commençant des mouvements de bassins je l’avais ramené vers moi, de telle façon à ce qu’il soit assis en face de moi. Ainsi je pouvais le regarder droit dans les yeux, et l’embrasser. C’est ce que je fis d’ailleurs. Augmentant le rythmes de mes vas et viens, je passais mes bras autour de sa tête et cella nos lèvres langoureusement, passionnément, mais délicatement également. Ce dernier fut saccadé par mes petits gémissements.

    Frissonnant de nouveau quand je sentis ses mains sur ma peau, me caressant sensuellement, une nouvelle fois, j’accélérais, sentant déjà que j’allais atteindre le summum de mon plaisir. Mais au bout de quelques délicieuses minutes, je ralentissais la cadence. Je voulais en faite en profiter encore un peu. Je désirais aller au bout avec lui, oui c’était sure, mais en même temps, j’adorais savourer ces retrouvailles.

    C’est pour cela que je fis ça. Un instant, je détacha nos bouches, pour le regarder dans les yeux, pour voir si cela allait le déranger. Mais non en fait. Une nouvelle fois, nous étions en accord. S’attaquant à mon cou, mes mouvements se firent très lents, plus profond que les précédents cependant. Je laissais des souffles s’échappaient de ma bouche, apportait par les caresse de mon amant. J’avais déjà envie du coup de plus, de beaucoup plus. Je n’arrivais pas à résister à son attraction.

    Lui pareil. Je laissais Amycus m’allongeait une nouvelle fois sur le dos. Je ne pus m’empêcher de pousser un soupir d’indignation quand il sépara nos corps. Je le voulais lui, et de ne plus le ‘sentir en moi’… Cependant, je le laissais faire encore, lui faisant confiance. Répondant à ses baisers, mes mains passèrent le long de son dos, tandis que les siennes exploraient ma peau.

    A mon plus grand plaisir, au bout de quelques minutes, il relia nos deux corps, dans un gémissement, en même temps que moi. Je fermais les yeux quand il passa ses doigts dans mes cheveux, et recommença des mouvements de bassin. Au début, il fut très lent, pour finir par les accentuer proportionnellement à notre plaisir. Mes caresses se firent plus pressantes, lui indiquant que j’en voulais encore et encore et encore.

    J’étais un peu en désaccord avec moi-même. D’un côté, je voulais qu’on ailler tout de suite jusqu’au bout. Mais d’un autre, je voulais que l’on continue à en profiter. Cela venait sûrement du faire que pendant plus de deux semaines, je n’avais pas pu regoûter à tous ce qu’il m’offrait en ce moment. J’étais à la fois en manque de sexe, et à la fois contente de le retrouver, vouloir en profiter.

    Pas un seul moment je ne regrettais de ne pas avoir couché avec un autre pendant mon voyage dans mon pays natal. D’une, il n’aurait pas su me satisfaire, et j’aurais perdu mon temps. De deux, cela n’aurait pas été pareil… Quoi que… Quoi qu’il arrive, j’avais toujours une passion folle pour lui et donc ce que nous partagions n’aurait pas changé techniquement, mais il était sur que j’en aurais beaucoup moins profiter, il n’y avait pas photos.

    Mon cœur battait à la chamade et mes gémissements étaient de plus en plus sonores, indiquant que j’étais sur le point, une seconde fois d’atteindre le plaisir ultime, tout comme Amycus. Cependant, il ralenti à son tour, faisant prolonger la chose. J’étais sur le point de devenir complètement folle. A frôler l’extase, sans jamais aller jusqu’au bout. Je posais alors mes lèvres sur son cou, lui offrant des baisers des plus sensuels et brûlants. Mes yeux se fermèrent, appréciant pleinement tout cela.

    Je ne pu m’empêcher de le mordiller doucement quand je sentis ses mouvements s’accéléraient de nouveau. Cette fois, c’était sur que nous ne pourrions pas nous arrêter avant la fin, cela serait impossible. Passant délicieusement ma langue sur son torse, je laissais des gémissements plus que sonores sortirent de mes lèvres, saccadés par ses vas et viens rapide. Je ressentais pour la troisième fois mon orgasme montait de plus en plus.

    J’étais essoufflée, mais je n’y faisais pas attention, trop concentrer sur mon plaisir. Revenant au visage du jeune homme, je me mis à le regarder droit dans les yeux, sentant que j’arrivais au bout. Mes mains étaient posées sur son dos. J’avais envie de voir ses belles prunelles à l’instant même ou je l’atteindrais. J’avais envie qu’il voit combien j’étais heureuse dans ses bras.

    A peine deux minutes plus tard, et cela fut chose faite. Le collant contre ma peau, je poussais un long gémissement de plaisir. Mon corps fut pris de délicieux frisons, tandis que je ne pu m’empêcher de fermer les paupières, savourant la sensation de parfait plaisir qu’il venait de m’offrir. Il m’avait une nouvelle fois de me faire arriver à mon ultime limite. Et il n’y avait aucun doute que c’était la même chose pour lui.

    Retombant à mes côtés, aussi essoufflé que moi, je vins déposer un long baiser très doux sur ses lèvres. Je m’était relevée un peu, et avais posé mes doigts sur ses joues. Sentant ma fatigue m’envahir de nouveau, je rompis ce dernier, puis je posais ma tête sur son torse. Fermant les yeux, je vins caresser légèrement un instant la cicatrice qu’il avait au niveau du cœur. Je pouvais sentir ses derniers battre très fort. Je m’endormais ainsi, après lui avoir murmurer une dernière fois:



    - Tu m’as manqué mon prince au bois dormant… Je suis dingue de toi…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeLun 22 Sep - 16:04

    Krystel… Elle seule comptait à présent. Elle lui avait énormément manqué lors de son séjour à Paris et elle aussi avait ressenti ce manque à son sujet. Maintenant qu’il l’avait de nouveau auprès de lui, il ferait tout pour qu’ils ne soient pas séparés car cela lui serait beaucoup trop difficile à vivre… Elle était devenue sa force et il avait réellement besoin de la savoir à ses cotés… car il le savait, il avait encore des faiblesses ! Ou plutôt une faiblesse !

    Anna ! Elle était son point faible à cause du simple fait qu’il l’aimait encore même s’il faisait son possible pour l’oublier… Seulement, Amycus avait revu la jeune femme lors d’une de ses soirées de drague et avait bien pris conscience que ses sentiments n’avaient en rien changée… Il l’a considérait toujours comme son Ange et avait même fait preuve de jalousie…

    En effet, il n’avait guère apprécié qu’un crevard lui tourne autour et cela avait empiré lorsque ce dernier avait essayé d’aller plus loin qu’un simple baiser après avoir suivi la brune en douce ! Le mangemort était arrivé à temps et avait failli tuer le jeune homme… S’il ne l’avait pas fait c’était uniquement parce qu’Anna ne l’avait pas voulu…
    Ce soir là, il avait presque failli craqué de nouveau et lui dire ce qu’il ressentait encore pour elle ! Seulement, sa volonté avait été la plus forte et il ne pouvait pas se permettre de faire souffrir une autre personne…

    Et cette autre personne était Krystel… Son exquise amante qui était de nouveaux à ses cotés ! Les retrouvailles avec la jeune femme lui avaient fait prendre conscience qu’il tenait à elle plus qu’il l’aurait cru, qu’il la désirait comme jamais cela n’avait été le cas… Il était persuadé que la brune ressentait la même chose. Le moindre de ses gestes, de ses regards le lui prouvaient !

    C’est sûrement à cause de tout cela que le désir qu’ils ressentaient réciproquement l’un pour l’autre avait pris le dessus sur une quelconque discussion. Aucun des deux n’avait voulu savoir ce que l’autre avait fait durant leur interminable séparation, le moment ne s’y prêtait pas. Ils se désiraient trop l’un l’autre pour pouvoir se montrer patients…

    Très vite, ils avaient de nouveau goûté aux plaisirs de la chair à la seule différence que la sauvagerie qui leur était habituelle avait été remplacé par de la tendresse… Tendresse qui aurait presque pu faire croire à de l’amour si le jeune homme n’avait pas cessé de penser que cela était impossible. Il était en effet pour lui, impensable de ressentir ce sentiment pour deux personnes à un intervalle si court !

    Et pourtant… Ce qui se passait entre Amycus et son amante y ressemblait vraiment beaucoup. Mais un cet instant précis, le jeune homme n’y réfléchissait pas trop non plus… Préférant apprécier les caresses et les baisers toujours plus sensuels de Krystel. Ce sont mêmes ces petites attention qui leur firent accélérer ses vas et vient et les légers mordillements qui lui infligeaient son amante ne firent qu’accentuer son désir jusqu’à ce que ce dernier en devienne une véritable torture…

    Alors que sa respiration et les battements de son cœur augmentaient à un point inimaginable… Amycus croisa le regard de son amante et su qu’elle connaîtrait bientôt le plaisir ultime. C’est pourquoi il avait continué ses mouvements de reins, ignorant les élancements dans tout son corps…
    Après une ou deux minutes, Krystel, dans un long gémissement se plaqua un peu plus contre le jeune homme au moment même où il atteignait l’extase tant désirée…

    A son tour, il ferma les yeux et laissa échapper un soupir de plaisir… Il se laissa ensuite tomber auprès de sa déesse, essoufflé, épuisé mais surtout comblé. Il ne regrettait pas d’avoir attendu son retour et de n’avoir rien fait avec ses jouets ! Au contraire, il était complètement ravi d’avoir pris cette décision.
    Le jeune homme déposa ensuite un doux et long baiser sur les lèvres de son amante auquel elle mit fin pour ensuite déposer sa tête sur son torse…

    De nouveau, Amycus ferma les yeux lorsque la française effleura du bout des doigts son ancienne cicatrice… Il frissonna légèrement lorsqu’elle lui répéta qu’il lui avait manqué et qu’elle était dingue de lui. Un sourire apparu sur les lèvres du jeune homme qui murmura à son tour…


    - Maintenant on est de nouveau ensemble… et je ne compte pas te laisser repartir.

    Ces mots n’étaient pas des paroles en l’air… Il avait besoin d’elle et il ne pourrait pas la laisser le délaissé une autre fois aussi longtemps ! Le temps d’une mission pour le Lord peut-être mais pas plus… Dans le cas contraire, il accompagnerait où qu’elle aille.

    Alors que la demoiselle qui lui avait tant manqué s’endormait paisiblement, Amycus passait tendrement sa main dans les cheveux de celle-ci. Se doutait-elle de ce qu’il ressentait réellement pour elle ? Sûrement pas… Serait-il capable de lui avouer ? Il en doutait…
    Mais il n’avait pas envie de se torturer l’esprit maintenant, il préférait profiter de ses merveilleuses retrouvailles et plus précisément de sa déesse…

    Tendant légèrement le bras, le jeune homme cessa quelques secondes ses caresses, saisit sa baguette qui se trouvait sur la table basse et fit apparaître un drap avec lequel il couvrit le corps de son amante ainsi que le sien… Puis, tendrement il se remit à effleurer les cheveux soyeux de la brune…
    Après plusieurs minutes se fut à lui de s’endormir…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeLun 22 Sep - 22:23

    Il était très tôt quand je me réveillais dans une pièce que je ne connaissais guère. Mais je savais très bien où je me trouvais. J’étais arrivée dans cet endroit le veille même, sur les coups de 2H-3H du matin. En fait, je venais tout juste de rentrer de France, où j’avais passé 10 longs jours. Arrivée en Angleterre, j’étais passée quelques minutes dans mon nouveau château avant de me rendre dans ce manoir, le manoir Carrow pour être plus précise, l’endroit même où j’avais commis des premiers meurtres.

    Pourquoi étais-je là ? Tout simplement parce que j’étais venue rejoindre mon amant, comme je lui avais promis. Il était d’ailleurs plus qu’un simple amant pour moi, même si je ne savais pas comment l’exprimer ou le qualifier. C’était très bizarre comme sensation. L’impression d’être forte comme jamais, mais d’être faible également. Enfin bref, le plus important était que j’étais heureuse, comme jamais je ne l’avais été.

    Me relevant un peu, le drap qui me recouvrait glissa sur mon corps toujours nu. Un sourire vint orner mon visage, quand je m’en aperçue. Certes j’aimais m’admirer, mais pour une fois, ce n’était pas la raison. En fait, c’était juste le souvenir de ma soirée, ou plutôt de ma matinée. J’étais revenue rejoindre Amycus, et nous avions laissé notre désir l’un pour l’autre l’emporter.

    Nous étions tellement contents et soulagés de se retrouver que nous avions bien entendu passé la nuit ensemble. Cependant, cela se fit très tendre, très délicatement contrairement à toutes nos autres fois. Et cela c’était fait très naturellement, sans que nous le demandions. Une nouvelle fois, nous n’avions pas eu besoin de mot ou de phrases pour nous comprendre. Cela était instinctif entre nous. Bizarre ? Oui et non. Après tout, nous étions si semblables.

    Me levant de telle façon à être assise, je regardais quelques minutes sans bouger le bel homme qui dormait paisiblement à mes côtés. Il était si craquant quand il était dans les bras de Morphée. Me mordant un instant la lèvre, je me retenais de l’embrasser et de le réveiller tout simplement. Il avait l’air si serein que je n’osais le troubler. Regardant la pendule qui se trouvait dans la pièce, je vis qu’il était 10H. Je n’avais pas beaucoup dormi, mais cela m’avait suffit.

    Sans faire un bruit, je quittais le canapé, faisant bien attention à ne surtout pas lui faire quitter ses songes. Au pied de la banquette se trouvaient deux tas. D’ailleurs, il ne fallut pas beaucoup de temps pour me rendre compte que ces derniers étaient tout simplement nos vêtements, rangés pendant notre sommeil par une vermine d’elfe de maison. Heureusement qu’Amycus, - car il ne faisait aucun doute que c’était lui - nous avait couvert d’un drap. Rien qu’à l’idée qu’un cafard ose poser les yeux sur mon corps… J’en ai des frisons d’écoeurements.

    Enfin bref. Me levant, je ne pris pas mes vêtements qui étaient d’ailleurs, même lavés ! Non, je n’étais pas le genre de femme à remettre deux fois les mêmes habits après tout. Je me saisis cependant mes sous vêtements très rapidement. Apercevant ma baguette, je la pris, et fis apparaître un autre drap, dans lequel je m’enroulais, laissant l’autre sur le corps de mon bel Apollon. Quittant en silence la pièce, je me retrouvais bien vite dans le hall d’entrée, qui se trouvait au bout du couloir. Ce ne fut qu’à cet instant que ma voix s’éleva dans la pièce :


    - Racaille apparaît devant tout de suite devant moi




    - Maîtresse… Vous m’avez appelé ?


    - Bête stupide, bien sure, sinon tu ne serais pas là… Fait moi porter immédiatement ma robe turquoise. Je ne veux pas que tu mettes tes sales doigts dessus tu m’as bien entendu. Tu feras venir un porteur et plus vite que cela… Et que ce dernier ne sonne pas mais se contente de frapper trois coups à la porte




    - Bien maîtresse, tout ce que vous voudrez maîtresse…


    Des courbettes, un second plok, et mon elfe de maison disparu tout de suite. Je détestais avoir affaire à eux, mais disons que pour des raisons pratique, je ne renonçais pas à eux. Papotant du pied, je me mis à attendre qu’il exécute ma demande, et qu’il me fasse arriver ma robe, que je puisse enfin aller me refaire une beauté dans la salle de bain et me préparer. Après tout, je me trouvais chez Amycus et je devais donc me montrer ‘digne’ de lui. Renvoyant ses elfes à leurs taches, je commençais à perdre patience.

    Cela faisait plus de dix minutes que j’attendais dans le hall qu’on m’apporte enfin ma somptueuse robe bleu, qui mettait parfaitement mes yeux, et mes formes en valeur. Très moulante et très courte, elle faisait toujours mouche sur moi. Bien entendu, elle avait été faite sur mesure et était unique. J’ai de la classe ne l’oubliez pas, et je n’aime guère faire comme toutes les autres, qui ne m’arrivent même pas à la cheville.

    Enfin, mon livreur arriva. Ce n’était pas trop tôt, j’avais faillis attendre. Chassant d’un coup de pied le domestique de mon amant qui était accouru en entendant que l’on frappait à la porte, j’ouvris cette dernière. Derrière on pouvait voir un homme plutôt mignon, blond et qui, selon son étiquette s’appelait Dimitri. Ce dernier ne pu s’empêcher de parcourir de ses yeux mon corps recouvert que d’un drap blanc et fin.

    Ouvrant légèrement la bouche, je ne pu m’empêcher de sourire. Bah quoi ? J’aimais qu’on m’admire après tout. Lui fermant cette dernière avec ma main, je l’entraînais dans le hall avant de refermer derrière nous. Prenant le ‘carnet de bord’ qu’il avait dans la main, ainsi que le stylos, je posais ma feuille de livraison sur le meuble du hall. Me baissant en avant de façon aguicheuse, et lui laissant deviner mon parfait fessier sous mon drap, je signais le bon, avant de me retourner rapidement pour lui rendre.

    Cela m’amusait drôlement de le voir complètement à ma merci, et ne revenant pas de voir une si belle femme, aussi peu vêtue devant lui. Se reprenant un peu, il claqua des doigts, et fis apparaître un cintre qui volait dans les airs, et sur lequel se trouvait ma robe. Alors qu’il aurait du partir, il n’en fis rien, ne pouvant se détacher de moi, et plus particulièrement de ma poitrine vu l’orientation de ses yeux…


    - Il vous manque quelque chose ?


    Je lui avais dis cela, en m’approchant de lui de très prêt, d’une voix sensuelle, et plus que provocatrice. Avalant sa salive, il semblait reprendre un peu d’assurance. Cela se confirma quand il osa se coller à moi et passer ses mains autour de ma taille pour les descendre sur mes fesses. Il avait de l’aplomb le petit, il fallait le reconnaître. Ce ne fut d’ailleurs que pour cette raison là que je le laissais faire au début. Il me dit alors :


    - Oui ma belle… Il me manque une nuit avec toi…


    Je ne pouvais que me rendre compte de la folie dont il faisait preuve. Je l’admirais un instant de faire preuve d’autant de culot envers une femme qu’il ne pouvait pas. C’était le genre d’homme que j’appréciais avoir dans mon lit, même si cela ne m’intéressait plus. Cependant, je le laissais aller au bout de ses idées l’espace de quelques minutes, juste pour pouvoir mieux le jeter, et lui montrer à qui il avait osé se frotter. Je me laissais donc ainsi embrasser langoureusement, répondant même à ce dernier. Il ne pouvait pas voir le sourire à mes lèvres, vu qu’il fermait les yeux. Ce dernier était de plus sadique, comme il l’était si souvent sur mon visage.

    Continuant dans sa déchéance, pensant qu’il était arrivé à me séduire, il passa ensuite ses mains sur ma poitrine, avant d’essayer de m’enlever mon drap. Bon là, c’était mort pour lui. Je ne comptais pas le laisser me contempler. Il n’y en avait qu’un seul qui en avait le droit. Cependant, je n’eu pas le temps de réagir. Au moment ou j’allais le repousser sans ménagement, le jeter comme une veille chaussette, je ne pus le faire. En effet, quelqu’un venait de le faire à ma place...
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMar 23 Sep - 10:24

    Avant de s’endormir Amycus avait de nouveau réfléchi à la relation qu’il entretenait à présent avec Krystel et plus précisément aux sentiments nouveaux qu’il ressentait pour elle. Et le résultat de ses réflexions était toujours le même malgré le fait que le jeune homme essaie de se prouver le contraire… Il faisait son possible pour penser qu’il s’agissait d’autre chose car cela compliquerait tout entre eux ! Et il ne le voulait pas !

    En effet, Amycus était de nature jalouse et la preuve en avait été qu’il avait presque failli tuer le débile qui draguait Anna lorsqu’ils s’étaient revus ! Alors que se passerait-il si il venait à vivre le même scénario avec son amante ? Rien qu’en pensant à cette question, le jeune homme se mit à plaindre celui qui oserait l’approcher !
    Et c’est avec ces pensées en tête qu’il s’était endormi paisiblement malgré la demeure dans laquelle il se trouvait… car cela n’avait plus d’importance. Maintenant il n’était plus seul !

    Après une nuit étrangement calme, Amycus se réveilla doucement mais ce fut pour ressentir un manque… Ouvrant les yeux, il sut immédiatement à quoi ce sentiment était dû ! Krystel n’était plus à ses cotés. Avait-il rêvé de son retour ? Non ! C’était impossible… La nuit qu’ils avaient passée ensemble avait bel et bien était réelle sans oublier qu’elle avait fait prendre conscience au jeune homme que ses sentiments envers son amante avaient changé…

    Cependant, il ne l’avouerait pas à la sublime française ! Pour commencer, il avait dû mal à croire que cela soit possible alors qu’il était toujours incapable d’oublier son Ange ; et ensuite, il savait pertinemment ce que Krystel pensait de ce genre de soi disant sentiment… Il avait lui aussi imaginé à une certaine époque qu’il s’agissait d’une invention des gens faibles mais qu’en réalité ce n’était qu’une illusion destinée à nous faire oublier nos peur de l’abandon et de la solitude…

    Repensant au fait que son amante l’avait de nouveau délaisser, il se demanda si elle était encore au manoir ou si elle était bel et bien partie… Le jeune homme se mit à espérer que la première solution soit la bonne. Après quelques minutes, le temps qu’il se réveille complètement, il se redressa sur le canapé pour constater que son linge avait été plié par l’elfe de son père et que celui-ci remettait du bois dans la cheminée…

    Amycus regarda la créature avec dégoût… Elle était le souvenir vivant de son père et le jeune homme l’aurait volontiers chassé mais c’était impossible ! L’elfe savait qu’il avait fait tuer ses parents par son amante et lui redonner sa liberté n’était pas pensable ! A la limite, il tuerait peut-être cet immondice si l’envie lui prenait… En attendant, le serviteur allait lui être utile !


    - Toi ! dit-il d’une voix glaciale. Rapporte-moi le pantalon noir ainsi de la chemise blanche qui se trouvent dans la valise à l’entrée ! Et tout suite…

    - Bien Maître ! couina l’elfe.

    Sur ces quelques mots la petite créature disparue et Amycus attendit en regardant la pièce dans laquelle il se trouvait… Il remarqua que les cadres qu’il avait fait enlever avait laissé des marques. Il pensa en premier lieu à faire nettoyer les murs par son domestique mais se dit par la suite que le mieux serait de toute refaire la déco… Il voulait que tous les détails en rapport avec ses parents disparaissent ! D’ailleurs les cadres se trouvaient toujours dans l’entrée… Il faudrait qu’il pense à les détruire.

    Alors que le mangemort était plongée dans ses pensées, un plok se fit entendre ! L’elfe de son père revenait mais avec les vêtements qui lui avaient été demandés. Amycus les saisit sans un remerciement, enfila le pantalon et était à présent sur le point de boutonner sa chemise lorsqu’une question lui vint à l’esprit… Avant que la créature ne disparaisse à nouveau, il lui demanda…


    - Mademoiselle Raybrandt est-elle toujours ici ?

    - Bien sûr Maître ! Elle se trouva dans le hall en compagnie d’un livreur… Puis-je disposer ?

    - Oui…

    Amycus avait prononcé ses mots sans même s’en rendre compte… Le simple fait de savoir que son amante se trouvait dans son manoir en train de discuter avec un autre homme, un simple livreur qui plus est, fit naître chez le mangemort une colère froide… S’ajoutait à ça la façon dont cet imbécile d’elfe avait exposé les choses… ‘‘En compagnie d’un livreur’’ ! A croire qu’ils passaient du bon temps !

    Ne prenant pas le temps d’attacher sa chemise, le mangemort attrapa sa baguette se trouvant sur la table basse et prit la direction du hall… Il arriva au moment même où Krystel demandait d’une façon des plus sensuelles qui soit au porteur si il lui manquait quelque. Dans le même temps elle s’était approché du jeune homme qui répondit que ce qui lui manquait c’était une nuit avec elle après l’avoir surnommé ‘‘Ma belle’’.

    Sur le coup, Amycus ne pu faire le moindre geste… Il savait que tôt ou tard il se retrouverait confronté à ce genre de situations mais il ignorait que cela se passerait aussi tôt et ici ! Comment pouvait-elle allumer un autre gars alors qu’elle était sous son toit ? Pourquoi n’avait-elle pas compris qu’il ne pourrait pas le supporter ? Qu’il tenait trop à elle pour la voir avec un autre !
    Alors que toutes ces questions et pensées traversaient l’esprit du mangemort, la suite fut encore pire et c’est ce qui le fit réagir enfin…

    En effet, le livreur venait d’oser posé ses sales mains sur le corps de la jeune femme et l’avait attirer à lui pour ensuite l’embrasser langoureusement. Amycus resserra un peu plus sa baguette en constatant que Krystel ne prenait même pas la peine de repousser l’insensé livreur. Une colère encore plus violente envahit le mangemort ! Elle ne pouvait pas lui faire ça après les moments qu’ils avaient passés la veille et encore moins dans sa propre demeure…

    Sans attendre une seconde de plus, Amycus se dirigea vers les deux personnes et pointa sa baguette sur le livreur avant de lancer contre ce dernier un sortilège qui le propulsa contre le mur… Ce dernier laissa échapper une plainte lors de sa rencontre assez brutale avec le mur avant de s’écrouler sur le sol, face contre terre. Amycus l'aurait volontiers tué sur le champ mais il reporta avant tout son regard sur Krystel… Cependant, lorsqu’il la regarda il n’y avait plus de trace de colère mais surtout de la déception et de l’incompréhension…

    Il ouvrit la bouche pour parler mais n’en fit rien… Que pouvait-il lui dire ? Il n’en savait rien… La seule chose dont il était sûr était qu’il aurait voulu ne jamais voir ça et encore moins maintenant qu’il avait compris ce qu’il ressentait pour elle ! Mais il ne pouvait pas rester là sans rien faire… Elle avait dépassé les bornes en se laissant séduire dans la demeure de son amant… La fixant dans les yeux, Amycus lui dit froidement…


    - Tout va comme tu veux ? Parce que si je te dérange je me peux éventuellement me tirer !

    Il avait employé un ton glacial uniquement pour dissimuler ce que son regard cachait avec plus de difficultés… Sa baguette toujours en main, il observait Krystel dans l’attente d’une éventuelle réponse voir même réplique. Il savait qu’elle n’aurait sûrement pas apprécié ce qu’il venait de faire même si c’était légitime et encore moins la façon dont il venait de lui parler… mais ça avait été plus fort que lui !

    Cependant, avant que la belle ait prononcé le moindre mot, un grognement se fit entendre du coté du porteur… Sans même un regard pour l’intrus, Amycus pointa sa baguette sur ce dernier… Alors qu’il s’apprêtait à utiliser le sortilège du Doloris sur celui-ci, le mangemort fut surpris de l’entendre s’adresser à lui et encore plus surpris de constater que cette voix lui était étrangement connue !
    Il reporta alors son attention sur le livreur et reconnu aussitôt le crevard qui avait failli agressé Anna… Au même moment, le porteur qui s’était relevé, baguette à la main, lui lança avec rage…


    - Encore toi ? Tu vas me dire qu’elle aussi je n’ai pas le droit de l’appr…

    - La ferme ! le coupa Amycus.

    Il lança ensuite au jeune homme le maléfice auquel il avait pensé un peu plus tôt… Bien que son ennemi ne s’en souvienne pas, il tomba une nouvelle fois en poussant un hurlement de douleur à vous glacer le sang. Il avait eu la vie sauve la dernière fois grâce à Anna mais cette fois-ci il aurait sûrement moins de chance et ce, pour plusieurs raisons dont une en particulier…

    Cette dernière était simplement le fait que Krystel allait se poser des questions concernant la phrase que cet imbécile avait dite et voudrait sûrement savoir qui était l’autre demoiselle que le livreur ne pouvait pas approcher ! Amycus s’était jurer de ne plus mentir à son amante et comptait lui parler de sa rencontre inattendue avec son Ange mais pas tout de suite, pas de cette façon…

    En ayant assez d’entendre les hurlements incessants de sa victime, Amycus leva le sort et rabaissa légèrement sa baguette… Tout au long de la torture infligée au blond, le mangemort n’avait pas quitté son amante du regard, cherchant à comprendre pourquoi elle avait fait ça mais ne trouvant aucune réponse…
    Cette légère réflexion de la part d’Amycus permit à sa victime un léger moment de répit… Mais il ne tarderait pas à souffrir de nouveau car Amycus était bel et bien décidé à lui faire payer la souffrance qu’il ressentait en cet instant…
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Krystel Raybrandt



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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMar 23 Sep - 13:13

    Il n’y avait pas à dire, mais ma journée commençait vraiment très bien, sans aucun doute. Déjà, je venais de retrouver celui avec qui je me sentais si bien. Il m’avait attendu, comme je lui avais demandé. Et même si j’avais mis du temps pour revenir de mon voyage, il était là, continuant à espérer que je revienne. D’ailleurs, comme pour me garder avec lui, je l’avais trouvé en train de dormir avec ma cape.

    Le réveillant, j’avais savouré nos retrouvailles, et nous avions finis la nuit ensemble, en couchant ensemble. Cela faisait longtemps, plus de deux semaines, que je n’avais pas goûter au plaisir qu’un homme pouvait m’offrir. J’aurais pu plus tôt assouvir ce manque, mais il n’y en avait qu’un seul avec qui je voulais pratiquer cela. Et je ne regrettais pas d’avoir attendu, loin de là.

    J’avais fini par m’endormir épuisée par mon voyage et notre union, dans ses bras. Pour la première fois depuis pas mal de temps déjà, j’avais passé une nuit sereine, et même si je n’avais pas dormi beaucoup, je me sentais en pleine forme et d’attaque. Voulant tout de même laisser mon bel amant continuer de rêver dans les bras de Morphée, je m’étais levée sans aucun bruit.

    Passant un drap autour de mon corps, j’avais pris à la main des sous vêtements, avant de me rendre dans le hall de la maison. Une fois dans ce dernier, j’avais fais venir mon elfe de maison, pour qu’il me fasse apporter une de mes robes. Et pas n’importe laquelle. Je lui avais demandé une de mes plus belles, et plus coûteuse, pour plaire au beau prince au bois dormant. Posant des dessous sur un des meubles de l’entrée, j’avais attendu plusieurs minutes qu’enfin le livreur.

    Quand ce dernier arriva, je ne pus m’empêcher de le trouver plutôt mignon. Et oui, même si j’étais dans la maison d’Amycus, avec qui je me sentais heureuse, cela ne m’empêcher pas d’avoir des yeux et d’en profiter. D’ailleurs, le jeune homme en fit de même sur moi, ouvrant même la bouche devant ma sublime beauté. J’adorais quand je faisais mon petit effet auprès de la gente masculine…

    Vous pensez sûrement que je suis folle ? Surtout par rapport à mon mangemort ? Non pas du tout. Nous avions conclu un accord, quand à nos libertés. Il pouvait s’amuser avec d’autres filles, tout comme moi je le pouvais avec d’autre. Après tout, nous étions libre de faire que nous voulions, et nous n’avions aucun engagement l’un envers l’autre. C’est pourquoi, je ne faisais rien de mal.

    Amycus me connaissait bien, et il savait très bien comment j’étais. Je n’aimais pas que l’on étouffe, et qu’on me dise quoi faire. J’étais un peu comme un cheval sauvage. Libre, fougueuse, sauvage, et indomptable. Les règles, se n’étaient pas pour moi. Je faisais comme bon me semblait, et ce que je désirais. Et en ce moment, j’avais envie de jouet avec ‘Dimitri’ vu que c’était son nom, pour mieux pouvoir le jeter après.

    Je le laissais donc me draguait et avoir le loisir de me contempler. Faisant onduler mes formes à chacun de mes pas, je l’aguichais sans aucun doute. Après avoir signer le bon de réception, je m’étais approchée de lui pour lui rendre le reste des papiers. Lui demandant s’il lui y manquait quelque chose, il me répondit une nuit avec moi, avant de poser ses mains sur mes fesses, et m’embrasser langoureusement.

    Répondant à son baiser, je ne pu que constater qu’il savait bien s’y prendre, même s’il n’était pas à la hauteur de mon amant. Me collant un peu plus à lui, il essaya de m’opter mon drap. Alala, pauvre fou. Comme si j’allais le laisser faire une chose pareille. J’étais certes une katin, ou je ne sais pas quoi d’autre, mais je n’étais une fille facile. Et puis, je ne le désirais guère, alors il pouvait toujours aller se brosser pour m’avoir.

    Posant mes mains sur son torse, je me détachais de ses lèvres. Mais au moment ou j’allais le jeter comme une chaussette, et lui faire comprendre qu’il n’avait aucune chance avec moi, on me devança. Ce dernier se retrouva propulser contre le mur violemment. Je n’avais pas besoin de tourner la tête pour savoir qui venait de lancer un sortilège. Il s’agissait de mon amant bien entendu, qui venait sûrement tout juste de se lever.

    Pourquoi avait-il fait cela ? Je sentais une pointe d’agacement monter en moi. Non mais oh, il venait d’abîmer mon jouet quand même. Et il n’avait aucun droit de le faire. Après tout, je faisais ce que je voulais, et il le savait très bien. Certes, j’étais chez lui, mais il me connaissait. J’avais du respect envers lui. Et dans l’optique ou j’aurais voulu me le taper, je serais allée dans un autre endroit. Hors, je n’avais nullement l’intention de le quitter…

    Je lui avais dis quand je l’avais rencontré. Maintenant que j’étais avec lui, je n’allais plus partir. Cela aurait du lui suffire. Mais non. Et puis bon quoi, même, il n’avait pas à faire cela. Tournant un regard un peu en colère vers lui, j’allais lui demander des explications mais je n’eu pas le temps. Il me prit de rapidité, et me dit froidement si tout allait bien et s’il me dérangeait, il fallait que je lui dise et il partirait. Pardon ? Il jouait à quoi avec moi là ?

    Ne pouvant pas cacher mon étonnement, je me retenus de lui mettre un baffe. D’où il me parlait ainsi ? Ne me dites pas qu’il est en train de me faire une scène de jalousie, car ce n’est pas le genre de chose qui me plait, bien au contraire. Je n’appartiens à personne, à personne, même pas à lui. Alors oui, même si je me sentais bien avec lui, même si je ne pouvais pas expliquer ce que je ressentais pour lui, je restais tout de même une femme indépendante.

    Encore une fois, au moment ou j’allais lui répondre, une voix se fit entendre, mais cette fois ci, se fut celle de mon jouet amoché. Regardant Amycus, il semblait le reconnaître et cela se confirma dans ses paroles. Il lui parla, lui demande si moi aussi, il n’avait pas le droit de m’approcher, sans pouvoir finir sa phrase. Moi aussi ? Comment cela ? Il y en avait-il une autre ? Je n’avais pas besoin d’en savoir plus pour comprendre de qui il s’agissait.

    Une nouvelle fois, une grande colère m’envahit. Anna… J’en étais certaine. Ce serait la seule qu’il défendrait à un homme de l’aborder… Il m‘avait donc omis des détails, comme le fait qu’il était reparti vers elle pendant mon séjour. Encore, je m’étais trompée ? J’avais cru qu’il m’avait attendu, mais en fait non. Je ne pouvais pas croire cela et pourtant, je devais bien me rendre à l’évidence. Et puis, pourtant l’aurait-il fait taire s’il n’allait pas me révéler quelque chose de compromettant ?

    Lançant un sortilège de doloris à mon livreur quelques instants, il finit par lever ce dernier, pour se retourner vers moi. Mes poings étaient serrés de colère. J’étais loin d’être stupide, et j’avais compris. Cependant, je voulais savoir le fond des choses, avant de m’emballer. Qui sait ? Ne pouvant pas m’empêcher de le fusionner du regard, je vins me placer devant mon jouet. Ce dernier venait de s’évanouir, à cause de la douleur qu’il avait ressenti.


    - On peut savoir à quoi tu joues ? Pourquoi tu as fais cela ? Pourquoi as-tu abîmé mon joujou ? A la dernière nouvelle, j’ai le droit de faire ce que je veux quand je veux… Je ne suis pas Anna, et je te laisserais pas me dicter ma conduite… D’ailleurs, si j’ai bien compris… Comment va-t-elle depuis la dernière fois que je l’ai vu ? Car il faut croire qu’encore une fois, je me sois trompée, et que tu es revenu vers elle… Quelle conne je suis dès fois


    Au début ma voix avait été colérique, pour finir par être vraiment très déçue. Je ne pouvais pas croire qu’il m’ai trompé, et qu’il s’était de jouer de moi. Et puis, nos retrouvailles avaient été si fortes, si ‘belles’. Mais cela venait d’être encore une fois gâché. Pourquoi faisait-il tout cela ? S’il voulait simplement coucher avec moi, qu’il le dise… Pas la peine que de me faire des belles phrases ou autres.


    - Dis moi que je me trompe et que tu ne l’as pas revu… Dis moi que tu ne m’a pas menti ce matin quand je suis venue te retrouver… Dis moi que tu n’aurais pas pu me faire cela… Pas encore…


    Mon ton se fit beaucoup plus bas, presque un murmure. Tournant mon regard, je n’arrivais pas à croire ce qui se passait encore une fois. Faisant un pas vers lui, je posais une des mains sur son torse, comme pour chercher un réconfort, et qu’il me dise qu’il ne l’avait pas vu. Mais je ne voulais pas qu’il me mente, pas lui. Levant mes prunelles azurs vers lui, j’attendis qu’il m’explique, le cœur battant, ayant de nouveau très mal à ce dernier. Derrière moi, commençait à s’agiter Dimitri. Cependant je n’y fis pas attention, d’autres choses se chamboulaient dans ma tête…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMar 23 Sep - 15:21

    Tout s’était arrangé entre Amycus et Krystel il y avait dix jours… Après avoir cru durant une semaine qu’il ne la reverrait plus, le jeune homme avait finalement retrouvé son amante ! Les retrouvailles avaient été des plus difficiles car il était persuadé qu’elle ne lui pardonnerait pas sa conduite et pourtant elle lui avait laissé une seconde chance…
    Une seconde chance que le mangemort s’était promis de ne pas gâché et il avait tenu sa promesse… Comme elle lui avait demandé, il l’avait attendu et une seule ombre apparaissait au tableau !

    Cette ombre était le passé du jeune homme ! En effet, lors d’une de ses sorties, il avait recroisé Anna… Cependant, même si cela avait été difficile, il n’avait pas craqué ! Il avait certes été jaloux d’un débile et ce dernier ayant par la suite failli agresser son Ange le mangemort s’était fait un plaisir de le remettre à sa place !
    Hormis cette soirée, où son esprit c’était légèrement égaré, Amycus n’avait pensé qu’au retour de Krystel…

    Il savait qu’il devrait dire à son amante ce qui c’était passé au Pub mais lors du retour de cette dernière il n’avait pas eu l’envie de gâcher ces retrouvailles et avait reporter ces confidences quelque peu dérangeantes à plus tard… Au cours de cette même soirée, Amycus s’était rendu compte que les sentiments qu’il ressentait pour Krystel avaient changé et que ces derniers ne lui étaient pas inconnus…

    C’est donc avec ces pensées en tête que le jeune homme s’était réveillé ce matin… Seulement, Krystel n’était plus à ses cotés et l’espace d’un instant il avait eu peur qu’elle soit déjà partie ! Mais ce n’était pas le cas… L’elfe du père Carrow lui avait répondu que la jeune femme était un compagnie d’un livreur. Amycus n’avait pas aimé le terme employé par la créature et s’était saisi de sa baguette sans finir de s'habiller pour ensuite se rendre dans la hall…

    Le mangemort avait été figé sur place en voyant son amante aguiché le livreur qui ne lui avait pas cacher qu’il voulait passer la nuit avec elle avant de l’embrasser ! Ce fut ce geste audacieux qui ‘‘redonna vie’’ à Amycus… Sans hésiter une seconde, il s’était dirigé vers Krystel et le porteur en prenant soin de projeter ce dernier contre le mur, l’assommant à moitié !
    Il avait ensuite demandé froidement à son amante si elle désirait qu’il parte !

    Bien sûr ces propos avaient été ironiques et le ton glacial utilisé ne servait qu’à masquer la déception qu’il ressentait… Cependant, il savait qu’en utilisant ce ton là, il s’attirerait sûrement la colère de son amante ! D’ailleurs, il cru remarquer que Krystel s’était retenue de le gifler… Mais il n’avait pas réellement pensé à ce qu’il disait sur le moment.
    S’attendant alors à entendre la française prendre la parole, il fut surpris de constater que le livreur se permit de le faire avant elle… Et comble du comble, ce porteur n’était pas inconnu à Amycus !

    Le jeune homme qui avait alors essayé d’agresser Anna demanda à Amycus si Krystel aussi lui était inaccessible ! Enfin… Il n’eut pas le temps de finir sa phrase car le mangemort lui avait hurler de se la fermer avant de l’endoloriser ! Après plusieurs longues secondes pour le porteur, Amycus avait levé le sort, trouvant les hurlements du blond insupportables !

    C’est à ce même moment que Krystel avait choisi de se placer entre lui et le porteur qui venait de s’évanouir… Plongeant son regard dans celui d’Amycus, son amante lui demanda à quoi il jouait, pourquoi il avait fait cela, pourquoi il avait abîmé son joujou… ? La raison il l’a connaissait mais Amycus se refusait de le lui dire… Lui avouer qu’il aimait serait leur perte même s’il avait l’impression qu’elle ressentait ce même sentiment pour lui !

    De la même voix colérique, elle rajouta qu’elle n’était pas Anna et qu’il n’avait pas à lui dicter sa conduite… A cet instant, il détourna le regard ! Il n’y pouvait rien, il n’arrivait pas à supporter la simple idée qu’un autre puisse la toucher ! Krystel demanda ensuite des nouvelles de son Ange puisque apparemment il était retourné auprès d’elle…
    Non ! C’était faux ! Il n’avait pas cédé… Il reporta alors un regard complètement perdu sur son amante ! Elle ne devait pas croire ça… Elle précisa également qu’elle pouvait être conne parfois… Et ça aussi c’était faux !


    - Non… Krystel c’est pas ce que tu crois… murmura-t-il.

    Le mangemort remarqua ensuite que la colère dans le regard de Krystel se transforma peu à peu en tristesse… Il s’en voulu comme il y avait maintenant onze jours ! De nouveau il la rendait triste alors qu’il ne voulait que son bonheur. Krystel reprit alors la parole dans un ton plus bas qui ressemblait presque à un murmure… Posant sa main sur le torse du jeune homme elle lui demanda de lui dire qu’elle se trompait, qu’il n’avait pas revu son Ange…

    Amycus détourna le regard de celui de sa déesse… Il ne pouvait pas lui dire qu’elle se trompait ! Il avait bel et bien revu Anna même si cette rencontre avait été involontaire… Krystel continua en lui demanda de lui dire qu’il ne lui avait pas menti ce matin…
    Bien sûr qu’il ne lui avait pas menti… L’attendre dans cette demeure avait été une véritable torture mais elle n’était rien comparée à la peur qu’il avait ressentie en ne la voyant pas revenir de son voyage ! S’il était sorti c’était uniquement pour ne pas à avoir à regarder l’immense horloge de la bibliothèque toute les cinq minutes ! Il plongea de nouveau son regard dans celui de son amante…


    - Krystel, je ne t’ai pas menti… Tu m’as réellement manqué et plus les jours passaient plus je pensais ne plus te revoir et c’est ça qui a été la véritable torture pour moi… Il marqua une légère pause le temps de s’approcher de son amante. Ensuite la concernant, ce n’est pas ce que tu crois… Je ne suis pas retourner vers elle… Je l’ai croisé par hasard… Mais ça n’a pas d’importance. Cette rencontre n’a rien changé au fait que tu me manquais et que c’est toi que j’attendais…

    Il n’avait pas détaillé la soirée car il n’en voyait pas l’intérêt… La seule chose qui comptait pour Amycus était que Krystel le croit car il avait été sincère mais pas seulement pour ça. Le jeune homme voulait qu’elle le croit car il ne voulait pas la perdre et surtout, qu’il l’avoue ou non, il l’aimait !
    A cet instant, il se rendit compte une nouvelle fois à quel point l’amour pouvait être douloureux… Ce sentiment était à la fois quelque chose de fabuleux mais aussi quelque chose d’horrible…

    Oubliant l’autre débile, Amycus rangea sa baguette et s’approcha de Krystel au plus près pour finalement l’enlacer avec tendresse ! Il savait que dans le cas où la jeune femme ne l’avait pas cru elle se dégagerait, voir même le giflerait… mais il s’en fichait. Il voulait l’avoir près de lui en cet instant présent… lui montrer qu’il tenait à elle… qu’elle lui avait vraiment manqué !


    - Je ne te mens pas Krystel… Il faut que tu me croies ! murmura-t-il à l’oreille de la brune.

    Au même moment, un mouvement attira son attention ! Le livreur avait repris connaissance et s’était relevé affichant une expression mauvaise sur le visage… et pointant sa baguette en direction des deux mangemorts.
    Le temps qu’Amycus réagisse, qu’il écarte légèrement Krystel et qu’il récupère sa baguette, le porteur lui avait déjà envoyé un sortilège de désarmement que le mangemort ne put contrer. Son arme lui sauta des mains avant qu’il n’ait eu le temps de réagir !


    - Alors ! s’exclama le fameux Dimitri. On fait moins le malin maintenant ?! L’autre était peut-être pas d’accord pour venir avec moi mais celle-là c’est différent alors tu me la laisses.

    Amycus serra les poings tandis que le porteur avait un sourire mauvais avant d’ajouter…

    - On va voir de quelle façon toi, tu supportes ce sortilège impardonnable ! déclara-t-il en levant sa baguette…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMer 24 Sep - 9:07

    Pourquoi fallait-il que tout se complique toujours ? C’est vrai à la fin. A chaque fois que je pensais que rien ne pouvait entraver ma joie, on me prouvait le contraire. Cela venait-il de moi ? Etais-je trop stupide peut-être ? Allez savoir. En tout cas, encore une fois, la situation prit une tournure dont je ne me serais jamais doutée une seule seconde, et tout cela pour une histoire de robe en plus…

    Voulant être belle pour lui, j’avais demandé à ce que l’on m’apporte un de mes plus beaux vêtements. La personne qui était arrivée avec n’était autre qu’un jeune homme mignon, qui, devant la beauté, n’avait pas pu s’empêcher d’ouvrir grand la bouche. Cela m’avait amusé, et du coup, donnait envie de faire mumuze avec lui. J’avais retrouvé mon amant, et avec lui, ma ‘bonne humeur’.

    Je ne faisais rien de mal. Après tout, nous étions tout deux d’accord sur le fait qu’on pouvait aller voir ailleurs si on le désirait. Ici, ce n’était même pas le cas, je voulais juste manipuler le livreur, et lui mettre les boules, comme j’adorais le faire en temps normal. Le provoquant avec ma démarche et mes positions, ce dernier ne résista pas bien longtemps. C’était vraiment très simple, voir trop simple d’arriver à mes faits des fois.

    Me ramenant vers lui, il m’avait dit qu’il voulait couché avec moi, avant de poser ses mains sur mes fesses. Mais il ne s’arrêta pas là. Prenant possession de mes lèvres, nous nous embrassâmes langoureuse. Oui, nous, car j’avais répondu à ce dernier. Après tout, il fallait bien cela pour pouvoir le ridiculiser encore plus. Et puis bon, on aurait pas dis, mais il savait bien si prendre.

    Cependant, je décidais de mettre un terme à cela quand je sentis ses mains remontaient sur mon corps, caressaient ma poitrine, pour mieux essayer d’enlever le draps dans lequel j’étais. Il allait un peu trop loin le coco, et je n’aimais pas qu’on se permettre cela avec moi, sans mon accord. Surtout qu’il n’y avait qu’un seul homme avec qui j’avais envie de partager une couche, et c’était nul autre que mon amant bien entendu.

    D’ailleurs, en parlant de ce dernier, il venait d’arriver, et de projeter mon joujou contre le mur, en le blessant. Pourquoi donc avait-il abîmé ce dernier ? Je ne comprenais pas dans sa réaction, mais ce qui était sure, c’est que cela m’énervait. Je ne m’en prenais pas à ses conquêtes ! Alors il n’avait pas à faire cela. Rien ne le justifiait, mise à part la jalousie, et c’est une chose que je détestais. Après tout, je n’appartenais à personne.

    Je ressentais quelque chose pour Amycus, et à chaque fois qu’il était là, je me sentais apaisée. Il me rendait forte, et heureuse. J’avais confiance en lui, peut-être à tord, mais j’avais totalement confiance en lui. Il était le seul. Cependant, je restais une femme indépendante, et je ne pouvais pas oublier le mal qu’il m’avait fait, même si je lui avais pardonné. Mon séjour en France m’avait bien fait voir combien il me manquait et qu’il était dans mes pensées tout le temps. J’étais dingue de lui, c’était certain.

    Ses paroles ne m’aidèrent pas à calmer mon agacement, loin de là. Son ton était froid à souhait, comme si je venais de faire quelque chose de grave, alors que ce n’était pas le cas. Il ne faisait plus aucun doute qu’il était jaloux et mécontent que j’ai embrassé un autre que lui. Il n’y avait vraiment rien pour justifier cela. Nous n’avions aucun engagement l’un envers l’autre. Et puis, le livreur n’avait aucune chance face à lui…

    Au moment où je voulais lui répondre, Dimitri prit la parole… Et se fut des révélations sur la semaine de mon mangemort qu’il me donna. Il parla d’une autre femme, comme quoi il n’avait pas le droit de s’approcher non plus, droit enlevé par Amycus. D’ailleurs ce dernier coupa court à ses paroles, lui lançant un sort de doloris. Mais c’était trop tard, j’avais compris. Qu’est-ce que je pouvais être stupide des fois. Et dire que j’avais cru que…

    De nouveau je fus en colère, et je lui fis bien savoir dans mes dires. Anna… Encore et toujours elle. Alors d’une il abîmait mon jouet sans raison, et ensuite, il m’avait caché qu’il était de nouveau revenu vers la serpentard, pendant que j’étais partie en France. Et dire que j’avais réellement pensé qu’il m’avait attendu. Mais je devais bien me convaincre que cela n’était pas le cas…

    Il me murmura quelques mots, mais je n’y fis pas attention. Je ne voulais pas croire qu’il m’ait de nouveau fait cela. Surtout que quand j’étais revenue… Non, il n’aurait pas pu. Je l’aurais remarqué sinon s’il me mentait. Nos retrouvailles avaient été trop fortes pour qu’elles ne soient qu’un vulgaire mensonge. Je ne pouvais pas non plus ignorer les paroles du livreur, et le fait qu’Amycus ai détourné le regard à mon évocation de son ‘ange’ comme il l’appelait.

    Voulant en avoir le cœur net, ayant besoin de savoir le fond des choses, je m’étais rapprochée de lui, et lui avait demandé de me répondre. Posant ma main sur son torse, c’était comme si inconsciemment, j’avais besoin de sentir sa chaleur contre moi. En cet instant, je me sentais de nouveau si mal, que j’en venais à préférer qu’il me mente, qu’il me dise qu’il ne l’avait pas revu, et que mon jouet parlait d’une autre femme… Je le saurais s’il me mentait, mais je ferais comme si de rien n’était, juste pour pouvoir être avec lui.

    De nouveau son regard se détourna, pour revenir à mes yeux azurs qui ne l’avaient pas quitté une seule seconde. C’est ce moment qu’il choisit pour m’expliquer. Il commença par me dire qu’il ne m’avait pas menti, ce qui me rassura, je devais bien l’avouer. Continuant, il me répéta que je lui avais réellement manqué, qu’il avait cru que je ne reviendrais pas et que cela à été une torture pour lui. Mon cœur fit un léger bond quand il prononça cela.

    Marquant une pause, il s’approcha de moi, tandis que je ne bougeais pas d’un seul pouce. Il n’avait pas fini de me répondre, et je voulais savoir le fond des choses, et ses explications. Me disant que ce n’était pas ce que je croyais concernant Anna. Il l’avait belle et bien revu, au hasard affirma t-il, mais que cela n’avait pas eu d’importance. Sans plus me donner de détail, il finit par m’assurer que cela n’avait pas changé le fait que c’était moi qu’il attendait et qui lui manquait.

    Que devais-je faire ? Lui demander plus de renseignement ? Non, car je savais que cela ne me ferait que du mal. Le croire une nouvelle fois ? Il était sincère, mais en même temps, il m’avait caché qu’il l’avait revu, et je l’avais appris par un autre. Combien d’autres choses j’ignorais le concernant ? Combien de chose avait-il ‘oublié’ de me parler ? J’avais complètement oublié la présence de l’élément perturbateur, qui venait de compliquer ma relation avec mon amant.

    Quand il m’enlaça, je ne pus m’empêcher de fermer mes yeux, et de poser ma tête contre lui. Je ne savais pas quoi faire, mais ce qui était sure, c’est que de nouveau ne plus être avec lui, ce serait pire pour moi. Mais je ne voulais pas le partager avec la serpentarde. Il l’aimait elle, et je risquerais de le perdre un jour ou l’autre. Cela j’en étais pleinement conscience. Après tout, même si je lui avais manqué, qui étais-je pour lui comparée à Anna ? Rien du tout bien entendu.

    Il me fit sortir de mes pensées, en me murmurant à l’oreille qu’il ne mentait pas, et que je devais le croire. C’était le cas, mais je ne voulais plus souffrir, pas encore une fois. Plus le temps passait, plus je m’accrochais à lui à un point fou, et cela, c’était ma plus grande faiblesse. Les choses se précipitèrent de plus belle, sans que je ne le veuille, rendant les choses encore plus compliquées qu’elle ne l’était.

    Se relevant, Dimitri avait saisi sa baguette. Mais vu que je lui tournais le dos, je ne l’avais pas remarqué. Mon amant par contre oui. Il m’écarta de lui, comme pour me protéger, et au moment ou je me retournais, je vis sa baguette lui voler des mains, sans qu’il ne puisse rien y faire. A vouloir me ‘mettre’ hors de porté, il avait perdu du temps, et ne pouvait plus se protéger.

    Prenant la parole, le livreur fit monter une contre haine en moi. Il dit à Amycus qu’il faisait moins le malin à présent sans son arme. Mais le pire fus sans aucun doute quand il dit qu’il devait me laisser à lui. Je n’étais pas un objet, et encore moins le sien. Comment osait-il dire une chose pareille ? Comment osait-il pointer sa baguette sur celui qui comptait tant pour moi, en pensant réellement que j’étais sienne ?

    Continuant dans sa perte, il leva son arme, et dis alors à mon amant qu’il voulait voir comment il supporterait lui un sortilège impardonnable. Oh mon dieux, non, pas lui. Sans prendre la peine de réfléchir plus longtemps, je couru vers mon mangemort avant de le pousser à terre, et lui éviter un doloris, me le prenant à sa place. Je sentis mon corps envahis d’une torture, d’une douce torture en fait. Au début, j’avais plié un genou à terre, mais je m’étais bien vite relevée.

    Il en faudrait plus qu’un minable sorcier pour venir à bout de moi, et surtout de ma colère. Même si je sentais comme des couteaux me transperçaient, j’étais arrivée à me dirigeait vers lui, luttant contre le sort. Ma marque des ténèbres réapparut sur mon bras, plus noire que jamais. Mon regard était des plus mauvais, et quand il vint se planter dans les yeux de mon jouet, je lus en lui une peur certaine. Comprenant enfin à qui il avait affaire, il essaya de me relancer un doloris, mais en vain. J’étais toujours son l’influence du premier, même si je n’en donnais pas l’impression.


    - Tu es faible Dimitri et tu n'es qu'un imbécile… Je n’appartiens à personne, à personne ! … Tu vas mourir pour avoir osé essayer t’en prendre à lui… Je vais te tuer, et ne pense pas que j’aurais une once de pitié… Tu vas souffrir jusqu’à ton dernier souffle.


    Ma voix avait été cruelle, et sadique. Arrivée bien vite à sa hauteur, je lui arrachais des mains son arme, arrêtant enfin le sortilège impardonnable. Il allait payer l’affront qu’il venait de me faire. En m’attaquant, il avait réveillé ma folie, et cette dernière demandait du sang et de la souffrance. Le faisant léviter dans le hall, je le fis s’écraser une première fois contre le mur violement, puis une deuxième fois, puis une troisième fois, ainsi de suite… Le tout sous mon rire diabolique, qui s’échappait de ma bouche.

    Des goûtes de sang tombèrent de plus en plus fortement, coulant le long de mon corps, sans que cela me dérange. La pièce était envahit également de craquements. Je ne m’en rendais pas compte mais le quatrième choc vain à bout du livreur, qui arrêta de crier pour de bon. Plongée dans ma haine, je n’y avais pas fais attention continuant de projeter inlassable son corps contre le mur, n’arrêtant pas. Il devait payer pour ce qu’il avait osé faire à mon amant, il devait payer…

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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMer 24 Sep - 11:49

    Une fois de plus des difficultés venaient tout compliquer au grand damne d’Amycus… Qu’avait-il fait pour mériter ça ? Etait-ce une punition pour tout le mal qu’il avait autrefois semé ? Ou bien était-ce simplement la vie elle-même qui se voulait aussi dure et ce, avec tout le monde ? Le jeune homme n’en savait rien mais toutes ces complications continues mettaient à mal sa relation avec Krystel et il avait de plus en plus de mal à le supporter…

    Il avait fait un choix à présent et c’est avec Krystel qu’il avait choisi d’être… D’accord le choix avait été des plus difficiles mais il l’avait fait et même si il savait qu’il ne pourrait jamais oublier son Ange, il savait également que les sentiments qu’il ressentait à l’égard de son amante avaient changés… A présent, Il éprouvait plus que du désir et de la passion envers la sublime française et ce nouveau sentiment n’était autre que de l’amour… mais aussi de la jalousie !

    Cependant, au moment même où il s’était rendu compte de ce qu’il éprouvait vraiment Amycus avait su qu’il devrait le garder pour lui. Krystel était une femme indépendante qui voulait le rester et surtout elle pensait qu’aimer n’était qu’une invention des faibles… C’est pourquoi il devait se taire ! Il ne voulait pas la perdre et il ne voulait pas non plus qu’elle le voit comme un faible…

    Mais que se passerait-il quand un autre homme la séduirait et qu’elle ferait comme à son habitude, c'est-à-dire s’amuser avec le pauvre fou avant de le jeter ?! Comment Amycus arriverait à supporter ça alors que son seul désir était qu’elle soit à lui ? A coup sûr cela serait une vraie torture pour le jeune homme et il devrait faire preuve d’une grande maîtrise. Car il n’avait jamais connu ce sentiment de jalousie auparavant et avait constaté que ce dernier était difficile à maîtriser lorsqu’il avait vu Anna avec cette espèce de débile…

    Enfin bref… Tout ça pour dire que le mangemort ne savait ce qu’il devait faire pour les difficultés qui prenaient vie sans cesse disparaissent pour de bon… Et apparemment ce moment n’était pas encore venu puisqu’il n’avait pas su se maîtriser une nouvelle fois et qu’il avait balancé sans ménagement le jeune homme qui embrassait langoureusement sa déesse… Si c’était comme ça qu’il comptait cacher l’amour et la jalousie à Krystel c’était raté et cette dernière se retint de lui mettre une gifle en voyant sa réaction…

    Mais la suite des évènements avait été pire ! En effet, après avoir parlé froidement à son amante et attendant sa réponse, Amycus avait eu la surprise d’entendre parler le livreur et de reconnaître en lui le crevard du Pub. Ce dernier l’ayant reconnu mentionna, sans pour autant dire son prénom, Anna… Quelle mauvaise idée ! Le mangemort le fit taire à l’aide d’un doloris mais beaucoup trop tard… Krystel avait comprit et voulait à présent savoir, passant de la colère à la tristesse.

    De nouveau Amycus s’en voulu… Il faisait son possible pour la rendre heureuse mais le résultat était toujours des plus négatifs ! Il savait qu’elle lui en voulait de ne rien lui avoir dit mais il n’avait pas dissimulé cette rencontre hasardeuse, il n’avait pas voulu gâcher leurs retrouvailles… C’était l’unique raison de son silence !
    Lorsque la brune lui demanda des explications, il saisit sa chance et lui dit qu’il n’avait pas menti, qu’il fallait qu’elle le croit et surtout que cette rencontre n’avait rien changé au fait qu’elle lui avait manqué et qu’il l’avait attendu…

    Il avait l’esprit tellement occupé qu’il en avait presque oublié l’autre débile mais lui ne les avait pas oubliés ! Alors qu’Amycus enlaçait son amante, il remarqua que le fameux Dimitri s’était relevé et pointait sa baguette dans leur direction… Sentant, le danger il réagit pourtant différemment ! En temps normal il aurait pensé à récupérer sa baguette et à désarmer son adversaire mais cette fois-ci se fut différent !

    Il pensa à Krystel, au fait qu’elle aussi courait un risque ! C’est pourquoi il s’assura que l’autre débile ne pourrait pas lui faire du mal avant de penser à lui-même mais cela valu de le mettre lui en danger… car le temps qu’il récupère son arme Dimitri ‘avait désarmé…
    Le porteur lui dit qu’il faisait moins le malin et qu’il devait lui laisser Krystel ! Amycus serra les poings. Comment osait-il parler de sa déesse de cette façon ? La traitant presque de vulgaire objet… S’il avait été armé, Amycus aurait tué sur le champ le blond mais ce n’était pas le cas et l’autre reprit en lui demandant comment il allait réussir à supporter le doloris !

    Amycus ne répondit rien… Il connaissait parfaitement ce maléfice pour l’avoir subit lors des pires colères de son père ! Ce minable ne lui faisait pas peur et il paierait pour cet affront tôt ou tard… Cependant, alors que la baguette de Dimitri se baissait de nouveau, Amycus senti qu’on le poussait… Il se retrouva donc au sol, hors de portée du maléfice mais ce qu’il vit quand il releva la tête le paralysa…

    C’est bien entendu Krystel qui l’avait repoussé mais elle n’avait pas pu éviter le Doloris… Tout ce passa ensuite très vite, malgré la douleur que son amante devait ressentir, elle parvint à rester debout et se dirigea vers son agresseur passant près d’Amycus qui s’était relevé. Le mangemort vit dans le regard de Krystel une telle colère qu’il sut que Dimitri allait souffrir, beaucoup souffrir. Mais cela ne le dérangea pas le moins du monde… Une vermine telle que lui ne méritait que la mort !

    A cet instant, Krystel reprit la parole à l’attention du portier… Sa voix était aussi froide que la mort et son regard était de plus en plus terrifiant ! Elle informa Dimitri qu’il était un imbécile et qu’elle n’appartenait à personne ! Elle ajouta ensuite qu’il allait mourir pour avoir essayé de s’en prendre à Amycus et qu’elle n’aurait aucune pitié à le faire souffrir… Mais alors qu’elle balançait le livreur contre le mur, Amycus se rendit compte d’une chose qui lui coupa le souffle…

    C’est lui qu’elle protégeait de la sorte, c’est pour lui qu’elle était sur le point de tuer cette vermine, et c’est encore pour lui qu’elle avait mis sa vie en danger comme il l’avait fait pour elle. Et c’est ce genre d’attentions qui traduisaient le sentiment d’amour ! Mais alors, était-ce possible qu’elle l’aime, qu’elle tienne à lui bien plus qu’elle ne l’avait prétendu jusque là ?
    Amycus vint à penser que oui et il commença enfin à comprendre le comportement de son amante…

    Il comprenait enfin pourquoi elle haïssait autant Anna… Elle devait se douter qu’elle était un danger ! Du moins, c’est ce qui vint à l’esprit du jeune homme. Krystel savait qu’Anna avait été le premier amour d’Amycus et devait avoir peur qu’il retourne à ses cotés mais ça n’arriverait pas… tout simplement parce qu’il l’avait décidé et qu’il ne changerait pas d’avis…

    Ce fut l’étrange silence qui régna de nouveau dans la pièce qui sortit le jeune homme de ses pensées… Un nouveau craquement lui fit tourner la tête sur la droite et c’est là qu’il remarqua que Krystel avait bel et bien tué Dimitri ! Cependant, elle continuait de la balancer contre le murs, ayant de nouveau plongée dans une folie meurtrière.
    Amycus s’approcha alors doucement de son amante et lui fit baisser sa baguette ce qui eu pour effet d’interrompre le sort de lévitation… Le corps inerte du livreur tomba au sol dans un horrible craquement mais tout deux s’en fichaient…

    Ce fut lorsqu’Amycus plongea son regard dans celui de son amante qu’il se rendit compte à cet instant qu’il aurait pu la perdre… Le sortilège envoyé par Dimitri aurait pu être l’Avada ! N’y avait-elle donc pas pensé ? Pourquoi s’être mis en danger de la sorte ?
    Une étrange colère envahit alors Amycus… Elle était un mélange de peur, d’angoisse et de soulagement. Il attrapa la jeune femme par les épaules…


    - Pourquoi tu t’es interposée ? Est-ce que tu rends compte qu’il aurait pu te blesser plus que ça ou pire… te tuer ? demanda-t-il d’un ton plus ferme qu’il ne l’aurait voulu. Je ne veux pas que ça arrive… Qu’est-ce que je deviendrais sans toi ? ... Pourquoi tu ne veux pas comprendre que je ne suis pas accro… Pourquoi tu ne vois pas que c’est plus que ça et que je suis en réalité amoureux de toi ?

    Sur le coup ses propres paroles le firent taire et il regarda Krystel étonné par ce qu’il venait de lui avouer inconsciemment et qui était portant si vrai. Il avait pensé qu’il serait préférable que Krystel ne sache pas ce qu’il ressentait pour elle mais il lui avait dit involontairement… Il lui avait tout avoué en se rendant compte qu’il avait failli la perdre !
    Bien sûr il aurait pu faire marche arrière mais il lui mentirait en prétendant à présent que c’était faux et il avait décidé de ne plus lui mentir ! Son regard toujours ancré dans celui de Krystel, le jeune homme voulu rajouter quelque chose mais en fut incapable… Il avait une seule peut à présent, que ses révélations fassent fuir la jeune femme ! Cette jeune femme si libre…
Mangemort↯ Moi, future maman ? Mon corps va être déformé !
Krystel Raybrandt



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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMer 24 Sep - 15:55

    Sans savoir pourquoi, j’avais pris la place d’Amycus, et ainsi permettre au sort de Dimitri de me toucher moi et non lui. Cela avait été comme quelque chose d’innée en fait en moi. Quoi qu’il puisse arriver, je ne voulais pas qu’il soit blessé. Je préférais encore me sacrifier pour cela. Pour la première fois de ma vie, je faisais quelque chose pour quelqu’un d’autre, pour protéger une autre personne que moi.

    Je ne savais pas quel sort il avait laissé quand j’avais plongé, pour pousser mon amant. Cela aurait pu très bien être un avada. Mais cela n’aurait rien changé en fait. Je préférais le savoir lui en vie, et non moi plutôt que le contraire. Comment cela se faisait-il ? Je n’en savais rien. Ma colère contre mon livreur n’était pas du au fait qu’il m’est traité comme si j’étais un objet dans ses paroles, mais du au fait qu’il avait osé lever sa baguette sur mon amant.

    Plus rien d’autre ne comptait mise à part ça, même pas la sensation que l’on enfonçait des coups de couteau dans mon corps. J’avais mal, très mal oui, mais je n’y faisais guère attention. Ma haine était trop grande, et plutôt plus forte que son minable maléfice. Sans m’en rendre compte, ma marque des ténèbres était devenue d’un noir intense, comme si elle réagissait à la folie diabolique qui prenait possession de chacun de mes membres.

    Sans plier sous la douleur, je m’approchais de Dimitri, qui avait de plus en plus peur. Cela se lisait sur son visage. On pouvait voir combien il avait les chocottes en face de moi. Il prenait enfin conscience à qui il avait affaire, mais c’était trop tard pour lui. Il avait franchi la ligne qui le conduirait à sa mort et son point de non retour. S’en était fini de son existence minable.

    Il allait payer l’affront de ses actes. J’étais une nouvelle fois devenue la mort, plus forte qu’aucun sortilège. Ma voix résonna dans le hall, comme si elle venait des profondeurs des ténèbres. Mes yeux ne cillèrent pas un seul instant quand je parlais. Je venais de lui annoncer le moment de sa mort, et qu’il allait connaître mille et une souffrance avant d’y succomber.

    Un dernier pas, et je pris sa baguette dans mes mains, la retournant contre lui. Lui lançant un sort mineur de lévitation, ma victime semblait un instant soulagé, jusqu’à ce qu’elle se voit se rapprocher dangereusement et très rapidement vers le mur. Un cri de peur, un bruit sourd et de craquement, suivit très vite d’un hurlement de douleur. Il se mit à me supplier mais en vain.

    Ma folie avait de nouveau pris le pas, et il fallait que je l’assouvisse pour mon plus grand plaisir. Envoyant de nouveau son pauvre corps violement contre la paroi froide en pierre, il se fit de plus en plus bruyant tandis que son sang se mit à couler sur ma peau et sur mon drap, l’imbibant de sa couleur rouge. Sans m’arrêtait, je continuais à le faire souffrir. La faucheuse arriva bien vite prendre ma victime, sans pour autant que je m’en aperçois.

    Ma haine était encore trop présente en moi, et me rendait quelque peu déconnecté de la réalité. Une seule chose résonnait en boucle dans ma tête : ‘il devait payer, il devait payer, il devait payer…’ C’est pourquoi je n’avais même pas fait attention au nouveau silence dans la pièce. Je faisais toujours se fracasser le corps du jeune livreur contre le mur, encore et encore et encore…

    Ce ne fut que quand Amycus s’approcha de moi doucement, pour me faire baisser ma baguette que je repris enfin conscience des choses. Dimitri s’écrasa sur le sol violement, pour la dernière fois, raide mort depuis plusieurs minutes déjà. Regardant mon mangemort, je ne mis à ciller des yeux, comprenant ce qui s’était passée, ou plutôt le meurtre que je venais de nouveau faire.

    Voyant mon reflet un instant dans un des miroirs du hall, je vis alors que j’étais recouverte de sang, non pas du mien, mais de celui qui m’avait apporté ma robe. On aurait pu croire que j’allais tout de suite m’ôter cela, mais pas du tout. Je me mis à étaler ce dernier avec mes doigts, avant de me mettre à le lécher… Le bon goût du sang frais… Hum, j’adorais cela… Cependant, j’arrêtais bien vite, me tournant vers mon amant

    Mon cœur se remit à s’accélérait, par le simple fait qu’il soit là à côté de moi. J’avais un peu zapper l’épisode ‘Anna’, trop soulagée de voir qu’il n’avait rien. Il n’était pas blessé, c’était le plus important. Je me rendais compte aussi de la douleur encore un peu présente dans chacun de mes membres, du au doloris contre lequel j’avais lutté. Une brûlure aussi m’envahis mon avant bras tatoué mais cette dernière était très douce en fait.

    Je sentais douleur mais cette fois, cela venait du maître de maison. M’attrapant par les épaules, il commença à s’énerver contre moi, sans que je comprenne pourquoi. Que lui arrivait-il ? J’avais fais quelque chose de mal ? Pourtant non. Je n’étais contentée de débarrasser le monde d’une vermine, et notre seigneur n’en serait qu’heureux... La réponse arriva bien vite, comme le sortilège de souffrance qui m’avait envahit.

    Il fallut quelques minutes pour que je réalise ce qu’il venait de dire. Au début, il expliqua sa colère par le fait que je me sois interposée, entre lui et le maléfice impardonnable. Me demandant si je me rendais compte que cela aurait pu me blesser ou même me tuer, il continua, sur un ton des plus ferme. On aurait dit que les mots sortaient de sa bouche, sans qu’il ne s’en rende compte ni ne les contrôle.

    Me disant qu’il ne voulait pas que cela arrive, et me demandant ce qu’il ferait sans moi, c’est après cela qu’il le prononça… Je n’avais pu m’empêcher de reculer d’un pas, sous le choc. Pourquoi avait-il fait cela ? Pourquoi ne s’était-il pas arrêté à cet instant précis ? Ce n’était pas le genre de chose que je voulais entendre… Il venait de m’avouer qu’il n’était pas simplement accro à moi comme il me le disait, mais qu’il était amoureux de moi…

    Il avait tourné cela sous forme de question, me demandant pourquoi je ne le l’avais pas remarqué plus tôt. Non c’était un blague c’est ça, j’avais mal entendu… Oui ce devait être cela… Mais je devais bien me rendre à l’évidence. Comme je l’avais déjà dis, les yeux ne trompent pas. Refaisant de nouveau un pas en arrière, mon regard était perdu... Pourquoi avait-il dit cela ?

    Je pensais qu’il me connaissait pourtant. Je ne croyais pas en cela, et l’impression que j’avais, c’était qu’il m’avait de nouveau confondue avec ‘son ange’, celle qui étai si important à ses yeux. Pourquoi me faisait-il cela ? Pourquoi ? Qu’avais-je fais pour mériter cela ? Et si… Et si c’était réellement de moi qu’il parlait ? Et non pas d’elle ? Non impossible… Je ne croyais pas en cela, et jamais je « n’aimerais » comme lui le pouvait. Il le savait !

    J’étais une machine à tuer, rien de plus, dénuée du moindre sentiment. Mais en même temps je ne pouvais pas nier que je ressentais quelque chose, quelque chose de fort pour Amycus. C’était sans doute cela qui me fit revenir sans que je m’en rendre réellement compte vers lui. Que devais-je faire ? Après tout, en me disant cela, il venait de me faire clairement comprendre qu’il voulait que j’abandonne ma vie quelque peu de débauche, que je renonce à mes jeux habituels.

    En étais-je capable ? Et le voulais-je vraiment ? Avais-je envie de changer du tout au tout pour lui ? Oui, je tenais à lui, oui j’avais peur de le perdre, mais cela était-il plus important que tout ce qui avait fait de moi la personne que j’étais ? Je n’avais pas pu résister à jouet avec le livreur qui gisait à présent pas loin de nous. Je n’étais plus intéressée par le fait de coucher avec d’autre, mais plus de vouloir les faire souffrir.

    Il ne fallait pas oublier Anna dans l’équation. A la dernière nouvelle, c’était elle qu’il aimait, et moi, je n’étais juste qu’une amante parmi t’en d’autre. Enfin, c’était ce que j’avais cru jusqu’à il y a quelques minutes. Car ne savant pas quoi répondre, j’avais gardé le silence, mon regard dans le vague, et complètement perdu. Je n’arrêtais pas de me répéter ‘pourquoi avait-il dit cela ?’



    - Je… J’ai…


    Ce ne fut que les seuls mots que j’arrivais à articuler. Je ne comprenais plus rien à ce qu’il se passait. Tout se chamboulait, et pas dans le bon sens j’avais l’impression. Pourquoi avait-il compliqué un peu plus la situation ? Je me mis alors à penser quelque chose, qui venait à peine d’envahir mon esprit… Je prenais cela comme un grand malheur, alors qu’au fond, il n’avait été que sincère avec moi. Et j’aurais du me réjouir de cela. Mais je n’y arrivais pas… Quelque chose ou plutôt quelqu’un, en plus de mon passé, m’empêcher de le faire.


    - Tu… Non... Tu te trompes Amycus… C’est Anna, pas moi… Je… Je ne crois pas en cela… Tu le sais… Je suis désolée… Mais je ne pourrais jamais te dire ce que tu veux entendre… Je ne suis pas elle… Et je ne la remplacerais jamais… J’aurais pas du… J’aurais pas du revenir et te laisser avec elle…


    Mon ton était tremblant, et peu sûre de lui. Je n’arrivais pas à me dire que c’était à moi qu’il disait cela, et qu’il le pensait vraiment. Peut-être que je me servais de l’excuse ‘Anna’ pour ne pas m’avouer à moi-même qu’au fond peut-être que moi aussi je ressentais cela, que peut-être ce que je n’arrivais pas à identifier, c’était tout simplement un sentiment ‘d’amour’. Je n’avais jamais cru en cela, car je ne l’avais jamais ressenti, ni su ce que c’était en fait…

    Mais j’étais trop sous le choc pour m’en apercevoir, et m’en rendre conscience. Sans même le regarder, je fermais mes yeux, laissant quelques larmes couler de ses derniers. Je devais le laisser avec celle qu’il aimait, et ne plus venir le gêner. Et même s’il le trouvait encore à mes côtés, je ne pouvais empêcher cette lame qui tailladait ma poitrine, à la simple idée de le quitter. Je n'étais pas même arrivée à faire un pas, tellement c'était dur...
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeJeu 25 Sep - 6:19

    A chaque seconde qui passait Amycus se remémorait le réveil surprise que son amante lui avait fait… Elle était de nouveau revenue au Royaume Uni et ne l’avait pas prévenu pour ensuite le surprendre dans son sommeil ! Les retrouvailles entre les deux jeunes gens avaient été étrangement tendres, tout en étant aussi passionnées. Et c’est sûrement ce détail ainsi que le manque qu’il avait ressenti en son absence qui avaient fait prendre conscience à Amycus de l’amour qu’il portait à son amante….

    Car c’était bel et bien ce sentiment là qu’il ressentait pour la sublime française ! Il avait beau essayé de se dire que c’était autre chose, au fond de lui il savait qu’il se mentait en pensant de cette façon… Il avait déjà connu ce sentiment et même si il n’était pas exactement le même, il savait qu’il ne pouvait pas s’agir que d’un simple désir et d’une passion ! C’était plus que ça !

    Cependant, le mangemort avait choisi de se taire quant au sujet de ce qu’il ressentait ! Krystel et lui s’étaient fixé des règles… Aimant trop leur propre liberté, ils s’étaient fait comprendre qu’ils pourraient aller voir ailleurs si cela leur chantaient, bien sûr Anna avait été mise sur une liste noire par son amante !
    Alors pourquoi aujourd’hui craignait-il que Krystel puisse se faire approcher par un autre homme que lui ? La raison était des plus simples… Il avait peur de la perdre car rien ne l’empêcherait de partir avec un autre !

    Bien sûr, elle lui avait dit qu’elle était à présent de retour, qu’elle ne repartirait pas et cela avait rassuré le jeune homme… Mais tout s’était compliqué au petit matin, après son réveil solitaire ! Son amante n’était plus à ses cotés, Amycus avait demandé à la créature qui lui servait de serviteur si Mademoiselle Raybrandt était toujours là. Bien que la réponse ait été positive, elle ne ravi pas le mangemort qui venait d’apprendre dans le même temps que la jeune femme était en compagnie d’une autre…

    Ensuite, tout s’était passé très vite… Apercevant son amante en train d’embrasser le livreur, Amycus avait envoyé ce dernier contre le mur sous le regard désapprobateur de la française. La vermine s’était révéler être Dimitri, le crevard qui avait agressé Anna et il dévoila le fait que le mangemort et son ex s’étaient revu…
    Après lui avoir jeté un sortilège impardonnable, il expliqua à Krystel que ce n’était pas ce qu’elle croyait ! Qu’elle lui avait réellement manqué et qu’il l’avait bel et bien attendu !

    La nouvelle tristesse qu’il avait vue dans les yeux de son amante avait attristé le jeune homme qui prenait de plus en plus conscience de ce qu’il ressentait pour elle. Mais alors qu’elle semblait sur le point de le croire, Dimitri était de nouveau intervenu, les menaçant de sa baguette.
    Amycus avait fait le choix d’écarter Krystel du danger, s’y exposant lui à la place ! Dimitri avait ensuite demandé au mangemort désarmé de lui laisser son amante avant de l’informé qu’il allait utiliser le sortilège impardonnable contre lui…

    Il avait d’ailleurs levé sa baguette mais Krystel s’était interposée et avait été touchée par le maléfice… Cependant, toute la haine qu’elle ressentait lui avait permis de tenir debout et même de tuer l’insensé qui avait parlé d’elle comme un vulgaire objet ! Mais même après la mort du porteur, la française avait continué envoyé son corps aux quatre coins de la pièce… Ce fut Amycus qui lui fit baisser son arme, ce qui eut pour effet de faire s’écraser au sol le corps sans vie de Dimitri…

    En regardant la jeune femme dans les yeux, Amycus s’était rendu compte qu’il avait failli la perdre… Dimitri aurait pu utiliser n’importe quel sortilège y compris celui de la mort et elle ! Elle s’était interposée sans réfléchir… C’est à ce moment qu’ne étrange colère envahit alors Amycus… Elle était un mélange de peur, d’angoisse et de soulagement. Mais elle fut surtout la cause de son erreur !

    Car en effet, Amycus commit une erreur… Sans même s’en rendre compte il avoua, bien que pas directement, à Krystel qu’il n’était pas accro à elle comme il le prétendait mais qu’en réalité il était amoureux d’elle ! Se rendant compte de se qu’il venait de dire, Amycus fut incapable de rajouter autre chose et un étrange sentiment de peur l’envahit lorsqu’il vit la réaction de son amante…

    En effet, le visage de la jeune femme mêlait surprise et incompréhension mais le pire pour Amycus fut de la voir reculer d’un pas… Il hésita à la retenir mais y renonça dans la seconde qui suivi ! Elle n’était pas comme les autres femmes, elle était libre et indépendante. De telles révélations avaient plus de chance de la faire fuir qu’autre chose et c’était apparemment le cas car elle recula de nouveau d’un pas… Il avait pourtant cru qu’elle ressentait la même chose ! Il n’avait pas pu se tromper à ce point ?

    Amycus s’en voulu… Il était de nouveau en train de la perdre alors qu’il était à présent certain de ce qu’il ressentait ! D’ailleurs cela lui fit encore plus mal de se rendre compte que c’est la sincérité inattendue dont il avait fait preuve qui risquait de lui faire perdre Krystel ! C’était tellement injuste…
    Il lui avait dit la vérité et elle était en train de le fuir… Cette réalité lui coupa le souffle, il avait du mal à respirer et son cœur était comme prit dans un étau invisible…

    Il détourna alors légèrement le regard… Il ne pouvait pas supporter ce regard que son amante posait sur lui, ni même le fait de la voir s’éloigner encore ! Il en serait presque venu a détesté ce sentiment qu’était l’Amour… Il était censé vous apporté de la joie, du bonheur et des moments merveilleux… Alors pourquoi ce n’était pas le cas avec la jeune homme ? Pourquoi ce sentiment n’apportait-il à Amycus que de la tristesse et de la souffrance ?

    Cependant, il vint à penser qu’il ferait tout pour la garder… Il ne voulait vraiment pas la perdre et si pour cela il devait accepter qu’elle s’amuse et aille avec d’autres hommes, Amycus l’accepterait ! Il préférait encore ça à ne plus jamais l’avoir à ses cotés…

    Après quelques minutes, il posa de nouveau son regard sur sa déesse… Elle s’était de nouveau rapprochée de lui. Avait-elle compris qu’il n’avait pas dit tout ça pour la faire fuir ? Qu’au contraire il voulait qu’elle reste près de lui ? Mais il regarda que le regard de la jeune femme était ailleurs, comme si elle réfléchissait ou plutôt essayait de comprendre ! Elle commença à parler mais s’arrêta au bout de deux mots…

    Amycus quant à lui fut incapable de faire le moindre mouvement ! Il se contenta d’observer la sublime jeune femme avec toujours cette peur grandissante qu’elle s’en aille pour de bon et à cause de lui… Il remarqua aussi à cet instant le sang qui couvrait le corps parfait de sa déesse et qui n’était pas le sien ! Elle avait de nouveau tué… mais tué pour le protéger lui ! N’était-ce pas une preuve d’amour ? Il n’en savait rien ou du moins, il ne savait plus !

    Krystel prit alors la parole d’une voix légèrement tremblante… Elle dit à Amycus qu’il se trompait, que ce n’était pas elle mais Anna ! Mais non… Il ne se trompait pas, il était sûr de ce qu’il ressentait ! Elle continua en disant qu’elle ne croyait pas en cela et qu’elle était désolée car elle ne pourrait jamais lui dire ce qu’il voulait entendre… Elle précisa qu’elle n’était pas elle, qu’elle ne la remplacerait jamais et qu’elle n’aurait pas du revenir pour le laisser avec Anna…

    Non… Elle ne devait pas dire ça ! Il savait qu’elle n’était pas Anna et ne cherchait pas à faire en sorte qu’elle la remplace… Et il était sûr que son amante ressentait quelque chose pour lui… elle l’avait protégé, sauvé ! Et puis penser le contraire lui était beaucoup trop douloureux !
    Mais en attendant, il devait réagir, faire en sorte qu’elle ne le laisse pas… Son regard était emplit d’une tristesse et d’un certain désespoir. Le désespoir de ne pas savoir quoi dire, quoi faire… et les larmes de la jeune femme n’arrangèrent rien !


    - Krystel… murmura-t-il. Je… Non ! Je ne me trompe pas. Je suis certain de ce que je ressens et je sais que tu n’es pas elle… Je… Je ne veux pas que tu la remplace ! Je voudrais juste que tu reste avec moi… Je ne pourrais pas supporter de te voir partir encore…

    Tout en parlant, il s’était approché de son amante avec un seul désir ! Celui de l’enlacer et de gouter une nouvelle fois à ses lèvres mais il ne fit rien… Doucement, il se contenta d’essuyer les larmes qui glissaient le long du visage de sa déesse. Détournant ensuite légèrement le regard et reprit doucement…

    - Avec tout ce qui s’est passé depuis ton retour j’ai… j’ai cru que toi aussi tu ressentais la même chose, murmura-t-il. Un sourire triste apparu sur le visage du jeune homme à cette pensée. Il plongea alors son regard dans celui de la jeune femme… et reprit d’une voix qui laissait devinée à quel point il souffrait… Mais Krystel… Tu es revenue, tu ne… tu ne supportes pas l’idée que j’ai pu revoir Anna et tu m’as protégé… tu m’as protégé en mettant ta propre vie en danger ! Je connais un seul sentiment capable de nous faire agir de cette façon… Mais si pour toi c’est pas de… Si c’est pas de l’amour, dis-moi ce que c’est ! J’ai besoin de savoir… J’ai besoin que tu me prouve que je me suis trompé concernant tes sentiments pour moi…!
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Krystel Raybrandt



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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeJeu 25 Sep - 8:45

    Amycus se trompait, il n’y avait aucune autre raison sinon… Oui c’était ça. Il avait prit un mauvais coup quand je l’avais poussé, et par ce fait, il n’avait dit cela. Ce n’était pas vrai, il n’était pas amoureux de moi comme il le disait. Il s’était emmêlé les pinceaux avec ce qu’il ressentait pour Anna, et du coup m’avait dit cela, alors qu’en fait, il ne le pensait pas. Nous mettrons cela sur le coup d’une erreur…

    Je cherchais des excuses ? Oui, c’était vrai. Je ne pouvais pas ‘assumer’ ce qu’il m’avait avoué. Cela impliquait trop de choses, des choses trop grandes et dures pour moi. Je n’étais pas une femme comme les autres, il ne fallait pas l’oublier. Je n’étais pas du genre à être romantique, ou sentimentale. Je ressemblais plus à la mort qu’autre chose. Alors me parler d’amour…

    C’était une notion dans laquelle je ne croyais pas, et je ne croirais jamais. Je n’étais pas capable de ressentir quelque chose comme les autres, alors soit disant de ‘l’amour’. Regardez moi bien. Regardez ma vie. J’en vis une de débauche, menée par mes conquêtes, et la souffrance que je peux infliger aux autres. Plus vous êtes plongé dans le malheur, plus je suis heureuse. Il le savait tout cela… Et pourtant, il m’avait dit ces quelques mots qui risquaient de tout gâcher.

    Depuis toujours, je m’étais promise de n’avoir aucune attache, et de ne compter que sur moi. C’était simple, personne ne pouvait me comprendre mieux que moi, et ne me ferait que du mal. Mais j’avais rencontré le serveur. Il m’avait montré que je n’étais pas seule, ouvrant la porte aux souffrances pour moi en même temps. D’ailleurs, c’était lui qui m’avait blessé le premier, et me revoilà pourtant à ses côtés.

    Il y a de cela 11 jours maintenant, j’avais accepté de lui pardonner, pour je ne sais quelle raison. Il m’avait manqué, et j’étais dingue de lui, je ne pouvais pas le nier. Pendant mon voyage, cela m’avait sauté à la figure, comme des pops corn dans une casserole chaude… Je ne pouvais plus le nier que je me sentais attaché à lui. Il me rendait, sans savoir pourquoi, heureuse.

    Nos retrouvailles avaient été très tendres et passionnées. Cependant, malgré tout cela, je restais une femme libre. Je n’avais pas pu m’empêcher de jouet avec mon livreur, et c’était ce qui m’avait conduit jusqu’ici. Mon mangemort n’avait pas apprécié qu’un autre que lui pose ses mains sur moi, et avait tout précipité. Je ne supportais pas la jalousie, tout simplement parce que cela voudrait dire que j’appartiens à quelqu’un. Hors cela c’était faux. Je n’appartenais qu’à moi-même.

    C’est simple en fait. Je suis une femme libre, qui n’aime pas qu’on lui dise quoi faire. Je fais toujours ce que je veux, sans écouter ou suivre des règles établies. Je m’en fiche complètement d’ailleurs. Tout ce qui compte, c’est que je m’amuse et passe du bon temps. Je n’aimais pas me poser plus de questions que cela. Qu’un homme saute du 3ième étage parce que je lui ai dis qu’il était tellement nul au pieu qu’il ferait mieux de devenir eunuque, cela me passe au dessus de la tête.

    Mais voilà, alors qu’avec Amycus, on était tombé d’accord il y a très longtemps, et qu’on vivait quelque chose de beau et fort, car c’était le cas pour moi, il avait tout gâché. Il venait de tout remettre en cause, et ma vie en faisait partie. Je ne savais plus ce que je devais faire. Devais-je l’abandonner alors que je l’apprécie ? Oui, j’avais déjà changé dans le sens où si je jouais avec d’autres, cela ne serait que très furtif, vu que coucher avec eux ne m’intéresse plus.

    Cependant, il en demandait plus par son ‘je suis amoureux de toi’. D’ailleurs, il m’avait même reproché de ne pas m’en être aperçue ! Comment pouvait-il dire cela ? Ce qu’il voulait, c’était beaucoup trop pour moi. Il s’attendait peut-être à ce que je lui dise que je l’aime aussi ? Je lui avais promis d’être sincère avec lui, donc je n’allais pas le faire, car ce serait un mensonge…

    Enfin, c’était ce que je me forçais à croire, car c’était plus simple pour moi. Comment pourrais-je dire en même temps que je ressens la même chose que lui, alors que, cela peut paraître con, mais je ne sais pas ce que c’est. On ne m’a jamais appris ce dernier, et cela fait 18ans que je vis sans. Je n’avais pas eu de mère aimante ou autre. J’avais grandi en apprenant à me méfier de tous, et à ne pas croire de tel mensonge.

    Je n’avais pas pu m’empêcher de reculer face à cela. Il remettait tout en cause, tout ce à quoi je croyais. Pourquoi ne s’était-il pas arrêté, et m’avait-il dit cela ? C’était le genre de parole, que j’aurais souhaité ne jamais entendre. Je n’arrivais pas à me dire que c’est à moi qu’il disait cela. J’avais donc du coup trouvé l’excuse ‘Anna’, me cachant derrière.

    Lui disant qu’il se trompait, et qu’il m’avait confondu, je finis par lui déclarer que je ferais mieux de partir. En fait, c’était une fuite plus qu’autre chose. Mais je ne pus faire le moindre pas. Rien qu’à l’idée de le quitter, j’en étais toute retournée, et avais des larmes qui coulaient de mes joues. J’étais accros à lui, et maintenant que je l’avais retrouvé… Cependant, c’était le plus simple à faire, et sûrement le mieux.

    J’essayais d’avancer, mais c’était comme si mes jambes n’obéissaient pas. J’essayais de me montrer fort, mais mes yeux me contredisaient. Pourquoi mon corps se retournait-il contre moi ? Il fallait pourtant que je fuis ce lieu, et que j’oublis ce qu’il venait de dire. Brisant le nouveau silence, quand mon amant se mit à murmurer mon prénom, j’avais tourné mes prunelles vers lui.

    Me disant qu’il ne se trompait pas, il me certifia qu’il était certain de ce qu’il ressentait, et que ce n’était pas envers son ex. Non il fallait qu’il se taise, qu’il arrête de dire de telles choses. Mais il continua. Il ne voulais pas que je la remplace, mais juste que je reste avec lui, car il ne pourrais pas supporter me voir partir. Pourquoi me disait-il cela ? Ne voyait-il pas que c’était déjà dur pour moi ?

    Il se rapprocha alors de moi. J’eu un instant l’impression qu’il allait m’enlacer mais il n’en fit rien. Se contentant d’essuyer les larmes qui coulaient sur mon visage et que je refoulais un maximum, il finit par regarder dans un autre endroit. Il repris de nouveau la parole, ne se rendant pas compte que j’aurais voulu qu’il n’en fasse rien, et arrête de me parler de cela. Mais non, il continua dans le même sujet.

    Amycus avait cru que je ressentais la même chose avec ce qui s’était passé ? Pourquoi disait-il cela ? Je n’aimais pas ! Je n’aimais pas une de ces femmes qui croyaient en cela. Et il le savait très bien. Alors pourquoi nous torturaient-ils à ce point ? Je ne pu empêcher mon cœur de battre quand je vis son sourire triste. Non, je ne voulais pas qu’il n’aille pas bien. Non je ne voulais pas être la cause de cela !

    Sa voix… Elle me montrait à quel point je l’avais blessé… Mais pourtant, je ne lui avais dis que ce que j’avais sur le cœur…Après une deuxième pause, il reprit encore. Oui j’étais revenue, mais où était le rapport ? Oui je ne supportais pas le fait qu’il l’ai revu Elle, mais je l’avais quand même protégé. Pourquoi ? Je n’en savais rien, cela avait été comme un instinct pour moi.

    En fait, je préférais souffrir pour l’épargner lui. Cela avait commencé à naître pendant les deus semaines que nous avions passés ensemble. Et ça c’était solidifié pendant mon séjour et nos retrouvailles. Il était vrai que j’avais mis ma vie en danger juste pour l’épargner, c’était certain. Il me dit alors qu’il ne connaissait qu’un seul sentiment qui faisait les gens agir ainsi. Non ce n’était pas cela c’était en fait…

    C’était en fait quelque chose que j’ignorais. Je devais bien me l’avouer. Je ne savais pas ce que je ressentais pour lui, la nature de cela. Tout ce qui était sure, c’était que je tenais à lui plus de raison, et que je préférais être la cible de maléfices si cela pouvait le sauver. D’ailleurs, quand Dimitri m’avait touché, je n’étais pas en colère parce qu’il m’avait lancé un doloris, mais parce qu’il avait voulu le faire à Amycus…


    - Ce… Non… C’est… Pas ce que tu crois… C’est juste que… Je ne peux pas… C’est impossible… Et tu le sais… J’aime ma vie… Je veux pas la changer… Je tiens à toi, tu le sais… Quand je t’ai dis que tu m’as manqué, c’était vrai… Pour Dimitri… Je sais pas ce qui m’a pris… Un coup de folie sûrement… J’ai pas réfléchi… Je ne peux pas ‘aimer’ comme tu l’entends… Désolée… C’est impossible comprends-tu ?


    Ma voix avait été tremblante, essayant d’être confiante, mais en vain. J’essayais par toux les moyens de me convaincre du contraire, que ce n’était pas de l’amour que je ressentais pour lui. Pourtant, comme il l’avait si bien remarqué, il n’y avait qu’une explication au fait que j’avais été prête à me sacrifier pour lui. Et puis, je sentais que quelque chose de fort me liait à lui, une chose qui avait grandit au fur et à mesure des jours. M’approchant de lui, j’avais posé ma main sur sa joue. Je ne voulais pas qu’il soit triste, c’était insupportable pour moi.


    - Ecoute Amycus… Oui, je suis attachée à toi… De manière que je n’arrive pas à qualifier… Cela ne fait aucun doute… Tu es tout le temps présent dans mes pensées… Quand j’ai vu qu’il levait sa baguette vers toi… J’ai cru devenir folle… Je m’en fichais d’être touchée… Du moment que tu n’avais rien… Mais… Je ne crois pas en l’amour… Et je ne veux pas abandonner mon existence et mes jeux… Tu comprends, je n’ai toujours eu que cela… Je vois bien que tu aimerais que je la laisse... Je vois bien que cela te rend malheureux... Je ne veux pas cela... Mais... Je suis incapable de tout laisser tomber...


    Je lui avais ouvert une nouvelle fois mon cœur, au risque de souffrir de nouveau. Je lui avais dis ce que je ressentais, et mes doutes, mes peurs aussi. Car oui, j’avais peur. J’avais peur d’abandonner tout ce que j’avais connu, juste pour lui. J’avais peur de de nouveau me sentir si mal, au point de vouloir en mourir. J’avais peur qu’il ne me fasse goûter à quelque chose avant de s’apercevoir qu’en fait il s’était trompé. J’avais peur qu’il me fasse croire à quelque chose que je crois pas, avant de me laisser toute seule…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeJeu 25 Sep - 17:19

    Pourquoi tout semblait si compliqué au jeune homme ? Pourquoi avait-il fallu qu’il change sans même sans apercevoir ? Il avait toujours aimé son ancienne vie… Celle qui n’était faite d’aucune question, d’aucune angoisse ! Celle où il était un dragueur égoïste qui se fichait éperdument de la souffrance qu’il infligeait aux autres… Il s’en voulait d’avoir été aussi faible… De s’être laissé avoir dans le tourbillon infernal de la conscience, la morale mais aussi celui de l’amour…

    Ce sentiment soit disant si magnifique… Il l’avait connu ! Son Ange lui avait appris ce qu’il représentait et il s’était surpris à aimer ça… Il avait adoré être heureux, serein et tous ces moments si simples qu’il avait passé avec Anna. Et il avait eu la folie que cela pourrait être durable mais il s’était trompé ! L’amour est traite et la souffrance qu’il vous inflige peut devenir pire que le bonheur qu’il vous à procurer !

    La véritable souffrance avait été de devoir quitter celle qui l’avait changé pour sa sécurité tout en sachant qu’il lui ferait du mal autant qu’il s’en infligeait à lui… Mais il n’y avait pas d’autre solution et sa raison l’avait conduit vers Krystel. Son amante était comme lui… Elle était libre, sombre et haïssait les règles. Il savait qu’elle le comprenait, qu’elle ne le trahirait pas et surtout qu’à ses cotés il ne souffrirait plus…

    Mais la vie est cruelle… Amycus aurait du le savoir ! Sans s’en rendre compte chaque instant, chaque seconde qu’il passait auprès de son amante avaient transformés les sentiments qu’il éprouvait pour elle ! Bien sûr il y avait toujours cette même passion et ce désir incessant mais autre chose s’était immiscer dans le cœur du jeune homme… Il n’avait pas su ce que c’était au départ ou bien avait-il fait exprès de se mentir à lui-même !

    Cela étant, le retour de la française lui avait ouvert les yeux… Il avait beau se torturer l’esprit en prétendant que ce n’était pas ça, qu’il devait se tromper… Ce n’était que pure invention ! Il était bel et bien retombé dans le piège de ce vil sentiment ! Il était amoureux de Krystel… Cependant, il ne fallait pas qu’elle le sache ! Il savait qu’elle aimait sa vie et ses jeux avec les hommes. Apprendre ce que son amant ressentait réellement pour elle la ferait fuir.

    Amycus avait donc décidé de lui cacher ce qu’il ressentait en sachant très bien que cela lui serait difficile à cause de sa jalousie… Jalousie qui était en réalité la peur de la perdre. Mais il devrait tout de même lui dissimuler ses sentiments pour ne pas la perdre…
    Ces résolutions avaient été faites au petit matin… Il n’avait donc pas eu le temps de se préparer au cas qui s’était présenté à lui lorsqu’il était arrivé dans le hall de son manoir… Il lui avait été impossible de cacher cette colère mêlée à une douleur immense de voir son amante embrasser un autre…

    A cet instant il aurait pu rétablir les choses, prétendre qu’elle n’avait pas à faire ça chez lui mais qu’elle était libre de faire comme bon lui semblait ailleurs… Mais les choses avaient été différentes. Le livreur avait eu l’audace de menacer Amycus et Krystel s’était interposée entre lui et le sort avant d’en tuer l’auteur !
    Voilà ce qui avait tout déclenché… Au moment où il s’était rendu compte qu’elle aurait pu mourir à cause de lui l’avait effrayé et l’avait poussé à parler… Les paroles qu’il avait prononcé, il aurait voulu ne les avoir jamais dites !

    Elles n’étaient pas fausses mais elles avaient tout gâché ! La réaction de son amante, le moindre des ses gestes ou regards prouvaient au mangemort qu’il aurait du se maîtriser ! Mais alors pourquoi avait-il continué sur cette même pente glissante ? Lui disant qu’il était sûr de lui, qu’il ne voulait pas qu’elle remplace Anna mais qu’elle reste à ses cotés ?!
    C’était sûrement la tristesse, la souffrance mais aussi la peur de la perdre qui faisait qu’il avait tenté de lui expliquer… cherchant même à lui prouver qu’elle l’aimait aussi puisqu’elle l’avait sauvé…

    Mais ce qu’il faisait était sûrement pire… Il aurait du se rendre compte qu’il ne faisait qu’empirer les choses en parlant ainsi… Il aurait du ce souvenir à quel point Krystel était unique ! C’était d’ailleurs ce qui lui avait plu et ce qui lui plaisait encore chez elle…
    Et toutes les explications qu’il lui donnait auraient rassurées n’importe quelles autres romantiques de nanas… Mais Krystel était différente ! De tels propos ne pouvaient que la faire fuir et il le comprit lorsqu’elle reprit la parole !

    Sa voix n’était pas sûre mais cela ne changeait rien au fait qu’il avait sûrement gâché ce qu’il y avait entre eux… Son amante lui dit que ce n’était pas ce qu’il croyait… Qu’elle aimait sa vie et qu’elle ne voulait pas la changer. Mais elle tenait à lui et il lui avait vraiment manqué… Elle expliqua qu’elle ne savait pas pourquoi elle avait agit avec Dimitri, qu’elle n’avait pas réfléchi !
    Ce qu’elle lui avoua ensuite lui fit encore plus de mal… Elle ne pouvait pas l’aimer comme il l’entendait, qu’elle était désolée et termina sous forme de question comme quoi cela était impossible…

    Bien sûr, il comprenait ! Il avait toujours su qu’elle aimait sa vie, son indépendance et sur ses jeux avec les hommes. C’est pourquoi il avait voulu lui cacher ce qu’il ressentait mais le fait qu’elle le lui dise clairement le fit souffrir plus qu’il ne l’aurait pensé… Son cœur était une douleur à lui seule ! Une douleur telle qu’il aurait préféré subir un millier de Doloris pour que tout ça cesse enfin ! Qu’il ne ressente plus rien…
    Et les paroles que prononçait Krystel ne l’aidaient pas… Au contraire, elles lui donnaient l’impression de la perdre encore un peu plus ! Il fallait qu’elle arrête de parler.


    - Krystel… Je peux…

    Il allait lui mentir en lui disant qu’il comprenait mais le geste qu’elle fit à son égard lui fit plus de mal que de bien… Son amante venait de poser sa main sur la joue du jeune homme qui recula. Il ne voulait pas de sa pitié, il voulait simplement être sûre qu’elle resterait à ses cotés… Et même si pour cela il devait lui mentir en lui disant que la vie qu’elle menait ne le dérangeait pas… qu’elle pouvait faire ce qu’il lui plaisait ! Si c’était le prix à payer pour ne pas la perdre, il accepterait…

    Mais après son mouvement de recul, Krystel continua à parler… Ses premières paroles estompèrent légèrement l’angoisse et la peur que le mangemort ressentait depuis le début de cette conversation. Elle lui avoua qu’elle était attachée à lui même si elle n’arrivait pas à définir exactement ce qu’elle ressentait ; cela ne faisait aucun doute qu’il était dans toutes ses pensées et qu’elle avait eu peur qu’il lui arrive quelque chose… Allait-elle se rendre que cela ne pouvait être que de l’amour ?

    Non… Malheureusement non ! Elle rajouta qu’elle ne croyait pas en l’amour, qu’elle ne voulait pas abandonner son existence et ses jeux car elle n’avait toujours eu que cela. Elle précisa qu’elle se doutait qu’il aurait aimé qu’elle change de vie car celle-ci le rendait malheureux, chose qu’elle ne voulait pas mais… car il y a toujours un ‘‘mais’’… elle était incapable de tout laisser tomber…

    Amycus baissa les yeux… priant pour que tout cela cesse ! Elle venait de lui dire, en parlant de son existence et de ses jeux, qu’elle n’avait que ça ! Et à cet instant il aurait voulu lui dire que c’était faux… Que maintenant elle l’avait lui et qu’il ne l’abandonnerait pas. Mais il ne dit rien ! Il ne voulait pas la perdre encore plus que maintenant…

    Il ferma alors les yeux et passa ses mains sur son visage comme on le fait pour oublier un horrible cauchemar mais ça ne marcha pas… La situation qu’il vivait, aussi dantesque soit-elle, était bel et bien réelle. Et à présent il avait le choix entre lui dire qu’il ne pourrait pas continuer avec elle si elle ne changeait pas ou bien lui demander de rester malgré tout… A cet instant, il plongea de nouveau son regard dans celui de sa déesse…

    Il comprit alors qu’il lui serait véritablement impossible de la voir s’en aller… Il avait besoin d’elle et ferait tout pour la garder à ses cotés. Aucun sacrifice ne serait trop cher payé pour être sûr qu’elle ne le délaisserait pas…
    Amycus fit alors un pas en direction de son amante, se retrouvant ainsi tout près d’elle… Avec le même sourire qu’il avait eu un peu plus tôt, il effleura les cheveux de la française puis son épaule dénudée…


    - Je tiens à toi tu sais… et je ne veux vraiment pas te perdre ! dit-il dans un doux murmure. Mais sache que je ne te demanderais jamais de changer de vie pour moi… Je n’ai en aucun cas le droit de te dire ce que tu dois ou ne dois pas faire !

    Ne tenant plus, il enlaça la jeune femme… Alors qu’il souffrait tant, ce simple contact apaisa cette douleur qui l’avait envahi jusque là… Il ferma les yeux et murmura à l’oreille de la brune.

    - Mais s’il te plaît, ne me laisse pas ! Reste à mes cotés…
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeJeu 25 Sep - 22:18

    Nous n’aurions pas du tous deux parler autant. Pourquoi n’avions nous arrêté plus tôt ? Cela nous aurait bien épargné la souffrance que nous ressentions en cet instant. Et cela à cause d’une chose, d’une simple chose que je m’évertuais à nier : L’amour. Sentiment qui était une invention de personnes faibles pour se rassuraient, et moins se sentir seul. Sentiment auquel je n’ai jamais cru… Depuis le début de ma vie, on ne m’avait jamais montré cela, me disant qu’il ne s’agissait que de faiblesses et non de réalité.

    Bercée dans la haine et la souffrance, mon cœur était devenu froid dans de la glace, meurtri pour toujours. Quand vous vous aviez connu de la tendresse, moi j’avais eu de la brutalité. Quand vous vous aviez connu de la l’affection, moi j’avais eu que de la haine. Quand vous on vous avait apprit à prendre confiance en vous, moi on me rabaissait à longueur de journée. On m’avait éduqué dans l’optique que je devienne une femme sans sentiments, n’appréciant que le malheur et la souffrance des autres, et c’était ce que j’étais.

    Alors quand on me parle d’amour, cela ne m’intéresse pas. Si vous vous recherchez cela, moi je le fuis, ne voulant jamais y croire, et faisant tout pour que cela ne m’atteigne jamais. Je ne voulais pas être une personne faible et me faire marcher sur les pieds. Je ne voulais pas non plus qu’on se serve de cela pour me manipuler. Car après tout, j’étais la première à le faire aux autres et je voyais tout ce que l’on pouvait faire d’un tel pouvoir.

    Et puis, vu que je n’y croyais pas, cela réglait les choses de façon définitive. Mais cela venait d’être bouleversé par un homme. Il venait de remettre toutes mes pensées, tout mon fonctionnement en question. En une seule misérable et petite phrase, il nous avait mené au stade auquel nous étions : blessé, et voulant oublier cela. Cependant, c’était trop tard et on ne pouvait pas revenir en arrière.

    Si je ne serais doutée une seule seconde de tout cela… Je serais dans ses bras à mon réveil. Je n’aurais pas fait livrer ma robe la plus sexy pour lui. Je n’aurais pas nargué et jouer sur mes charmes pour jouer avec le livreur. Je ne l’aurais pas laissé m’embrasser. Amycus ne serait pas intervenu, et je ne me serais pas interposée entre lui et un sortilège qui aurait pu m’être fatal. Il ne m’aurait pas dit ce qu’il avait sur le cœur…

    Mais en même temps, j’aurais continué à croire que je n’étais pas importante pour lui, et j’aurais été toujours quelque peu malheureuse de cela. Je serais également restée dans ma peur qu’il retourne avec Anna, et ne me laisse seule. Je savais au fond de moi que nous éprouvions les mêmes sentiments l’un et l’autre. Il avait essayé de me protéger en écartant, comme moi je l’avais fait en le bousculant et en étant la victime du doloris à sa place.

    Cela était trop dur en fait de l’admettre. Il faudrait que je remette en question tout mon fonctionnement, toute ma vie. Si je commençais à croire à quelque chose que j’avais si souviens rabaissé… Je devrais changer du tout au tout, arrêtant de faire ce que je voulais, quand je voulais, sans me préoccuper de personne d’autre que moi-même. Je devais laisser mon égoïsme de côté, et faire un peu de place dans ma vie au serveur.

    Poussée par mes peurs, car il s’agissait réellement que de cela, je lui avais dis qu’il se trompait et que cela était impossible. Ne voyant pas combien mes paroles pouvaient le blesser, je lui affirmais que j’aimais ma vie, que je ne voulais pas la changer et que je ne pourrais jamais l’aimer, qu’il devait le comprendre. Au fond je ressentais une angoisse de me lancer dans quelque chose que je ne connaissais. Je ne voulais pas quitter mon existence, car je n’avais toujours connu que cela.

    Je lis la tristesse et la souffrance qui prenait peu à peu possession de lui, et cela me fit énormément de mal. Je m’étais rapprochée de lui, et avait posé ma main sur sa joue, au moment où il commença à faire une phrase, sans la finir. Mais il fit un pas en arrière, comme s’il ne supportait pas mon geste, comme si cela ne pouvait rien lui apporter de bien. N’osant plus rien faire, je fus un peu pétrifiée de peur de le perdre. Cependant, je continuais à parler, poussait par mon angoisse de perdre ma vie.

    Je lui dis combien je tenais à lui, pour finir par lui dire que même si je voyais qu’il souffrait, je ne laisserais pas tomber mon existence, que je n’avais que cela. Comment avais-je pu prononcer cela ? A peine je venais de finir que je me m’y à regretter. J’aurais du me taire. Je n’aurais pas du. Une nouvelle fois je ressentis un pincement au cœur, en voyant la réaction d’Amycus.

    Un instant je voulus faire un pas vers lui, ou dire quelque chose. J’ouvris la bouche, mais pour la refermer aussitôt. Que pouvais-je de toute façon rajouter ? Je n’arrivais à trouver quelque chose. Je savais très bien ce que j’aurais du faire, mais cela était trop dur. Et pourtant… J’avais déjà fais le plus gros. Je ne savais pas ce qui me poussait à vouloir continuer de jouer avec d’autre, alors que je n’en désirais qu’un seul. Peut-être parce que je craignais qu’il ne retourne vers celle qu’il aimait plus que tout ? Qu’il retourne vers Anna, en s’apercevant que je n’avais rien à lui apporter

    Je n’étais une de ses femmes aimantes et douces à souhait. Je n’étais pas du genre à fêter un évènement avec son amant. Je n’étais pas le genre à vouloir t’attache. Je n’étais pas du genre à être romantique, loin de là. J’étais le genre de femme solitaire, qui ne comptait que sur sois même. J’étais le genre de femme libre et au dessous de toutes règles. J’étais le genre de femme qui était indomptable à jamais.

    Je suis en gros tout le contraire de la serpentard avec qui il était avant. Elle était le jour, moi la nuit. Elle était la lumière, moi les ténèbres. Je n’avais rien à apporter au serveur, rien du tout. Il se lasserait d’ailleurs bien vite de moi, s’apercevant que je ne suis pas aussi ‘bien’ que cela. Tous l’avait fait avant lui, alors pourquoi cela allait-il changer ? Parce qu’il était lui aussi différent de tous les autres hommes ?

    Après avoir plongé son visage dans ses mains, il reposa son regard sur le mien. Je ne pouvais m’empêcher de me sentir si mal. Pas par rapport à moi, mais par rapport à lui. Encore une fois, je pensais d’abord à lui et après à moi. Encore une fois je me fichais totalement de ce qu’il pouvait m’arriver, mais pas de lui. Lui, je voulais qu’il aille bien qu’il soit heureux, et que je ne sois pas la cause de son malheur, que je ne le blesse plus comme je venais de le faire.

    Il fit alors un pas vers moi, se retrouvant très prêt de moi. Je ne bougeais pas pour autant ayant peur de faire encore quelque chose de mal. Quand il me sourit, mon cœur se réchauffa. Quand il m’effleura les cheveux, puis mon épaule, je fermais mes yeux, ne pouvant m’en empêcher. Quand il me parla, je les rouvris pour l’écouter avec attention, le savant le plus sincère du monde, et me doutant à chacun de ses mots ce que cela lui en coûter.

    Il était prêt à me laisser continuer ma vie. Tout cela parce qu’il redouter de me perdre. Il était prêt à me voir avec d’autre, juste que je reste sienne quand nous serions ensembles. Il ne voulait par me dire ce que j’avais à faire, sachant très bien qui j’étais au fond de moi, et que je ne le supporterais pas. Il était prêt à se ‘sacrifier’, et à souffrir pour que je reste avec lui. M’enlaçant, il me demanda alors de ne pas le laisser.

    Comment pouvait-il penser cela ? Même si je l’aurais souhaité, ce qui n’était pas le cas, je ne pouvais pas le laisser. J’étais trop accrochée à lui, trop ‘amoureuse’ ?? Je ne savais pas, ni ne voulais savoir peut-être ? Cependant, il fallait que j’arrête de me voiler la face. J’allais finir par le faire fuir, lui faire du mal, lui donner envie de me laisser toute seule de nouveau si je continuais.

    Passant mes bras autour de son cou, je me mis à le serrer fort contre moi, lui prouvant que je ne pouvais pas faire s’en lui, que j’avais également peur qu’il ne s’échappe de notre étreinte. Posant ma tête sur son torse, je fermais mes prunelles azurs, essayant de rassembler mon courage et de trouver mes mots. Pendant plusieurs minutes aucun de nous deux ne brisa le silence, comme si ce dernier était réparateur. Puis, je rompis ce dernier. M’écartant de mon amant, je plantais mon regard dans le sien. Prenant une grande respiration, je me lançais à l’eau…



    - Non… Je ne veux pas Amycus, car je ne peux pas… Enfin tu vois… Ce que je veux dire, c’est que je ne supporterais pas de savoir malheureux à cause de moi, je vais arrêter... Parce que te perdre serait trop douloureux, et que tu es plus important que tout cela. Si je t’ai poussé tout à l’heure, c’est parce que je préférais que se soit moi plutôt que toi… Par rapport à ce que tu m’as dis… A ce que tu as laissé échapper… Ecoute… C’est… Compliqué pour moi. Je ne sais pas quoi te répondre…


    Mes paroles avaient été un murmure, mais pas une seule fois, je n’avais hésité. Je ne voulais plus le voir aussi triste par ma faute. Lui souriant tendrement, je voulais qu’il comprenne que jamais je ne pourrais le laisser, que jamais je ne cesserais de mon soucier de lui. Il était dans mes pensées, et je ne voulais pas que cela change jamais. Je voulu l’enlacer mais je ne le fis pas, faisant un pas en arrière.

    Non, ce n’était pas ce que vous croyez. Je venais de me voir dans le reflet du miroir, et je n’avais pas pu m’empêcher un pas de recul, et un peu de dégoût. J’avais du sang un peu partout sur moi, et mon drap blanc, était rouge plus qu’autre chose. Me baissant, je ramassais la baguette du livreur que j’avais. M’auto laçant un sort, toutes les traces de souillure disparurent de ma peau, mais restaient toujours présente sur mon drap.

    J’eu alors une idée, quelque chose qui détendrait un peu l’atmosphère qui régnait dans la pièce. M’approchant de mon amant, je lui enlevais sa chemise, tout en l’embrassant tendrement, passionnément. Il ne m’avait toujours pas répondu, mais cela pouvait attendre. Je lui avais ôté sa chemise très vite, mais je restais mes lèvres scellaient au sienne, jusqu’à ce que je n’ai plus de souffle. Posant mon front contre le sien, je n’ouvris pas tout de suite les yeux, oubliant un instant tout ce qui venait de se passer…



    - Tu permets ?


    Prenant sa chemise entre mes bras, je fis tomber mon drap tacheté de sang à mes pieds, un sourire aux lèvres. Je ne retrouvais ainsi nue devant lui. Me regardant un instant dans le miroir - bah quoi, j’aime m’admirer - j’enfilais ensuite le vêtement de mon amant sur le dos. La boutonnant entièrement, cette dernière finissait tout juste en dessous de mes fesses. C’état comme si cela avait été fait exprès, spécialement conçu pour cela.

    Prenant la main d’Amycus, je l’entraînais rapidement dans les escaliers menant à l’étage supérieur, laissant derrière nous le corps de Dimitri, ainsi qu’une belle mare de sang. Les elfes nettoieraient cela, nous n’avions donc pas besoin de le faire. Je lui avais signe de se taire, de ne rien dire, ne me pas poser de question. J’avais une idée en tête, et je comptais bien la mettre en œuvre.

    Une fois arrivée en haut, je pris tout de suite la direction de la pièce dans laquelle j’avais tué ses parents. Poussant la porte, je vis que cette dernière restait inchangée, dans les moindre détail. Fronçant un instant les sourcils, trouvant la décoration très naz et vieillot, je pris la baguette d’Amycus, et aussitôt les murs prirent une couleur marron. Cela était déjà mieux, beaucoup mieux. Je finis par ouvrir magiquement les rideaux en velours avant de lui rendre sa baguette.

    Poussant mon amant sur le lit un grand sourire aux lèvres, je vins me positionner juste au dessus de lui, sa taille entre mes jambes. Posant une nouvelle fois mon doigt sur sa bouche, je l’inciter à ne rien dire. Je savais qu’il devait se demander ce que nous faisions ici, et ce que j’avais en tête. Mais je comptais lui dire, et je ne voulais pas qu’il réponde à mes précédentes paroles avant… Me penchant alors sur lui, je pris sa tête entre mes mains avant de l’embrasser le plus tendrement du monde. Puis je vins m’approcher de son oreille, avant de lui chuchoter :



    - Je t’ai emmené ici, car c’est ici que j’ai pris conscience d’une chose te concernant… Celle que je tenais à toi, et que cela n’était plus que du désir. Je ne veux plus que tu souffres à cause de moi… Plus jamais… Amycus… Je… Moi aussi… Je ressens la même chose que toi, à ton égard… Ne me laisse jamais s’il te plait. Je ne peux pas faire sans toi…


    Une nouvelle fois, ma voix n’avait pas été une seule fois hésitante. Ce que je venais de lui dire, je les pensais vraiment. Mon cœur battait très fort, et j’appréhendais un peu sa réaction. Même si je n’avais pas pu lui dire, même si je n’étais pas encore capable de le faire, je venais tout de même lui dire clairement que ces sentiments étaient réciproques. Contre tout attente, je ne l’avais pas emmené dans cette pièce pour coucher avec lui dans le lit de ses parents, mais juste parce que cet endroit avait été le moment révélateur pour moi.

    Il me faudrait encore du temps avant de pouvoir prononcer les mots qu’il avait dit. Je devais ‘apprendre’ à le faire. Cependant, même si je ne le pouvais pas encore, je voulais qu’il sache de ce que je ressentais pour lui, et combien il était important pour moi. Je ne voulais plus qu’il pense que je pourrais le laisser, car j’en étais incapable. Complètement incapable d’un tel acte.
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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeVen 26 Sep - 12:30


    Comment cela pouvait-il être possible ? Comment Amycus arrivait-il à croire en ce sentiment qu’il avait si souvent dénigré… Il ne le savait pas lui-même mais il y croyait réellement et malgré la souffrance qu’il pouvait vous infliger, le jeune homme savait à présent qu’il pouvait également être une force… Et pourtant, rien n’avait prédisposé le mangemort à être capable de ressentir cela un jour…

    Son enfance aurait même dû le conduire à haïr le monde entier et c’est d’ailleurs ce qu’il ressentait il y avait encore peu… Sa jeunesse n’avait certes pas toujours été horrible, du moins lorsqu’il n’était qu’un gamin qui obéissait sans rien dire à son père et à sa mère… Il avait même été leur fierté à une certaine époque et son père avait fait pour lui de grands projets ! Son fils travaillerait au Ministère, il épouserait une jeune fille de bonne famille, etc. …

    A cette époque Amycus était jeune et ne savait pas trop quoi penser de tout ça… Car a à peine dix ans, sait-on vraiment ce que l’on va faire de sa vie ? Sait-on qui l’on va épouser ? Absolument pas ! C’est pourquoi, le garçon se contentait d’acquiescer à tout ce que ses parents lui disaient… Mais les choses avaient changées et cela avait eu lieu lors de son admission à Poudlard !

    Il avait certes de très bons résultats et son indiscipline n’y changeait rien… Cependant, la chose qui fit que ses parents lui firent vivre un véritable enfer se fut lorsqu’ils apprirent ce qu’il voulait faire plus tard. Il leur avait parlé de ses projets d’avenir et cela avait été sa pire erreur…
    Devenir joueur professionnel de Quidditch ?! Mais quelle honte, qu’elle infamie ! Voilà qu’elles avaient été les réactions de ceux qui auraient dû l’encourager. Mais son père avait été encore pour loin… Pour remettre les idées de son fils en place il avait choisi d’avoir recours à l’humiliation et la violence…

    Voyant que cela ne fonctionnait pas, qu’Amycus résistait, ses parents l’avaient tout simplement mis dehors. Son père avait même fait en sorte d’annuler toutes les chances de son fils de réaliser son rêve. En effet, sans avoir la moindre explication, il avait été expulsé de l’équipe dans laquelle il jouait en semi-professionnel depuis déjà un certain temps et au plus grand damne de ses coéquipiers !

    Tous ses évènements l’avait fait devenir quelqu’un d’encore plus sombre, égoïste et cruel… Et vivre dans la rue n’avait rien arrangé ! Heureusement il avait trouvé du travail… Et c’est là qu’il avait rejoint les mangemorts ! Ils étaient les seuls à l’avoir aidé et à qui il accordait un minimum de confiance !
    Mais tout avait changé lorsqu’il avait connu Anna… Elle lui avait fait croire en l’amour et même s’il avait dû la quitter, il n’arrivait pas à ne plus croire en ce sentiment.

    La preuve en était, alors qu’il pensait qu’il n’aimerait plus, il avait de nouveau ressentit cela pour Krystel en sachant que cela n’était pas réciproque puisqu’elle lui avait fait clairement comprendre qu’elle ne croyait pas en ce genre de conneries ! C’est d’ailleurs pour cela qu’il s’en était voulu de n’avoir pas su se maîtriser, dévoilant ainsi ce qu’il ressentait réellement pour elle…

    A cet instant, il avait eu peur de la perdre et elle n’arrangeait rien en lui disant qu’elle aimait sa vie, qu’elle ne voulait pas la changer… Amycus avait vraiment mal ! Il se rendait compte que ces quelques mots qu’il avait prononcés allaient la faire fuir pour de bon. Et la perdre serait pire que la mort pour lui, il fallait absolument qu’il fasse en sorte qu’elle reste…

    Il avait essayé de lui donné des explications quant au sens de ses paroles mais cela ne changeait rien… Krystel avait continué d’affirmer qu’elle ne croyait pas en l’amour et qu’elle ne laisserait pas tomber sa vie ! C’est ce qui avait poussé Amycus à se sacrifier lui… Car c’était bel et bien un sacrifice pour lui de lui dire ne pas changer et ce, tout simplement parce qu’il l’aimait vraiment.

    Mais sa décision était prise ! Il ne lui demanderait qu’une chose… Elle n’avait pas à tout abandonner pour lui mais devait simplement rester à ses cotés, ne pas l’abandonner. C’était son désir le plus cher et s’il fallait pour cela qu’il accepte qu’elle puisse aller s’amuser avec d’autres hommes, il le ferait ! Voilà les dernières paroles qu’il avait prononcées en l’enlaçant tendrement…

    Il ne savait pas qu'elle serait la réaction de la jeune femme et profitait de l'instant présent… Il appréciait le fait de pouvoir la tenir dans ses bras encore une fois.
    A cet instant son amante s'écarta légèrement de lui et reprit la parole pour lui dire des choses qui allait droit au cœur… Elle lui avoua qu'elle ne supporterait pas le fait de le savoir malheureux… Qu'elle allait arrêter car le perdre serait trop douloureux pour elle car il comptait énormément pour elle… Krystel lui expliqua ensuite qu'elle l'avait poussé parce qu'elle préférait que se soit elle plutôt que lui…

    Chacun des mots que son amante prononçait le rassurait, apaisait ses angoisses et ce, même lorsqu'elle parla de ce qu'il lui avait avouer en disant que c'était compliqué pour elle et qu'elle ne savait pas quoi répondre. Mais à vrai dire, le mangemort n'avait retenu qu'une seule chose ! Elle allait rester… Elle n'allait pas partir une nouvelle fois !

    Après avoir fini de lui faire part de ses sentiments, sa déesse s'écarta d'un pas d'Amycus en lui souriant et se contempla dans le miroir… Elle ne fut apparemment pas ravie de se voir elle, et le drap qu'elle portait, couverte de sang. D'un geste agile, elle récupéra la baguette qui avait appartenu à Dimitri et fit disparaître l'hémoglobine qui la recouvrait.
    Avant que le mangemort n'eut ensuite le temps de répondre aux paroles de la jeune femme, elle s'était approchée de lui pour l'embrasser tendrement tout en lui ôtant la chemise qu'il portait…

    Après ça, la sublime française posa son front contre celui du mangemort avant de lui demander s'il lui permettait… Sur le moment, il ne comprit pas ce qu'elle voulait dire par là… Que devait-il lui permettre ? Mais la réponse arriva bien vite !
    Elle laissa tomber le drap qui couvrait si parfait et la jeune femme enfila le vêtement que son amant portait il y avait encore à peine quelques secondes… Elle jeta de nouveau un coup d'œil au miroir tout en boutonnant la chemise qui dissimulait à présent ses formes exquises !

    Ne lui laissant même pas le temps de dire ou de faire quoique ce soit, Krystel saisit ensuite la main d'Amycus et l'entraîna dans l'escalier qui conduisait au premier étage… Il ne savait pas ce que c'était mais sa déesse avait à coup sûr une idée derrière la tête ! Alors qu'il allait la questionner, et comme si elle avait lu dans ses pensées ; Krystel lui fit signe de se taire et c'est ce qu'il fit !

    Arrivé à l'étage supérieur, La jeune femme se dirigea vers une pièce qu'il n'avait pas revu depuis qu'il avait fait tuer leurs parents et il s'agissait de leur propre chambre. Inconsciemment, il ralentit légèrement mais son amante n'en tint pas compte et le fit entrer dans la pièce…
    A cet instant, la brune fronça les sourcils avant de prendre la baguette d'Amycus… En moins de quelques secondes les murs avaient changés de couleur et les rideaux avaient été ouverts. Après ces quelques changements, la demoiselle rendit son arme à Amycus qui la posa sur le fauteuil se trouvant près de l'entrée…

    Il posa ensuite un regard interrogateur sur son amante… Il ne voyait vraiment pas où elle voulait en venir ! Et elle ne lui apporta aucune réponse, se contentant de le pousser sur le lit avant de venir s'installer sur lui. Voulant savoir ce qu'elle avait en tête, Amycus n'eut pas le temps de poser la moindre question car Krystel déposa son index sur ses lèvres pour le faire taire…

    Après ça, elle prit le visage du jeune homme entre ses mains avant de l'embrasser d'une façon des plus tendres qui soit. A cet instant, Amycus se rendit peu à peu compte de la chance qu'il avait qu'elle soit rester et son cœur se mit à battre à la chamade. Mais cela s'accentua quand Krystel reprit la parole pour lui donner des explications à tout ce mystère !

    Elle l'avait amené ici car c'est dans ce lieu qu'elle s'était rendue compte de quelques chose le concernant… C'est là qu'elle s'était rendue compte qu'elle tenait à lui et que leur relation n'était pas purement physique. Elle lui expliqua ensuite qu'elle ne voulait plus jamais qu'il souffre à cause d'elle…
    Elle continua en lui disant qu'elle ressentait la même chose que lui à son égard… et que lui non plus ne devait pas la laisser…

    Le jeune homme ferma les yeux, son cœur battant à tout rompre… Se rendait-elle compte à quel point ce qu'elle venait de dire pouvait le rassurer ? Ces quelques mots avaient fait oublier au jeune homme toute la tristesse, toute l'angoisse qu'il avait ressentit jusque là ! Doucement son âme s'apaisait… Il ne s'était pas trompé concernant ce qu'elle éprouvait pour lui et c'était la plus belle chose qu'il aurait pu entendre de sa bouche à cet instant…

    Après quelques secondes, il rouvrit les yeux et plongea son regard dans celui de son amante… La tristesse avait disparu et il sourit à Krystel… En quelques mots, elle lui avait fait oublier toutes les peurs qu'il avait ressenti au cours des longues minutes qui avaient précédées cet instant…
    Tendrement, il passa ses bras autour du cou de la jeune femme et sans quitter son regard, il lui murmura…


    - Jamais je ne te laisserais… Je serais toujours là pour toi. Je te le promets !

    Amycus se rendait compte qu'il venait de faire ce qu'il avait prétendu ne plus jamais recommencer… Faire une promesse ! Mais il savait qu'il tiendrait parole et que la seule chose à présent qui pourrait le séparer de Krystel serait la mort. L'attirant doucement à lui, il unit une nouvelle fois leurs lèvres dans un baiser emplit de tendresse et de passion.

    C'est à ce moment qu'un plok se fit entendre… et c'est avec un léger agacement qu'il mit fin au baiser pour reporter son attention sur l'immondice qui lui servait d'elfe de maison ! Mais contrairement à ce qu'il avait pensé, il ne s'agissait pas de l'ancienne créature de son père mais de Sweeney…
    Ce dernier s'excusa à plusieurs reprises, expliqua que l'autre nettoyait le hall et fini par demander où est-ce que Krystel et lui-même prendraient leur petit déjeuner… Ici même ou dans la salle à manger !

    Jusqu'à maintenant le jeune homme n'avait pas réellement pensé au fait qu'il ait ou non faim… et il ne savait pas ce qu'il en était pour Krystel. Amycus reporta alors son attention sur le merveilleux visage de la femme de ses rêves… et lui dit simplement.


    - Je te laisse choisir ma déesse…
Mangemort↯ Moi, future maman ? Mon corps va être déformé !
Krystel Raybrandt



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MessageSujet: Re: Il était une fois... [Pv]   Il était une fois... [Pv] Icon_minitimeMer 8 Oct - 22:00

    Comment cela se faisait-il ? Pourquoi étais-je encore en sa présence après ce que venait de m’apprendre mon livreur Dimitri ? Etais-je folle ? Sûrement. Par deux fois il m’avait dit qu’il ne reverrait pas Anna. Par deux fois je l’avais cru. Par deux fois je n’aurais pas dû, car par deux fois il l’avait denouveau côtoyé. Cela le faisait toujours autant de mal de m’en apercevoir et pourtant je ne pouvais pas partir loin de lui et renoncer à ne plus le voir. Pendant mon séjour en France, je m’étais aperçue que plus rien ne comptait mise à part lui.

    J’avais passé mon temps à vouloir revenir dans ses bras, me faisant violence de ne pas céder à ma mère. Si je l’avais fais, j’aurais perdu mon héritage, ma fortune, tous ce que j’avais de matérielle en bien. Avec cela, j’aurais perdu mes titres de noblesse devant vivre comme le bas peuple. Je n’aurais pas pu permettre cela, car c’était trop important à mes yeux. Et puis, qui voudrait pour épouse dans un mariage arrangé bien sure, une jeune femme sans plus rien à offrir en dote ? Personne. Certes je me projetais loin mais il fallait que j’assure mes arrières.

    Je savais très bien que jamais je m’unirais avec un homme par ce que l’on appelait l’amour. La plus simple raison était que je ne croyais pas en ce sentiment, que je le dénigrais totalement à chaque fois que l’occasion m’en était donné. Après tout, je ne comptais plus le nombre d’homme soit disant amoureux, qui étaient tombés dans mes filets, ne pouvant résister à l’appel de ma peau. Alors bon, j’aurais dû mal à croire en ce dernier. Et puis, je ne l’avais connu, même pas celui d’une mère aimante…

    Enfin bref, j’avais quand même passé dix longs jours, à penser encore et encore à Amycus, sans pouvoir rien n’y faire. Je ne savais pas comment cela se faisait. C’était instinctif tout comme le fait que je me sois interposée entre le sort et lui. Quelque m’avait pousser à le faire, quelque chose que je ne pouvais pas contrôler. J’avais était prêtre à mourir pour lui sauver la vie, moi Krystel Raybrandt, la personne la plus égoïste qui soit, celle qui ne pense qu’à elle et à tout ce qu’elle pouvait obtenir des gens. Je savais qui j’étais, et j’en étais fière.

    J’aimais qu’on loue mes qualités, qu’on me jalouse, et qu’on m’admire. Je voulais tout le temps que l’on me regarde, et qu’il n’y ai plus que moi qui compte et personne d’autre. Et pourtant… Avec mon amant, c’était différent. Il devenait ma priorité, sans que je sache pourquoi. Je tenais plus à lui qu’à moi, ce qu était des plus étrange. Tout se précipita et se compliqua quand il s’énerva. Me reprochant de m’être mise en danger, il me dit alors des mots qui me mirent un stop.

    Il me demanda pourquoi je ne voyais pas qu’il n’était pas tout simplement accros à moi, mais qu’il était amoureux de moi ! Ce fut un choc pour moi, et un sentiment de mal être m’envahit de nouveau. Encore une fois, j’eu l’impression qu’il essayait de me faire la remplaçante de sa jeune serpentarde, qui me disait une nouvelle fois combien il était amoureux d’elle et que moi je ne comptais pas. Comment pouvait-il de nouveau me faire ça ? Il m’avait fait beaucoup de mal en disant cela, et je lui fis remarquer. Je voulais partir, fuir loin, mais une nouvelle fois je n’y arrivais pas.

    J’avais fini par me faire une raison. J’étais accro à lui, et je ne pouvais rien y faire. Etrangement, pour une chose, les choses s’améliorèrent. J’avais finis par comprendre qu’il ne s’était pas trompé de jeune femme, mais que s’était à moi qu’il venait de dire cela, pas à une autre, pas à Anna, mais à moi, Krystel Raybrandt. Alors oui, je savais qu’il y avait quand même son ex, qu’il ne l’oublierait pas aussi facilement, mais j’étais à milles lieux de penser à cela pour l’instant.

    Au début, je lui avais dis que je ne pouvais pas renoncer à ma vie, que je n’avais que cela de concret. J’avais toujours été et toujours tout fais pour être le centre du monde de tous, et que les hommes défilent dans mon lit, comme je changeais de robes. Ce que j’avais toujours fais, c’était important pour moi, et c’était tout ce que j’avais. En me disant ses sentiments, il me demandait des choses dont je ne me sentais pas capables. Pourquoi devrais-je tout plaquer ? Parce qu’il venait de me dire qu’il ressentait pour moi un sentiment dans lequel je ne croyais pas ? J’aimais faire ce que bon me semblait, sans me préoccuper des conséquences…

    Comme je l’avais fais en interposant entre lui et le sort, il se sacrifia à sa manière. Je savais que ce qu’il venait de me dire, que le fait qu’il accepte ma vie de débauche et ma liberté, cela lui coûtait beaucoup. Il venait de me prouver qu’il ne supportait pas l’idée que je sois avec un autre, en me voyant avec mon livreur, échanger un simple baiser. Il était prêt à me laisser vivre ma vie, du moment que je ne partais pas, que je restais avec lui, et cela je ne pouvais pas l’ignorais.

    Sans savoir pourquoi, je l’avais amené à l’étage, lui faisan comprendre de ne pas dire un seul mot. L’emmenant dans la chambre de ses parents, j’avais refais vite fait la décoration et ouvert les rideaux pour laisser la lumière du jour entrer. Le poussant sur le lit, j’étais venue me mettre à califourchon sur ton torse. Pourquoi ? Je sais pas, un coup de folie. Je n’avais pas l’intention de savourer une nouvelle fois le goût exquis de sa peau, même si j’en avais encore et encore et encore envie. Non, c’était plus important que cela. Me penchant légèrement vers lui, je pris sa tête entre mes mains, avant de l’embrasser.

    C’était comme si j’avais besoin de prendre une dose de courage avant de pouvoir lui dire le fond de mes pensées, ce que j’avais également sur le cœur. Il l’avais fait pour moi, et je lui avais dis que je serais sincère avec lui. Je n’avais pas besoin de me cacher sous une autre identité avec lui, ou sous un masque, non. J’étais moi-même, celle que j’étais au plus profond de moi. Et il était le seul à me connaître sous mon vrai visage, le seul et l’unique. C’est ainsi que je lui dis le fond des choses, que je pensais ressentir les même choses que lui, même si je ne pourrais pas dans un premier temps lui dire.

    Ces yeux… La lueur que j’avais lu dans ses derniers quand je lui avais dis que j’aimais ma vie, et que je ne voulais pas la changer, car c’était la seule chose que j’avais… Elle était si triste si malheureuse ! Cela m’avait fendu le cœur, comme jamais je n’aurais cru cela possible. Plus jamais je ne voulais la revoir dans ses prunelles azurs, à cause de moi, plus jamais. Puis une nouvelle fois, je lui redis que je ne pouvais pas faire sans lui, que j’étais incapable de partir loin de lui, ce qui était réellement le cas.

    Passant alors ses bras autour de mon cou, il m’enlaça tendrement, avant de me promettre de ne jamais le laisser. Une promesse… Il m’avait dit lors de notre dernière rencontre il y a de cela plus de 10 jours qu’il ne voulait plus en faire, qu’il ne pouvait plus en faire. Et pourtant, c’est ce qu’il venait de se passer. J’en fus dès plus toucher, et cela pu sans aucun doute se lire dans mon regard qui n’avait pas quitté le sien. Me laissant attirer vers lui, nous unîmes nos lèvres dans une tendresse et une passion infinie.

    Malheureusement, nous fûmes coupés à cause d’un bruit de transplanage d’elfe. Grand dieu que je détestais ses créatures immondes et abjectes. Toujours là quand on ne veut pas qu’ils soient. J’avais dressé les miens, et il m’avait fallut plusieurs mois pour y arriver, et je n’avais guère envie de recommencer. Berk, passait autant de temps avec eux, plus jamais, c’était au dessus de mes forces. Après plusieurs excuses et courbettes, il nous annonça qu’ils avaient nettoyés le hall, puis nous demanda où nous voulions déjeuner.

    En fait, en y pensant, il était vrai que j’avais quelque peu faim. Après tout, cela faisait plus de 24h maintenant que je n’avais pas avalé quelque chose. Ma mère avait le don pour me couper l’appétit. J’aurais pu grignoter un petit truc en rentrant de France, mais disons que j’avais des choses plus importantes à penser et à faire que de manger. Me regardant, Amycus me laissa choisir où est-ce qu’on voulait prendre ce dernier. Humm, très bonne question. Ce qui était sure, c’est que déjà, je devais aller me faire une beauté, car je n’imaginais pas la tête que je pourrais avoir. Ensuite, je n’avais aucune idée. Mais pas dans cette chambre en tout cas. Me levant du lit, je dis alors à la vermine :



    - Fais moi apporter ma robe dans la salle de bain, mais surtout qu’aucun de tes semblables ni même toi ne mette un seul doigt dessus. Je n’ai guère envie qu’elle soit détériorée. Et tout de suite bien entendu.


    Ma voix avait très sèche, hautaine et froide, comme j’avais si bien l’habitude de l’utiliser. J’étais ainsi avec les rangs inférieurs, et je n’avais pas besoin de le cacher à mon amant. Il était comme moi, et ne s’étonnerait point de mon attitude envers ses esclaves. Bon il était vrai que je n’avais aucun ordre à leur donner vu qu’ils n’étaient pas mes domestiques, mais vu que j’étais avec son maître, il y avait très peu de chance qu’ils osent se rebeller contre moi et ne pas faire mes ordre. Tournant ensuite mon regard vers mon bel Apollon, mon ton se fit dès plus doux, et des plus tendre, tout le contraire de mon précédent quoi.


    - Je ne sais pas trop, je préfère te laisser choisir, le temps que j’aille me refaire une beauté… Si tu veux, on peut également aller dans mon château, à toi de voir. Je te laisse quelques instants…


    Déposant un baiser sur ses lèvres, je quittais ensuite la chambre, pour me rendre dans une des pièces d’eau du manoir. Optant pour une douche plutôt qu’un bain, histoire de ne pas être trop longue, je savourais tout de même cette dernière. J’aimais sentir l’eau couler sur ma peau, comme si cette dernière me faisait oublier l’espace de quelques instants tous mes problèmes. Prenant grand soin de bien me laver – car oui j’avais eu du sang de Dimitri partout sur moi quand même – il me fallut quand même une bonne quinzaine de minutes pour en sortir.

    M’enroulant dans une serviette bien chaude posée sur le lavabos pendant que j’avais fais ma toilette, je trouvais également avec joie ma robe. Sûrement Amycus qui avait dit à son serviteur de faire ce que j’avais dis. Enfilant cette dernière directement sur ma peau nue, je constatais avec joie qu’elle m’avait toujours aussi bien. Très collante bien entendu, elle dessinait parfaitement mes formes. Je ne pu m’empêcher de rester plusieurs minutes à me regarder dans les grands miroirs de la pièce, me retournant de temps à autre, pour vérifier qu’elle était toujours aussi belle.

    Fendu dans le dos, cela donnait une touche de sexy en plus. Très courte, sans pour autant être vulgaire, elle tombait pile poil comme il fallait. Quand au décolleté… Il descendait jusqu’au bas de ma poitrine en V, sans pour autant dévoiler cette dernière, la mettant en valeur. Mon collier tombait dans ce dernier, et laissait voir toute sa splendeur. Oui, j’avais bien fait de choisir cette robe. Relevant mes cheveux, je laissais mes épaules à nu, chacune couverte que par la fine bretelle de mon vêtement. Un légère touche de maquillage sur mes yeux et mes lèvres, et j’étais prête. Sortant au bout de quelques minutes de la salle de bain, arrivée dans le couloir je demandais alors d’une voix interrogative :



    - Amycus ? Tu es où?
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